La Commission européenne prépare un nouveau paquet de sanctions incluant une interdiction accélérée du gaz naturel liquéfié russe, avec des négociations déjà entamées entre États membres.
Les congestions portuaires en Australie ont favorisé une hausse des exportations russes et indonésiennes de charbon vers la Corée du Sud, désormais dominée par ces deux fournisseurs plus compétitifs.
Une nouvelle analyse estime que les champs pétroliers existants pourraient produire jusqu’à 1 000 milliards de barils supplémentaires sans découverte majeure, grâce à l’application de méthodes éprouvées appuyées par l’intelligence artificielle.
Le producteur russe Novatek a réacheminé une partie de sa production de condensat de gaz vers le port de Novorossiisk, après l’arrêt temporaire de son complexe d’Ust-Luga à la suite d’un incendie causé par une attaque de drone.
Baker Hughes a signé un contrat pluriannuel avec Petrobras pour maintenir en service les navires Blue Marlin et Blue Orca dans les champs offshore brésiliens, incluant la fourniture de produits chimiques et de services associés.
KazMunayGas a repris l’acheminement de pétrole vers la Turquie via l’oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan, après un arrêt lié à un problème de contamination résolu au terminal d’Aktau.
Le ministre polonais de l’Énergie appelle les États membres de l’Union européenne à s’engager collectivement à stopper les achats de pétrole russe sous deux ans, évoquant des risques géopolitiques croissants.
La Commission européenne et les États-Unis prévoient d’intensifier leurs mesures économiques contre la Russie, ciblant notamment le secteur énergétique et les cryptomonnaies dans un nouveau train de sanctions.
La Russie et l’Indonésie ont surpassé l’Australie comme principaux fournisseurs de charbon thermique à la Corée du Sud en août, portées par des prix inférieurs et une logistique plus fiable face aux retards australiens.
Un ressortissant ukrainien arrêté en Italie va être extradé vers l’Allemagne, où il est soupçonné d’avoir coordonné l’attaque contre les gazoducs Nord Stream 1 et 2 dans la mer Baltique en 2022.
ACWA Power s’impose sur le projet solaire-stockage NOOR Midelt 2 et 3 au Maroc, devançant des concurrents européens et émiratis, avec l’appui décisif de la technologie de stockage de Gotion High-Tech.
Le méthanier Iris, issu du projet Arctic LNG 2, a accosté au terminal chinois de Beihai malgré les sanctions américaines et européennes, marquant une intensification des flux gaziers entre la Russie et la Chine.
L’Argentine veut renforcer ses ventes de gaz au Brésil d’ici 2030, mais les frais de transit élevés imposés par la Bolivie nécessitent de lourds investissements publics pour sécuriser de nouvelles routes alternatives.
Londres a élargi ses sanctions contre la Russie en inscrivant 70 nouveaux pétroliers sur sa liste noire, portant un coup aux exportations énergétiques russes au cœur de ses revenus budgétaires.
L’arrivée accélérée de cargaisons russes en Chine a fait baisser les prix du GNL spot en Asie, mais le trafic va ralentir avec la fermeture saisonnière de la Route maritime du Nord.
Des cargaisons de gaz naturel liquéfié et des hausses de débits par gazoduc renforcent l’optionnalité gazière de la Chine, tout en testant le régime de sanctions et en reconfigurant des arbitrages prix-volume pour la prochaine décennie.
Le fabricant français de tubes en acier Vallourec a conclu un accord stratégique avec Petrobras, prévoyant la fourniture de solutions complètes pour les puits offshore entre 2026 et 2029.
Bruxelles confirme son objectif de cesser toutes les importations d’énergie russe d’ici 2028, malgré les pressions diplomatiques croissantes exercées par Washington dans le contexte du conflit en Ukraine.
La hausse de production des membres de l’Opep+ et des producteurs hors alliance devrait générer un surplus pétrolier mondial dès 2025, mettant sous pression les prix du brut selon l’Agence internationale de l’énergie.
La compagnie brésilienne renforce sa présence en Afrique avec une nouvelle participation dans l’exploration offshore, en s’associant à Shell et Galp pour développer le bloc 4 de São Tomé-et-Príncipe.
Les projets de parcs éoliens offshore en mer Baltique sont jugés incompatibles avec la défense nationale suédoise, en raison des perturbations qu’ils engendreraient sur les capteurs militaires essentiels à la sécurité du pays.
