Amman confirme la disponibilité de son réseau pour alimenter la Syrie pendant ses heures creuses, sous réserve de l’achèvement des infrastructures côté syrien.
L’OPEP+ entame une nouvelle phase de relèvement progressif de sa production, amorçant le dégel de 1,65 million de barils/jour de coupes volontaires, après la fin anticipée d’un cycle de 2,2 millions de barils/jour.
Huit membres de l’OPEP+ se réunissent pour ajuster leurs quotas, alors que les prévisions annoncent un excédent mondial de 3 millions de barils par jour d’ici la fin de l’année.
SOMO discute avec ExxonMobil pour accéder à des capacités de stockage et de raffinage à Singapour, visant à renforcer la présence de l’Irak sur les marchés asiatiques en croissance.
Les exportateurs saoudien et irakien ont cessé d’approvisionner Nayara Energy, contraignant la raffinerie indienne contrôlée par Rosneft à dépendre exclusivement du brut russe en août.
La suspension des 1 400 MW d’électricité fournis par l’Iran à l’Irak met sous pression le réseau irakien, tandis que Téhéran enregistre une demande record de 77 GW et doit arbitrer entre consommation interne et obligations régionales.
Le rapport d'août de l'OPEP dévoile une production russe supérieure aux quotas et une domination commerciale en Asie, tandis que le Kazakhstan dépasse massivement ses engagements de réduction.
Bagdad et Damas intensifient leurs discussions pour réactiver l'oléoduc de 850 km fermé depuis 2003, offrant une alternative méditerranéenne face aux tensions régionales et aux blocages d'exportation.
Une panne généralisée a privé l’Irak d’électricité pendant plusieurs heures, affectant presque tout le pays en raison d’une consommation record liée à une vague de chaleur extrême.
La production pétrolière de l'OPEP+ a chuté à 41,65 millions de barils par jour en juillet 2025, révèle l'enquête Platts de S&P Global, alors que l'Arabie Saoudite normalise sa production après les tensions Iran-Israël de juin.
Bagdad dément toute implication dans un système de contrebande sophistiqué mêlant pétrole iranien et irakien. Washington sanctionne des réseaux accusés de financer des organisations terroristes désignées.
Les compagnies pétrolières chinoises indépendantes intensifient leurs investissements en Irak, cherchant à doubler leur production à 500 000 barils par jour d’ici 2030 et à concurrencer les majors historiques du secteur.
Les discussions entre Téhéran et Bagdad sur les volumes d'exportation et une dette de 11 milliards de dollars révèlent les complexités d'une dépendance énergétique sous sanctions américaines.
Les huit membres volontaires de l'OPEC+ accélèrent leur retour sur le marché en septembre malgré une demande mondiale affaiblie et une production record des Amériques.
Trois nouveaux champs pétrolifères du Kurdistan irakien ont été ciblés par des drones explosifs, portant à cinq le nombre de sites touchés en une semaine dans cette région stratégique, selon les autorités locales.
Une explosion à 07 h 00 sur une installation d’HKN Energy a forcé ShaMaran Petroleum à stopper le champ Sarsang, le temps qu’une enquête détermine les dégâts et l’impact sur les exportations régionales.
BP et Shell intensifient leurs engagements en Libye par de nouveaux accords pour redynamiser la production des champs pétroliers majeurs, dans un contexte marqué par une instabilité persistante mais une production en hausse depuis plusieurs mois.
Les principaux producteurs de pétrole accélèrent leur retour sur le marché, augmentant leurs quotas en août de façon plus marquée que prévu initialement, suscitant des interrogations sur les équilibres à venir.
Le Fonds d’Abou Dhabi pour le Développement accorde un financement de 752mn AED ($205mn) à l'Autorité d’interconnexion du Golfe afin de relier les réseaux électriques des Émirats arabes unis et d’Arabie saoudite, renforçant l’échange énergétique régional.
La potentielle fermeture du détroit d’Ormuz met sous pression les producteurs du Golfe, révélant leurs limites diplomatiques et logistiques face à un blocage menaçant 20 millions de barils quotidiens d’hydrocarbures destinés aux marchés internationaux.