Le sommet du G20, réunissant 19 pays et l'Union européenne, se tient à New Delhi dans un contexte où les enjeux climatiques sont plus cruciaux que jamais. Le chef de l'ONU Climat a qualifié les déclarations des membres du G20 de "tristement inadaptées" face à l'urgence climatique.

Les dirigeants africains ont appelé mercredi la communauté internationale à les aider à faire fructifier le potentiel du continent dans la lutte contre le réchauffement climatique, via des investissements verts et une réforme du système financier international, en clôture d'un sommet historique.

Les dirigeants africains se réunissent à Nairobi pour le premier sommet africain sur le climat, cherchant à obtenir un consensus pour la transition énergétique verte en Afrique et à mobiliser des fonds pour lutter contre le changement climatique. Cet accord pourrait influencer les futures réunions internationales et contribuer à la lutte mondiale contre le changement climatique.

Les trois pays renforcent leur coopération énergétique pour faciliter les exportations de gaz naturel et d'énergies renouvelables vers l'Europe. Cette initiative peut diversifier les sources d'approvisionnement en gaz de l'Europe et améliorer l'intégration des énergies renouvelables, mais suscite également des préoccupations environnementales et géopolitiques.

Les Émirats arabes unis annoncent un investissement de 4,5 milliards de dollars dans les énergies propres en Afrique lors du Sommet africain sur le climat. Cette initiative vise à développer 15 GW d'énergie propre d'ici 2030 et mobiliser 12,5 milliards de dollars supplémentaires.

Suite au rejet controversé des eaux usées de Fukushima, Tokyo a appelé Pékin à assurer la sécurité des résidents japonais en Chine face à une vague de harcèlement téléphonique visant les entreprises japonaises. Les tensions entre les deux pays s'aggravent en raison du désaccord sur le rejet des eaux de Fukushima et de ses répercussions commerciales.

Le ministre turc des Affaires étrangères discute de l'eau, du pétrole kurde et du PKK lors d'une visite en Irak. Les tensions concernant les ressources hydriques et la lutte contre le groupe militant sont au cœur des entretiens.

Le Japon prévoit de commencer le rejet d'eau contaminée de la centrale nucléaire de Fukushima dans l'océan Pacifique, provoquant des inquiétudes et une colère internationale, principalement de la Chine.

Rencontre Erdogan-Orban : Sécurité énergétique, OTAN et partenariat au cœur des discussions entre la Turquie et la Hongrie. Un nouveau chapitre s'amorce dans leurs relations, avec un accent sur la coopération énergétique et les enjeux diplomatiques. En parallèle, les tractations autour de l'adhésion de la Suède à l'OTAN se poursuivent, reflétant des dynamiques complexes dans cette région.

Le ministre ukrainien de l'énergie rejette les pourparlers avec la Russie malgré les livraisons de gaz en cours. Les problèmes de volume, de paiement et la déclaration de force majeure à Sokhranivka affectent les prix et la part de marché du gaz russe en Europe.

La raffinerie Al Zour du Koweït devient le principal fournisseur de carburant maritime pour le Qatar, tandis que les exportations de carburéacteur et de fioul à faible teneur en soufre augmentent vers l'Europe et stimulent la production au Moyen-Orient.

Les marines occidentales conseillent aux navires d'éviter les eaux iraniennes dans le détroit d'Ormuz pour éviter les saisies de navires et les tensions, suite aux retraits d'accords et sanctions des États-Unis.

Le plan climat de Biden, visant à stimuler la transition énergétique et les investissements verts aux États-Unis, suscite des préoccupations chez les alliés européens et asiatiques en raison de ses implications économiques.

Le Royaume-Uni s'apprête à accueillir un congrès international d'une envergure significative, visant à aborder les questions cruciales liées à la sécurité énergétique.

Face à la suspension des exportations pétrolières du Kurdistan depuis mars et aux tensions sur la production et le partage des revenus, Bagdad et Erbil ont entrepris de créer un comité pour élaborer une loi sur le pétrole et le gaz. Cette initiative cherche à résoudre ces différends qui impactent la production pétrolière irakienne et le marché méditerranéen.

Conflit gazier Irano-Koweitien : L'Iran invite le ministre des Affaires étrangères du Koweït à des pourparlers sur le champ Arash-Dorra. Le différend remontant aux années 1960 oppose les trois pays riverains à propos de ce gisement gazier riche en réserves. En effet, la tension persiste avec les revendications contestées par l'Arabie saoudite.

