L’Iran a conclu un nouvel accord avec l’Agence internationale de l’énergie atomique pour encadrer la reprise des inspections, après des mois de gel liés aux tensions militaires et aux critiques sur son programme nucléaire.
L’ayatollah Ali Khamenei appelle à moderniser l’industrie pétrolière et à élargir les débouchés commerciaux alors que Téhéran est confronté à la réactivation possible des sanctions de l’accord nucléaire de 2015.
L’Agence internationale de l’énergie atomique alerte sur le peu de temps restant pour conclure un accord avec l’Iran sur la reprise complète des inspections, alors que les sanctions européennes pourraient être réactivées sous 30 jours.
Le fabricant chinois de turbines a signé un accord stratégique avec Mensis Enerji pour développer un portefeuille initial de 4,5 GW de projets éoliens en Turquie, consolidant sa présence dans un marché régional en forte croissance.
Le gouvernement italien exige des engagements sur la sécurité d’approvisionnement avant d’approuver la cession d’Italiana Petroli au groupe étatique azéri SOCAR, alors que les négociations se poursuivent.
Envision Energy lance son premier projet en Turquie en partenariat avec Yildizlar Group, ajoutant 232 MW à la capacité éolienne nationale dans la province de Karaman.
Face aux délestages imposés par les autorités, les petites entreprises en Iran enregistrent des pertes croissantes, sur fond de sécheresse, de pénurie de carburant et de pression sur le réseau électrique national.
Un rapport de l’Agence internationale de l’énergie atomique chiffre à 440,9 kg l’uranium iranien enrichi à 60 % avant les frappes israéliennes et américaines, l’accès de l’agence aux sites d’enrichissement demeurant suspendu depuis les opérations.
Les exportateurs saoudien et irakien ont cessé d’approvisionner Nayara Energy, contraignant la raffinerie indienne contrôlée par Rosneft à dépendre exclusivement du brut russe en août.
Le groupe nucléaire russe Rosatom a confirmé des discussions avancées avec l’Inde et la Turquie pour le lancement de nouvelles centrales, incluant des technologies de réacteurs avancés et flottants.
La Russie et l’Iran cherchent à resserrer leur coopération nucléaire alors que l’E3 active le mécanisme de sanctions contre Téhéran, ravivant les tensions sur le respect de l’accord de Vienne de 2015.
Les trois puissances européennes déclenchent le mécanisme de sanctions onusiennes contre l’Iran, mettant sous pression les exportations pétrolières du pays au moment où Téhéran maintient une production élevée malgré les mesures occidentales.
L’Iran autorise de nouveau l’Agence internationale de l’énergie atomique à inspecter ses sites nucléaires, après une suspension provoquée par un différend sur la responsabilité des frappes israéliennes.
Washington intensifie la pression sur le secteur pétrolier iranien en sanctionnant un armateur grec et ses filiales, accusés d’avoir facilité l’exportation de brut vers l’Asie malgré les embargos en vigueur.
Des infrastructures énergétiques azerbaïdjanaises visées en Ukraine remettent en question la sécurité des flux gaziers entre Baku et Kyiv, alors qu’un nouvel accord de livraison vient à peine d’être signé.
La suspension des 1 400 MW d’électricité fournis par l’Iran à l’Irak met sous pression le réseau irakien, tandis que Téhéran enregistre une demande record de 77 GW et doit arbitrer entre consommation interne et obligations régionales.
Pékin s’oppose à l’éventuel retour des sanctions du trio européen contre l’Iran, alors que l’échéance de l’accord sur le nucléaire approche et que les tensions diplomatiques s’intensifient autour de Téhéran.
Karpowership et Seatrium officialisent un partenariat stratégique pour convertir des unités LNG flottantes, renforçant leur offre conjointe sur les marchés émergents de l’électricité mobile.
Bagdad et Damas intensifient leurs discussions pour réactiver l'oléoduc de 850 km fermé depuis 2003, offrant une alternative méditerranéenne face aux tensions régionales et aux blocages d'exportation.
Le géant logistique émirati affiche une croissance de 40% de ses revenus malgré des taux de fret maritimes déprimés, portée par l'intégration de Navig8 et l'expansion stratégique de sa flotte.
Le Kazakhstan, premier producteur mondial d'uranium, accélère sa transition vers l'énergie nucléaire. Des consultations publiques ont eu lieu avant le référendum qui déterminera l’avenir de la première centrale nucléaire du pays.
La Géorgie entame la construction de sa première raffinerie de pétrole à Kulevi, visant à réduire sa dépendance aux importations russes et à renforcer son autonomie énergétique.
L’essor solaire en Europe centrale, mené par la Pologne et la Hongrie, ouvre des perspectives d’investissement attractives pour les acteurs du secteur énergétique.
Bulgargaz entame des pourparlers avec Botas pour réviser leur accord gazier, essentiel à la diversification énergétique de la Bulgarie, en réponse aux critiques sur son efficacité.
Vladimir Poutine visite l'Azerbaïdjan pour consolider les partenariats énergétiques, dans un contexte géopolitique tendu et marqué par la réorientation des flux énergétiques européens.
la Russie augmente ses exportations de fioul et de VGO vers l’Asie. La Chine et l’Arabie Saoudite se distinguent comme les principaux importateurs, selon les données de LSEG.
En juillet 2024, les exportations maritimes russes de produits pétroliers vers l'Asie ont doublé pour atteindre 1,1 million de tonnes, avec un recours accru à la route via le Cap de Bonne-Espérance pour éviter le Canal de Suez.
Les exportations russes de charbon thermique connaissent une hausse notable, soutenues par une forte demande en Asie-Pacifique et en Méditerranée, ainsi qu'une réduction temporaire des tarifs d'exportation.
Karpowership alloue un milliard de dollars à la conversion du LNG en électricité au Mozambique, renforçant le réseau énergétique de l'Afrique australe.
Les prix du gaz naturel liquéfié (GNL) en Europe grimpent, compliquant l'arbitrage vers l'Asie, malgré une demande européenne faible et des stocks élevés.
En mai 2024, la Grèce et la Bulgarie ont réduit significativement leurs dépenses pour les importations de gaz naturel en provenance d'Azerbaïdjan, tout en maintenant des volumes similaires, soulignant une gestion rigoureuse des coûts énergétiques.
Altay Enerji s'engage dans un projet de centrale thermique au gaz naturel de 240 MW à Bichkek, visant à moderniser l'infrastructure énergétique du Kirghizistan tout en réduisant son empreinte carbone.
ENEOS Holdings et Cosmo Energy Holdings ajustent leur stratégie pour répondre à la demande croissante de carburant d'aviation au Japon, en augmentant la production et en envisageant des importations face aux tensions géopolitiques.
L’expiration imminente de l’accord de transit gazier entre la Russie et l’Ukraine en 2024 pourrait entraîner des perturbations majeures dans l'approvisionnement énergétique de plusieurs pays européens, exacerbant les tensions géopolitiques actuelles.
Le gazoduc entre la Grèce et la Bulgarie prévoit une extension de 3 à 5 milliards de mètres cubes par an malgré une demande réduite, motivée par des enjeux stratégiques et nationaux.
Les exportations de pétrole russe par des tankers non-G7 chutent de 10 % en juillet sous l'effet des sanctions occidentales, entraînant une réduction des livraisons internationales.
Malta Inc. et Schmid Pekintas signent un accord pour développer des projets hybrides de stockage d'énergie solaire en Turquie, aux États-Unis et en Europe, visant une capacité totale de 1GW sur cinq ans.