Le programme offshore 2026-2031 propose d’ouvrir plus d’un milliard d’acres à l’exploration pétrolière, déclenchant une bataille réglementaire entre Washington, les États côtiers et les groupes juridiques spécialisés.
Le gouvernement du Mozambique regroupe ses actifs de transport et de regazéification gazière dans un véhicule public, consolidant l’axe stratégique Beira–Rompco pour soutenir les projets Rovuma et répondre à la dépendance sud-africaine.
Le gestionnaire britannique NESO engage un processus de consultation pour définir la méthodologie de onze futurs plans stratégiques régionaux destinés à coordonner les besoins énergétiques en Angleterre, en Écosse et au pays de Galles.
La conférence de Belém acte un compromis entre adaptation budgétairement encadrée, retrait des ambitions sur les fossiles et ouverture d’un dialogue climat–commerce susceptible de déclencher de nouveaux contentieux réglementaires.
La Banque asiatique de développement et le Kirghizistan ont conclu un accord de financement pour renforcer les infrastructures énergétiques, la résilience climatique et la connectivité régionale, avec plus de 700 mn $ engagés jusqu’en 2027.
Une étude de l’Oxford Institute for Energy Studies révèle que la valorisation énergétique des déchets avec captage de CO₂ offre un bénéfice climatique presque double par rapport à leur transformation en carburants d’aviation.
Signé pour 25 ans, le nouveau contrat de concession du Sipperec avec EDF et Enedis couvre 87 communes franciliennes et engage les parties sur la gestion et l’évolution du réseau public de distribution d’électricité jusqu’en 2051.
La Commission de régulation de l’énergie publie son rapport 2023-2024 et détaille les impacts de la crise sur les marchés du gaz et de l’électricité, ainsi que les mesures mises en œuvre pour soutenir la concurrence et restaurer la confiance des consommateurs.
Réunis à Belém, des États d’Afrique, d’Asie, d’Amérique latine et d’Europe soutiennent l’adoption d’un calendrier de retrait progressif des combustibles fossiles, malgré la résistance attendue de plusieurs pays producteurs.
L’E3 et les États-Unis déposent une résolution à l’AIEA pour formaliser la non-coopération iranienne après les frappes de juin, consolidant les bases juridiques d’un durcissement des sanctions énergétiques et financières.
Le Royaume-Uni lance une taskforce dirigée par le ministre de l'Énergie pour renforcer la sécurité du réseau électrique national, après l’interruption complète de l’aéroport d’Heathrow causée par un incendie de sous-station.
New Delhi sollicite $68bn d’investissements japonais pour accélérer ses projets gaziers, développer l’hydrogène et renforcer ses capacités d’importation de GNL dans un contexte d’ouverture accrue aux capitaux étrangers.
L’Allemagne introduira un tarif électrique plafonné pour ses industries les plus consommatrices, visant à préserver leur compétitivité face aux coûts énergétiques élevés.
Sous pression politique, l’Ademe est visée par des propositions de suppression. Son président rappelle le rôle de l’agence et justifie la gestion des 3,4 milliards d’euros opérés en 2024.
La production solaire et éolienne a dépassé l’augmentation de la demande mondiale d’électricité sur les trois premiers trimestres de 2025, entraînant une stagnation de la production fossile selon les dernières données disponibles.
Le gouvernement malaisien prévoit l’introduction d’une taxe carbone et renforce ses partenariats régionaux afin de stabiliser son industrie face aux régulations internationales émergentes.
E.ON met en garde contre le nouveau cadre réglementaire allemand qui pourrait freiner la rentabilité des investissements dans les réseaux électriques à partir de 2029.
Un black-out majeur a paralysé l’approvisionnement électrique en République dominicaine, affectant les transports, le tourisme et les infrastructures dans tout le pays. Les autorités affirment que la reprise se fait progressivement malgré un impact étendu.
Le Vietnam consolide son cadre réglementaire et financier pour décarboner son économie, structurer un marché carbone national et attirer des investissements étrangers dans sa stratégie énergétique à long terme.
