La chute des importations chinoises et le recentrage régional de l’Asie font peser une pression accrue sur les exportateurs australiens de charbon thermique.
La société Kogi State Electricity Distribution Limited a déclaré une perte de ₦1.3bn ($882,011) due à des actes de fraude énergétique, compromettant la viabilité de ses opérations dans l'État de Kogi.
Plus de 40 développeurs se réuniront à Livingstone du 26 au 28 novembre pour transformer les engagements énergétiques de l’Afrique australe en projets bancables et interconnectés.
Les projections du Citepa confirment un ralentissement marqué de la trajectoire climatique française, avec une baisse des émissions nettement inférieure aux objectifs définis dans la stratégie nationale bas-carbone.
Les États-Unis menacent d’imposer des sanctions économiques aux pays membres de l’Organisation maritime internationale qui approuveraient une taxe carbone sur le transport maritime mondial.
La progression mondiale de l’accès à l’électricité reste en net ralentissement, avec seulement 11 millions de personnes nouvellement connectées en 2024, malgré les efforts ciblés dans certaines régions d’Afrique et d’Asie.
Un rapport parlementaire met en cause la réforme de la tarification de l’électricité prévue pour 2026, pointant une exposition accrue au marché et un mécanisme de redistribution encore flou.
Le Sénat américain a confirmé deux nouveaux commissaires à la tête de la Commission fédérale de régulation de l’énergie, offrant une majorité républicaine qui pourrait redessiner l’approche réglementaire des infrastructures énergétiques nationales.
Le gouvernement fédéral lance un appel à projets doté de 3 mn CAD pour financer la participation autochtone aux infrastructures et projets énergétiques liés aux minéraux critiques.
Des opportunités émergent pour les pays africains de passer de l’extraction à la fabrication industrielle dans les chaînes de valeur des technologies énergétiques, alors que les discussions du G20 de 2025 mettent en lumière ces enjeux.
Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), la capacité mondiale de production renouvelable pourrait plus que doubler d’ici 2030, portée par l’essor du solaire photovoltaïque malgré les tensions sur les chaînes d’approvisionnement et les politiques changeantes.
L’Algérie prévoit d’allouer 60 milliards $ à ses projets énergétiques d’ici 2029, majoritairement orientés vers l’amont pétrolier et gazier, tout en développant la pétrochimie, les renouvelables et les ressources non conventionnelles.
Les acheteurs chinois entament les négociations pour les livraisons de charbon thermique en 2026, préférant des contrats plus courts afin de préserver leur flexibilité dans un marché aux prix stables.
La Chine a établi un record d’exportations de technologies propres en août, dopée par la hausse des ventes de véhicules électriques et de batteries, avec plus de la moitié de la croissance provenant des marchés hors OCDE.
Une attaque nocturne sur le réseau électrique de Belgorod a coupé l’alimentation pour des milliers d’habitants, selon les autorités locales russes, malgré une reprise partielle des services dès le lendemain matin.
L’Académie des sciences appelle à un accord international pour interdire la modification du rayonnement solaire, évoquant des risques majeurs pour la stabilité climatique et les économies mondiales.
Les producteurs de charbon du Queensland peinent à contenir leurs coûts, toujours supérieurs à ceux d’avant 2022, alors que les effets de la hausse des redevances et la pression sur les marges continuent de peser sur le secteur.
L’arrêt des services fédéraux américains perturbe l’ensemble de la chaîne décisionnelle pour les projets énergétiques et miniers, avec des risques accrus de retards administratifs et d’absence de données critiques.
Face à l’éventualité d’une fermeture du gouvernement fédéral, plusieurs agences américaines de l’énergie organisent la suspension de leurs services et la mise au chômage technique de milliers d’employés.
Un rapport révèle l’impact économique des pertes d’énergies renouvelables au Chili, indiquant qu’une baisse de 1% des curtailments générerait $15mn d’économies annuelles.
Une hausse sans précédent de la demande d'électricité met à l'épreuve les infrastructures américaines. Les secteurs des centres de données et de l'industrie manufacturière jouent un rôle clé dans cette croissance.
Les coûts de production des énergies renouvelables, notamment l'éolien et le solaire, continuent de baisser en 2024, dépassant les énergies fossiles sur de nombreux marchés, selon un rapport de Wood Mackenzie.
