La Copenhagen Infrastructure Partners (CIP) ainsi que la Tokyu Land Corporation (TLC) s’allient pour un projet éolien offshore. Il se nomme Aomori South et se situe dans le nord du Japon.
CIP et TLC, une alliance prometteuse
L’équipe de projet se compose des deux entreprises. D’un côté, TLC qui est experte en revitalisation des communautés locales avec un regard d’expert en matière d’énergie renouvelable au Japon. De l’autre, CIP qui possède de solides capacités en matière de développement d’éoliennes offshore.
De plus, ils travaillent étroites collaboration avec les parties prenantes et les communautés locales. Cela, dans l’objectif que chaque acteur puisse tirer des avantages (région, ville etc.) que ce soit en termes d’emplois ou de rémunération.
Pour le moment, le gouvernement japonais espère une production de 10 GW d’ici 2030. Il souhaite ensuite passer à 45 GW en 2040. La date butoir est 2050 ou le pays a pour objectif d’atteindre la neutralité carbone d’ici là.
CIP est aujourd’hui le plus grand gestionnaire de fonds dédiés au sein d’investissements greenfield dans les énergies renouvelables. Leur portefeuille se dédie à tout type d’énergies renouvelables comme le photovoltaïque, la biomasse ou encore l’énergie provenant des déchets.
A ce jour, CIP a levé près de 18 milliards de d’euros pour des investissements dans les énergies renouvelables. Son objectif est de gérer 100 milliards d’euros d’investissements en 2030. L’entreprise est implantée à l’international et souhaite approfondir cette dernière que ce soit en termes d’investissement ou de réalisation de projets.
TLC est quant à lui, un acteur plus jeune dans ce nouveau marché. Initialement spécialisé dans l’immobilier, TLC a opéré une reconversion dans le domaine des énergies renouvelables et ce, dès 2016.
De fait, ils créent une division dédiée au développement, à la construction et à l’exploitation d’actifs d’énergie renouvelable. Notamment dans le solaire photovoltaïque, l’éolien terrestre et la biomasse.
A ce jour, ils comptent plus de 82 projets à leur actif. Ainsi, leur portefeuille énergétique s’élève à 1,3 GW. Pour chaque projet, il souhaite collaborer étroitement avec tous les acteurs d’un projet afin de promouvoir les développements régionaux.