Un pétrolier russe a été visé par un drone ukrainien dans le détroit de Kertch, provoquant une interruption temporaire du trafic sur le pont crucial reliant la Crimée à la Russie, dans un contexte de tensions croissantes en mer Noire. L'attaque a été confirmée par les services de sécurité ukrainiens, marquant une escalade des hostilités entre les deux pays qui s'affrontent depuis février 2022.

Les États-Unis prévoient de déployer des équipes de sécurité composées de Marines et de membres de l'US Navy sur des pétroliers transitant près du détroit d'Ormuz pour renforcer la défense de ces navires vulnérables et dissuader l'Iran de les saisir. Cette mesure complémentaire vient s'ajouter au déploiement récent d'un navire de guerre et d'avions de combat dans la région.

Les pays baltes ont conclu un accord pour se déconnecter du réseau électrique russe et rejoindre celui de l'UE, renforçant ainsi leur sécurité énergétique.

L'Iran, l'Arabie saoudite et le Koweït s'opposent sur un riche champ gazier en mer, ravivant un différend de longue date. Les revendications concurrentes menacent la coopération et ravivent les tensions dans la région.

Le plafonnement du prix du pétrole russe, une mesure de sanctions économiques inédite, vise à limiter les recettes pétrolières de la Russie malgré les tensions sur le marché.

Les discussions du G20 sur le climat, réunissant les ministres de l'Environnement de pays représentant plus de 80% des émissions de CO2, ont été bloquées lors d'une réunion en Inde. Des désaccords avec la Chine, l'Arabie saoudite et la Russie ont compliqué les débats, suscitant des démentis de la part de la Chine.

L'Irak cherche à résoudre le problème des impayés envers l'Iran pour le gaz en collaborant avec les États-Unis, tandis que le taux de change de sa monnaie suscite des inquiétudes.

Le vice-Premier ministre chinois marque le 10e anniversaire du CPEC, mais les résultats sont mitigés entre la Chine et le Pakistan, tandis que la sécurité reste une préoccupation majeure suite aux attentats contre les projets du corridor économique.

L'Iran réaffirme sa détermination à défendre ses droits sur le champ gazier disputé, impliquant également l'Arabie saoudite et le Koweït, en l'absence de coopération de ces deux pays, tandis que Téhéran recherche toujours une voie de négociation pour résoudre le conflit autour du gisement.

Pays occidentaux sollicitent l'aide de la Chine pour endiguer le trafic de pétrole vers la Corée du Nord malgré les sanctions de l'ONU. Les ambassadeurs demandent une coopération internationale renforcée pour contrer ces pratiques maritimes et faire respecter les résolutions du Conseil de sécurité.

Le Premier ministre japonais Fumio Kishida renforce les relations énergétiques avec les pays du Golfe, en réponse à la rivalité croissante avec la Chine. La tournée de Kishida vise à assurer un approvisionnement stable en énergie pour le Japon, qui dépend largement des importations de gaz et de pétrole de ces pays riches en hydrocarbures.

Le président chinois Xi Jinping renforce les liens avec l'Algérie lors de la visite de son homologue algérien Abdelmadjid Tebboune à Pékin, soutenant l'aspiration de l'Algérie à rejoindre les BRICS. La Chine investit dans le secteur de l'énergie en Algérie, renforçant ainsi la coopération entre les deux pays dans ce domaine stratégique.

Le Premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis, exprime son souhait de résoudre le différend historique avec la Turquie concernant la délimitation de leurs zones maritimes en s'adressant à la Cour internationale de justice de La Haye. Tout en reconnaissant que parvenir à un accord avec Ankara ne sera pas facile, il aspire à trouver une solution qui permette à la Cour internationale d'intervenir dans cette affaire en suspens depuis des décennies, qui concerne les droits d'exploration énergétique en mer Égée et la Méditerranée orientale.

Les échanges commerciaux entre la France et les Émirats arabes unis, ainsi qu'avec le Qatar, ont augmenté, dépassant même les niveaux d'avant la pandémie de Covid-19, grâce à des partenariats stratégiques dans le secteur de l'énergie, en particulier dans les domaines de l'hydrogène, des énergies renouvelables et du gaz naturel liquéfié (GNL). La coopération dans la transition énergétique, y compris les voitures électriques, l'hydrogène vert et le carburant d'aviation durable, est au cœur de cette croissance des échanges.