Le président russe Vladimir Poutine est accueilli au Kazakhstan pour discuter de projets énergétiques majeurs, dans un contexte de rivalités internationales avec la Chine et les Occidentaux.
Un contrat majeur a été signé entre la Bolivie et Hong Kong CBC Investment pour la construction de deux usines de carbonate de lithium, renforçant la position stratégique du pays dans le secteur des énergies renouvelables.
La Turquie cherche à obtenir une dérogation aux sanctions américaines pour continuer à régler ses importations de gaz auprès de Gazprombank, essentielle à sa sécurité énergétique, selon le ministre turc de l’Énergie, Alparslan Bayraktar.
Les ministres saoudien, russe et irakien ont échangé à Bagdad sur les quotas de production et la stabilité des marchés pétroliers avant la réunion cruciale de l’OPEP+ prévue le 1er décembre.
L’Arabie Saoudite prévoit une baisse de son déficit budgétaire à 26,8 milliards de dollars en 2025. Ce recul s’inscrit dans le cadre de réformes ambitieuses visant à diversifier l’économie tout en réduisant les dépenses publiques.
La visite historique de Narendra Modi au Guyana ouvre la voie à des accords à long terme pour l’importation de pétrole brut, renforçant les ambitions énergétiques de l’Inde face à une concurrence européenne féroce.
La centrale nucléaire Angra 1 au Brésil, exploitée par Eletronuclear, a obtenu l'autorisation d’opérer jusqu’en 2044. Cette prolongation marque une étape importante pour la sécurité énergétique du pays et reflète la maturité du cadre réglementaire national.
Malgré des engagements auprès de l’OPEP+ pour limiter sa production, les Émirats arabes unis affichent des volumes d’exportation pétrolière bien au-dessus des quotas. Une situation qui soulève des interrogations et ravive les tensions au sein du cartel.
Kogas et plusieurs acheteurs japonais de GNL ont confirmé ne pas utiliser la banque russe Gazprombank, sanctionnée par les États-Unis, pour leurs transactions liées au projet Sakhalin 2, évitant ainsi tout impact sur leurs importations.
Les prix du gaz naturel grimpent en flèche, atteignant un niveau inédit depuis un an aux États-Unis et en Europe, sous l'effet des prévisions météorologiques pour l'un et des tensions géopolitiques pour l'autre.
En réponse aux critiques de l'AIEA, l'Iran a activé de nouvelles centrifugeuses avancées, marquant une escalade dans son programme nucléaire et un bras de fer avec les puissances occidentales.
À Bakou, les pays riches s'engagent à fournir 300 milliards de dollars par an d'ici 2035 pour aider les nations vulnérables face au climat. Une promesse jugée insuffisante, dans un contexte de tensions diplomatiques et d'urgence climatique.
Entre des marges faibles, des taxes croissantes et des retards ferroviaires, les raffineries russes peinent à maintenir leurs activités, tandis que les projets de modernisation sont freinés par des taux d’intérêt élevés et des sanctions occidentales.
Face à un marché pétrolier sous pression, la Russie et l’Irak consolident leur coopération au sein de l’OPEP+ pour stabiliser les prix. Cette alliance, cruciale pour leurs économies, illustre la complexité des équilibres géopolitiques et énergétiques.
Malgré un différend entre Gazprom et OMV, les flux de gaz russe transitant par l'Ukraine vers l'Union européenne restent stables à 42,4 millions de mètres cubes par jour, révélant la complexité des enjeux économiques et juridiques du marché énergétique européen.
Malgré son potentiel énergétique impressionnant, le projet d'exportation de gaz de Vaca Muerta en Argentine fait face à des obstacles liés aux infrastructures, aux coûts élevés et à l'instabilité réglementaire, freinant sa transformation en un acteur mondial de l'énergie.
L'administration Trump prévoit de soutenir l'énergie nucléaire et la production domestique d'uranium. Toutefois, des questions subsistent sur les budgets futurs et les priorités face à des dépenses concurrentielles.
Lors de la COP29 à Bakou, 25 nations, dont le Royaume-Uni et l’Australie, se sont engagées à cesser la construction de centrales à charbon. Une initiative visant à limiter le réchauffement climatique malgré une hausse mondiale de 2 % de la capacité charbon en 2023.
Alors qu’il accueillera la COP30 en 2025, le Brésil, producteur majeur de pétrole, veut jouer un rôle clé dans la transition énergétique en promouvant un débat global sur la réduction progressive des combustibles fossiles.