La décision du président américain Joe Biden de ne pas participer à la COP28 à Dubaï soulève des interrogations dans les milieux politiques et environnementaux. En effet, avec un record de plus de 70.000 participants attendus, cette absence est perçue comme un jalon important dans l’engagement climatique des États-Unis.
Engagement International et Agenda Local de Biden
Malgré l’importance de la COP28, marquée par la présence de personnalités comme le pape François, l’agenda de Biden est orienté vers des engagements domestiques. Toutefois, ces activités comprennent la promotion des investissements dans l’énergie éolienne et des rencontres diplomatiques, montrant un recentrage sur des questions internes et externes urgentes.
Historique de l’Engagement Américain dans les COP
Historiquement, la participation des présidents américains aux COP n’était pas constante. Cependant, Biden avait précédemment renforcé l’engagement des États-Unis dans la lutte contre le changement climatique, en particulier après le retrait de l’accord de Paris. Sa présence aux COP26 et COP27 avait été un signal fort de cet engagement.
Le Rôle de John Kerry à la COP28
Avec l’absence de Biden, c’est John Kerry, l’émissaire américain pour le climat, qui dirigera la délégation. Son expérience en tant qu’ancien secrétaire d’État joue un rôle crucial, bien que l’absence du président amène à s’interroger sur l’engagement actuel des États-Unis.
Perspectives Futures de la Politique Climatique Américaine
La décision de Biden de ne pas participer à la COP28 suscite des interrogations sur la direction future de la politique climatique américaine. Dans un contexte où les enjeux environnementaux mondiaux s’intensifient, cette absence pourrait être interprétée comme un signe de réorientation des politiques internes américaines.
L’impact de cette décision se ressentira dans les discussions de la COP28 et au-delà, soulignant le rôle crucial des États-Unis dans les efforts mondiaux contre le changement climatique. Les actions et les choix des leaders américains restent donc sous le feu des projecteurs internationaux.
L’absence du président Biden à la COP28 de Dubaï est un événement notable qui reflète un rééquilibrage possible des priorités politiques et environnementales des États-Unis.