Face aux délestages imposés par les autorités, les petites entreprises en Iran enregistrent des pertes croissantes, sur fond de sécheresse, de pénurie de carburant et de pression sur le réseau électrique national.
Un rapport de l’Agence internationale de l’énergie atomique chiffre à 440,9 kg l’uranium iranien enrichi à 60 % avant les frappes israéliennes et américaines, l’accès de l’agence aux sites d’enrichissement demeurant suspendu depuis les opérations.
Les exportateurs saoudien et irakien ont cessé d’approvisionner Nayara Energy, contraignant la raffinerie indienne contrôlée par Rosneft à dépendre exclusivement du brut russe en août.
La Russie et l’Iran cherchent à resserrer leur coopération nucléaire alors que l’E3 active le mécanisme de sanctions contre Téhéran, ravivant les tensions sur le respect de l’accord de Vienne de 2015.
Les trois puissances européennes déclenchent le mécanisme de sanctions onusiennes contre l’Iran, mettant sous pression les exportations pétrolières du pays au moment où Téhéran maintient une production élevée malgré les mesures occidentales.
L’Iran autorise de nouveau l’Agence internationale de l’énergie atomique à inspecter ses sites nucléaires, après une suspension provoquée par un différend sur la responsabilité des frappes israéliennes.
Washington intensifie la pression sur le secteur pétrolier iranien en sanctionnant un armateur grec et ses filiales, accusés d’avoir facilité l’exportation de brut vers l’Asie malgré les embargos en vigueur.
La suspension des 1 400 MW d’électricité fournis par l’Iran à l’Irak met sous pression le réseau irakien, tandis que Téhéran enregistre une demande record de 77 GW et doit arbitrer entre consommation interne et obligations régionales.
Pékin s’oppose à l’éventuel retour des sanctions du trio européen contre l’Iran, alors que l’échéance de l’accord sur le nucléaire approche et que les tensions diplomatiques s’intensifient autour de Téhéran.
Le rapport d'août de l'OPEP dévoile une production russe supérieure aux quotas et une domination commerciale en Asie, tandis que le Kazakhstan dépasse massivement ses engagements de réduction.
Bagdad et Damas intensifient leurs discussions pour réactiver l'oléoduc de 850 km fermé depuis 2003, offrant une alternative méditerranéenne face aux tensions régionales et aux blocages d'exportation.
Le géant logistique émirati affiche une croissance de 40% de ses revenus malgré des taux de fret maritimes déprimés, portée par l'intégration de Navig8 et l'expansion stratégique de sa flotte.
Une panne généralisée a privé l’Irak d’électricité pendant plusieurs heures, affectant presque tout le pays en raison d’une consommation record liée à une vague de chaleur extrême.
La production pétrolière de l'OPEP+ a chuté à 41,65 millions de barils par jour en juillet 2025, révèle l'enquête Platts de S&P Global, alors que l'Arabie Saoudite normalise sa production après les tensions Iran-Israël de juin.
Les deux pays mettent fin à 37 ans de conflit avec un corridor de 43 kilomètres sous contrôle américain pour 99 ans. L'infrastructure acheminera 50 millions de tonnes de marchandises annuellement d'ici 2030.
Un haut responsable de l'agence onusienne entame lundi des discussions techniques avec l'Iran, première rencontre depuis les frappes de juin sur les sites nucléaires iraniens.
Bagdad dément toute implication dans un système de contrebande sophistiqué mêlant pétrole iranien et irakien. Washington sanctionne des réseaux accusés de financer des organisations terroristes désignées.
Les compagnies pétrolières chinoises indépendantes intensifient leurs investissements en Irak, cherchant à doubler leur production à 500 000 barils par jour d’ici 2030 et à concurrencer les majors historiques du secteur.
Les discussions entre Téhéran et Bagdad sur les volumes d'exportation et une dette de 11 milliards de dollars révèlent les complexités d'une dépendance énergétique sous sanctions américaines.
Les huit membres volontaires de l'OPEC+ accélèrent leur retour sur le marché en septembre malgré une demande mondiale affaiblie et une production record des Amériques.
Le gouvernement iranien a approuvé un plan visant à augmenter la production de pétrole brut à 4 millions de barils par jour, nécessitant un investissement de 3 milliards de dollars.
Un officiel irakien confirme le soutien de l'Irak à l'extension des quotas actuels de l'OPEP+, malgré les déclarations initiales du ministre du pétrole sur le refus de nouvelles réductions.
La production de pétrole d'OPEP+ diminue avec la Russie intensifiant les réductions malgré des attaques et des défis de conformité qui continuent de provoquer des tensions au sein du groupe.
L'Irak accueille des entreprises chinoises pour l'exploitation de dix champs pétroliers et gaziers, marquant une expansion significative dans la collaboration énergétique bilatérale.
Les transactions futures LNG sur l'Intercontinental Exchange ont enregistré une hausse notable en avril, stimulées par des risques géopolitiques croissants.
Rafael Grossi, chef de l'AIEA, exhorte l'Iran à fournir rapidement des résultats concrets en matière de transparence nucléaire. Malgré quelques discussions positives, les tensions demeurent quant aux intentions nucléaires de Téhéran.
Le chef de l'IAEA, Rafael Grossi, appelle l'Iran à adopter des mesures concrètes pour répondre aux préoccupations internationales concernant son programme nucléaire.
La dernière régulation de l'administration Biden pour véhicules électriques vise à consolider la chaîne d'approvisionnement en minéraux critiques aux États-Unis et chez ses alliés.
Dana Gas, la compagnie émiratie, a annoncé reprendre la production au complexe gazier de Khor Mor, au Kurdistan irakien, suite à une attaque de drone qui avait interrompu ses opérations.
La récente législation américaine renforce les sanctions sur le commerce pétrolier iranien, mais les experts prévoient un impact mineur à court terme sur le marché mondial du pétrole.
Une frappe de drone récente visant un complexe gazier stratégique au Kurdistan irakien a causé des blessures et des interruptions significatives, mettant en lumière les tensions régionales continues.
Le président iranien Ebrahim Raïssi visite le Sri Lanka, poursuivant son périple asiatique initié au Pakistan, mais sans son ministre de l'Intérieur, Ahmad Vahidi, visé par une notice rouge d'Interpol pour un attentat en Argentine.
Les raffineurs asiatiques évaluent l'impact des tensions au Moyen-Orient sur les coûts de fret et d'assurance maritime, sans craindre pour la sécurité des approvisionnements en pétrole brut.