Huit députés et sénateurs de Loire-Atlantique demandent à Emmanuel Macron de revenir sur la décision de fermeture de la centrale à charbon de Cordemais, prévue pour 2027, dénonçant une rupture des engagements environnementaux.
Le Royaume-Uni lance un plan de modernisation de son infrastructure énergétique, visant à accélérer la transition vers les énergies renouvelables et à réduire les coûts d’ici 2050, avec un accent sur l’éolien offshore, l’hydrogène et le stockage d’électricité.
Le fonds souverain norvégien, plus grand fonds mondial, a réalisé 71 milliards d’euros de gains au troisième trimestre 2024, boosté par la baisse des taux d'intérêt. Son rendement global atteint 4,4%.
Le Cambodge prévoit d'accroître sa capacité d'importation d'électricité de plus de 50% en deux ans grâce à des accords avec le Laos, le Vietnam et la Thaïlande, renforçant ainsi sa sécurité énergétique et diversifiant ses sources renouvelables.
L'Ouzbékistan engage 1,3 milliard de dollars dans des projets de valorisation énergétique des déchets, visant à diversifier ses sources d'énergie et améliorer sa gestion des déchets, en partenariat avec des entreprises internationales.
Turquie quadruple sa capacité éolienne et solaire à 120 GW d'ici 2035, nécessitant 108 milliards de dollars d'investissements publics et privés pour réduire la dépendance aux combustibles fossiles et soutenir une économie neutre en carbone.
Le flux quotidien de charbon en provenance de Mongolie vers la Chine a rebondi à la mi-octobre, entraînant une hausse notable des stocks de charbon métallurgique dans le pays.
Le gouvernement français présente sa première stratégie pluriannuelle visant à augmenter les investissements bas carbone de 110 milliards d'euros d'ici 2030, soutenant ainsi la transition écologique et énergétique du pays.
La région autonome du Kurdistan irakien organise des élections marquées par des divergences sur les politiques pétrolières, tandis que les relations avec Bagdad restent tendues et la canalisation vers la Turquie demeure fermée.
Alex Saab, homme d'affaires libéré par les États-Unis, succède à Pedro Rafael Tellechea au poste de ministre de l'Industrie et de la Production nationale au Venezuela, renforçant ainsi l'élan du président Nicolas Maduro pour relancer le secteur industriel du pays.
Le Sénat du Mexique approuve une réforme constitutionnelle renforçant le contrôle étatique sur le secteur de l'électricité, redéfinissant le statut de la Commission fédérale de l'électricité (CFE) et de Pemex. Cette initiative vise à garantir des services à bas coût.
Les députés de la commission des Finances ont rejeté une augmentation prévue de la taxe sur l'électricité, influencés par divers amendements et les préoccupations liées à la précarité énergétique. Cependant, le projet sera réexaminé en séance plénière.
Lors de la COP29 à Bakou, les discussions se focalisent sur l'importance des financements publics des nations développées pour atteindre les objectifs climatiques mondiaux, selon Simon Stiell, secrétaire exécutif de l'ONU Climat.
L'Afrique s'engage résolument vers une transition énergétique renouvelable, combinant croissance économique et réponse aux besoins énergétiques de 1,5 milliard d'habitants. Cette évolution présente à la fois des opportunités stratégiques et des défis complexes.
Au cœur du Donbass, des mineurs ukrainiens continuent d'extraire le charbon essentiel malgré les bombardements. Leur travail, véritable front de l'énergie, est crucial pour maintenir l'approvisionnement en électricité de l'Ukraine en pleine guerre.
Selon une étude de Reclaim Finance, les grandes banques françaises ont continué à financer le secteur du charbon entre 2021 et 2023, malgré leurs engagements publics de désinvestissement. Cette persistance soulève des questions sur la sincérité de leurs démarches environnementales.
Les discussions à la COP29 de Bakou avancent sur l'objectif de finance climatique, avec trois options en lice pour déterminer les contributions des pays riches envers les nations en développement.
Les autorités panaméennes ont lancé une enchère énergétique ouverte aux nouvelles et anciennes centrales. Les projets éoliens, solaires, hydrauliques et de biomasse peuvent participer à cet appel d'offres visant à fournir de l'énergie entre 2025 et 2030.