Trois nouveaux champs pétrolifères du Kurdistan irakien ont été ciblés par des drones explosifs, portant à cinq le nombre de sites touchés en une semaine dans cette région stratégique, selon les autorités locales.
L'Asie a dominé en 2024 les nouvelles capacités mondiales en énergies renouvelables avec 71 % des installations, tandis que l'Afrique affiche une croissance limitée à seulement 7,2 %, révèle le dernier rapport annuel de l'IRENA.
BP et Shell intensifient leurs engagements en Libye par de nouveaux accords pour redynamiser la production des champs pétroliers majeurs, dans un contexte marqué par une instabilité persistante mais une production en hausse depuis plusieurs mois.
Les principaux producteurs de pétrole accélèrent leur retour sur le marché, augmentant leurs quotas en août de façon plus marquée que prévu initialement, suscitant des interrogations sur les équilibres à venir.
Le Fonds d’Abou Dhabi pour le Développement accorde un financement de 752mn AED ($205mn) à l'Autorité d’interconnexion du Golfe afin de relier les réseaux électriques des Émirats arabes unis et d’Arabie saoudite, renforçant l’échange énergétique régional.
La potentielle fermeture du détroit d’Ormuz met sous pression les producteurs du Golfe, révélant leurs limites diplomatiques et logistiques face à un blocage menaçant 20 millions de barils quotidiens d’hydrocarbures destinés aux marchés internationaux.
Suite aux frappes américaines en Iran, des groupes énergétiques internationaux évacuent partiellement leurs équipes d’Irak par précaution, tandis que Lukoil conserve l’ensemble de son personnel dans les champs pétroliers du sud du pays.
Le conflit au Moyen-Orient contraint l’Irak à repousser certains développements pétroliers, perturbant les opérations sur le terrain malgré un maintien provisoire des niveaux de production et d’exportation, sur fond de tensions logistiques croissantes.
Le gouvernement fédéral irakien engage une procédure judiciaire contre la région autonome du Kurdistan à propos de contrats gaziers signés avec des sociétés américaines, tandis que Washington réaffirme son soutien à ces accords énergétiques stratégiques.
L’Irak a signé un accord avec le chinois Geo-Jade et l’entreprise Hilal al-Basra pour développer un projet intégré combinant pétrole, raffinage et électricité dans le sud du pays.
Le Kurdistan signe avec HKN Energy et Western Zagros deux accords d’exploitation de gaz et pétrole estimés à 110 milliards $ sur la durée de vie des projets.
BP a annoncé des avancées stratégiques sur ses projets pétroliers en Irak et en Angola, marquant une étape clé dans son développement amont, selon une communication interne publiée le 26 avril.
Bagdad a signé un accord stratégique avec GE Vernova pour la construction de centrales à gaz naturel totalisant 24.000 MW, alors que le pays cherche à réduire sa dépendance énergétique vis-à-vis de l’Iran.
Les États-Unis ont sanctionné une raffinerie chinoise traitant du brut iranien, renforçant la pression sur Téhéran et suscitant des inquiétudes sur la stabilité des marchés pétroliers mondiaux.
Privé des importations énergétiques iraniennes par Washington, l’Irak accélère ses efforts commerciaux en Afrique, tout en relançant les exportations pétrolières via la Turquie, afin de sécuriser rapidement de nouveaux débouchés économiques et énergétiques.
L’Irak a lancé son premier projet de valorisation énergétique des déchets à Bagdad, un chantier estimé à 500 mn $, soutenu par la société chinoise SUS ENVIRONMENT et piloté par les autorités irakiennes.
Le Conseil des ministres irakien a validé un contrat avec BP pour le développement des champs pétrolifères de Kirkouk et l'expansion du terminal offshore de Faw, selon une déclaration du bureau du Premier ministre.
L'Irak et les Émirats arabes unis ont soumis des plans à l’OPEP+ pour compenser leur excédent de production en février, dans un contexte de baisse des prix du brut et de réduction progressive des coupes prévues pour avril.
Nexans a annoncé être entré en négociations exclusives avec le fonds d'investissement Latour Capital pour la vente de Lynxeo, sa division de câbles industriels, pour un montant de 525 millions d'euros. Cette transaction fait partie de la stratégie du groupe visant à se concentrer sur l'électrification.
Sous la pression des sanctions américaines, l'Irak explore des alternatives au gaz iranien pour assurer son approvisionnement en électricité, notamment en se tournant vers le Qatar et Oman, et en envisageant l'installation de terminaux méthaniers flottants.
Le GNL russe reste prisé en Chine. En août, alors que le pays connaît une importante vague de chaleur, la Chine a importé quelque 611.000 tonnes de GNL en provenance de Russie.
Alors que la crise énergétique se poursuit, les prix du gaz flambent. Pour y faire face, l'Italie plaide pour un plafonnement des prix du gaz. Plusieurs États, comme le Portugal ou encore la Belgique, soutiennent une telle mesure.
La Russie profite de la flambée des prix de l'énergie. Malgré les sanctions occidentales et en dépit des réductions de volumes exportés, la Russie a engrangé 158 millions d'euros entre le 24 février et le 24 août 2022.
Les ministres de l'Énergie du G20 sont en désaccord. Toutefois, tous s'engagent à accélérer la transition énergétique. Ils entendent stimuler les investissements allant dans ce sens.
La production de pétrole de l'OPEP du mois d'août enregistre son plus haut niveau depuis le début de la pandémie. Toutefois, l'organisation ne parvient toujours pas à atteindre les quantités promises.
La Russie a approuvé la demande de transfert de participation de Mitsubishi dans le nouvel opérateur de Sakhaline II. La nouvelle entité a été créée sur ordre de Vladimir Poutine en réponse aux sanctions occidentales.
Sinopec annonce la mise en service de sa toute première installation CCUS. Il s'agit de la plus grande installation du pays. Deux autres installations sont prévues d'ici 2025.
En Inde, Reliance annonce un plan de 9,4 milliards de dollars. L'entreprise souhaite développer son activité de transformation du pétrole en produits chimiques.
Alors que la menace de pénuries d'approvisionnement se maintient, la Serbie déclare pouvoir se passer du carburant russe. Le président insiste sur la résilience de son économie, permettant alors de trouver des alternatives.