Les principaux producteurs de pétrole accélèrent leur retour sur le marché, augmentant leurs quotas en août de façon plus marquée que prévu initialement, suscitant des interrogations sur les équilibres à venir.
Libreville intensifie la promotion des blocs en eaux profondes, encore inexplorés à soixante-douze pour cent, afin de compenser le recul de sa production de deux cent mille barils par jour enregistré l’an dernier, selon les données de GlobalData.
En marge du sommet États-Unis–Afrique à Luanda, Alger et Luanda consolident leur collaboration énergétique afin de mieux exploiter leur potentiel pétrogazier et minier, ciblant une stratégie commune sur les marchés régionaux et internationaux.
La potentielle fermeture du détroit d’Ormuz met sous pression les producteurs du Golfe, révélant leurs limites diplomatiques et logistiques face à un blocage menaçant 20 millions de barils quotidiens d’hydrocarbures destinés aux marchés internationaux.
Les réserves commerciales de brut des États-Unis baissent nettement de 3,1 millions de barils, dépassant largement les prévisions initiales et influençant immédiatement les cours pétroliers internationaux à la hausse.
L'OPEP confirme ses estimations de demande mondiale pour 2025-2026 malgré une offre légèrement ajustée, tandis que plusieurs membres, dont la Russie, peinent à atteindre leurs objectifs de production selon les quotas fixés par l'accord OPEP+.