La Banque européenne pour la reconstruction et le développement renforce son engagement dans les renouvelables en Afrique, en soutenant l’expansion solaire et éolienne d’Infinity Power au-delà de l’Égypte.
Un rapport du Public Policy Forum appelle à accélérer plus de 500 projets liés à l’énergie, aux minéraux critiques et aux infrastructures pour générer une croissance de CAD1 100bn du PIB canadien.
Le Québec soumet à consultation des projets de règlement visant à réviser les normes sur le gaz et à encadrer l’intégration de l’hydrogène, avec des retours attendus d’ici le 27 juin.
Le gouvernement danois étudie la possibilité d’autoriser les nouvelles technologies nucléaires, un changement majeur de réglementation énergétique après quatre décennies d’interdiction.
Le gouvernement espagnol a confirmé qu’aucun signe de cyberattaque n’a été identifié après la coupure d’électricité du 28 avril, qui avait affecté une large partie de la péninsule Ibérique.
Les autorités sud-africaines appellent à une approche qui intègre le développement économique et la protection de l'environnement, soulignant les déséquilibres globaux en matière de responsabilité climatique.
La Commission européenne envisage de modifier des lois environnementales afin d’accélérer l’octroi des permis pour les projets d’énergies renouvelables à l’échelle de l’Union européenne.
L’autorité espagnole de la concurrence a lancé sa propre enquête sur la panne d’électricité du 28 avril, s’ajoutant aux investigations en cours sur un incident qui a perturbé 60% de la consommation électrique du pays.
Le régulateur allemand BNetzA a lancé une consultation sur une réforme majeure des tarifs de réseau qui pourrait obliger les producteurs d’électricité à payer des frais d’accès, modifiant ainsi la structure de financement actuelle.
Le Département de l’énergie des États-Unis achètera trois litres d’hélium-3 à Interlune d’ici 2029, dans le cadre du premier contrat public portant sur une ressource naturelle extraite de la surface lunaire.
L’Iran prévoit de limiter les coupures de courant à deux heures par jour pour les ménages à partir du 10 mai, afin d’atténuer les tensions sur le réseau électrique national provoquées par la hausse des températures.
Le gouvernement français confie à Bernard Fontana la direction d’EDF, misant sur son expérience industrielle pour gérer la fin de l’Arenh et relancer le programme nucléaire.
La nouvelle ministre allemande de l’Économie, Katherina Reiche, prévoit 20 gigawatts de centrales à gaz pour répondre aux limites des énergies renouvelables.
Le Premier ministre espagnol a demandé du temps pour établir les causes d’une coupure sans précédent, survenue le 28 avril, qui a privé le réseau péninsulaire de 15 gigawatts d’électricité.
Le Premier ministre François Bayrou a assuré que la programmation énergétique 2025-2035 de la France restait en cours de concertation et ne serait finalisée qu’après les débats parlementaires prévus à partir du 16 juin.
RTE affirme qu’aucun élément ne permet, à ce stade, d’imputer la panne ibérique aux énergies renouvelables, tandis que l’enquête européenne débute et que les interconnexions deviennent un enjeu stratégique.
La réélection du gouvernement Albanese rassure les acteurs énergétiques qui réclament des ajustements réglementaires pour accélérer les projets et sécuriser l’investissement à long terme.
La SOGARA engage un programme de modernisation en deux phases pour accroître l'autonomie énergétique du pays d'ici 2030, avec un financement majoritairement externe.
Le Suriname a lancé un programme de redistribution anticipée de ses revenus pétroliers, offrant une prime de $750 à plus de 570 000 citoyens, bien avant le début de la production offshore prévue en 2028.
Une semaine après la méga-coupure, l’Espagne et le Portugal poursuivent leurs investigations sans conclusion technique, tandis que Madrid demande à la France d'accélérer les projets de liaisons transfrontalières.
Le chef de l’opposition australienne propose un plan de sept réacteurs nucléaires, remettant en cause la politique énergétique actuelle à la veille des élections fédérales et relançant un débat suspendu depuis plus de deux décennies.