Énergie : que proposent les candidats ?

La campagne présidentielle est lancée et, cette année, la question énergétique est au cœur des débats.

Partager:

Toute l'actualité de l'énergie en continu

Abonnement annuel

8.25$/mois*

*facturé annuellement à 99 $ la première année, puis 149$/an

Accès illimité • Archives incluses • Facture pro

AUTRES ACCES

Abonnement mensuel

Accès illimité • Archives incluses pendant 1 mois

5.2$/mois*
puis 14.90$ les mois suivant

COMPTE GRATUIT​

3 articles offerts par mois

GRATUIT

*Les prix affichés sont entendus HT, TVA variable en fonction de votre localité ou de votre statut professionnel

Depuis 2021 : 35 000 articles • +150 analyses/sem.

À deux semaines du premier tour, les candidats sont divisés quant aux projets à mettre en œuvre en matière d’énergie. Le climat, et par conséquent l’énergie, sera un enjeu clé du quinquennat à venir. Pourtant, ce dernier pèse très peu dans les débats. Par exemple, le dernier rapport du GIEC, publié fin février, est presque passé inaperçu.

Ainsi, le Syndicat des énergies renouvelables (SER), en partenariat avec PIPOLE, média de société sur Twitch, a organisé une matinale, diffusée en live sur Twitch, pour débattre de ces questions. La matinale, diffusée le 22 mars et disponible sur YouTube, a convié cinq porte-parole en charge des volets énergie et climat.

Parmi les 12 candidats à la présidentielle 2022, cinq se sont prêtés au jeu. On retrouve alors Anthony Cellier pour Emmanuel Macron (LREM), Delphine Batho pour Yannick Jadot (EELV), Yann Wehrling pour représenter Valérie Pécresse (LR), Amar Bellal pour Fabien Roussel (PCF) et, enfin, Jean-Marie Brom pour Jean-Luc Mélanchon (LFI).

Tous ont eu l’occasion de présenter les propositions de leur candidat avant de s’attaquer à trois exercices : une séquence de « oui ou non » en réponse à une série de questions clés, une séquence de réaction face à une de presse et un « temps additionnel » pour répondre à des questions posées par les twitcheurs.

Les multiples enjeux autour de l’énergie

Alexandre Roesch, directeur général du SER, était présent pour cette matinale. En guise d’introduction, il souligne trois enjeux majeurs.

D’abord, il met en avant le besoin d’abaisser notre consommation d’énergie et donc la nécessite de faire des choix de société. Aussi, il est important d’aborder la question de la chaleur qui représente, aujourd’hui, 45 % de la consommation énergétique en France. Or, celle-ci est encore très carbonée puisqu’elle est produite, à hauteur de 77 %, à partir des énergies fossiles.

Ensuite, il évoque la question des transports. 90 % des transports fonctionnent grâce aux énergies fossiles et le secteur, notamment pour le fret, est difficile à décarboniser. Ainsi, il représente un axe important de la transition énergétique.

Enfin, il rappelle le rôle de l’électrification. Aujourd’hui, en France, le mix est déjà très décarboné. De fait, 70 % de l’électricité est produite grâce au nucléaire et 25 % via les énergies renouvelables. L’enjeu est alors de maintenir ce mix énergétique, il est primordial de prendre des décisions politiques importantes. D’autant plus que la part de l’électricité dans la consommation d’énergie est vouée à augmenter.

De plus, Alexandre Roesch invite à faire attention aux contrevérités qui s’immiscent dans les débats autour de l’énergie. En effet, certaines sources d’énergie, comme le nucléaire et l’éolien, sont des sujets qui deviennent très politiques. Bien souvent, le débat est incomplet et irrationnel. En outre, ce débat tourne presque exclusivement autour de l’éolien et du nucléaire. Or il ne faut pas oublier les autres sources d’énergie comme le biogaz, l’énergie houlomotrice ou encore l’énergie hydraulique.

Que proposent les candidats en matière d’énergie ?

Ce quinquennat sera crucial et tous en sont conscients. Si les cinq porte-parole défendent des visions différentes, ils convergent sur certains points.

Faire des économies d’énergie

Tous les candidats, par la voix des porte-parole présents, s’accordent pour souligner la nécessité de faire des économies d’énergie. C’est un point essentiel qu’ils souhaitent mettre en place immédiatement.

En effet, il s’agit d’un point clé pour se détacher des énergies fossiles. Ainsi, Emmanuel Macron souhaite baisser la consommation de 40 % tout en conservant le confort et la qualité de vie actuelle. De son côté, Valérie Pécresse table sur une réduction de 25 %. Pour réduire notre consommation, Yannick Jadot, comme Jean-Luc Mélanchon, souhaite mettre au fin aux panneaux publicitaire électriques qui se multiplient.

Travailler sur la question de l’acceptabilité

Ici encore, les candidats s’accordent pour souligner le rôle primordial de l’acceptabilité. En effet, bien souvent, les projets connaissent des retards conséquents suite à une forte opposition de l’opinion publique. Pour illustrer ces difficultés, Jean-Marie Brom évoque le cas du parc éolien offshore de Saint-Nazaire. Dès 2012, de multiples recours ont vu le jour. Anthony Cellier explique, qu’en France, il faut compter 9 ans pour déployer un champ éolien, contre 4 en Allemagne.

Il s’agit alors d’écouter les Français et de prendre en compte leur opinion. Ainsi, Yannick Jadot souhaite faire participer les citoyens français au développement des énergies renouvelables. Il souhaite une collaboration, à hauteur de 15 %, entre le gouvernement et les citoyens et la mise en place d’aides pour inciter les Français à s’impliquer.

De son côté, Jean-Luc Mélanchon prône la pédagogie et la discussion. Il est conscient que le déploiement d’énergies renouvelables, notamment de parcs éoliens et solaires, puisse poser des problèmes en lien avec des nuisances (sonores, visuelles…). Cependant, il rappelle qu’il va falloir faire des choix.

Yann Wehrling, porte-parole de Valérie Pécresse, rejoint alors les autres invités. S’il évoque, à tort, qu’aujourd’hui le gouvernement ne consulte pas la population pour le déploiement de projets, il veut surtout évoquer le retour des énergies renouvelables pour les citoyens concernés. Selon lui, une meilleure visibilité concernant le retour direct des énergies renouvelables doit permettre une meilleure acceptabilité. C’est d’ailleurs un point sur lequel le SER veut travailler.

Si la question de l’acceptabilité est importante, le SER rappelle qu’il ne faut pas uniquement se fier aux nombreux recours en justice. De fait, il a mené un sondage en partenariat avec l’IFOP. Ce dernier montre que plus de 87 % des Français sont favorables au développement des énergies renouvelables. Il explique que, si 70 % des projets autour de l’éolien sont attaqués en justice, il s’agit du fruit d’un lobby anti-éolien puissant. Cependant, Alexandre Roesch, DG du SER, rejoint les candidats sur la nécessité de développer une pédagogie autour des énergies renouvelables afin d’expliquer les différents enjeux.

Quel mix énergétique pour la France ?

Sur cette question, les avis divergent. Comme nous avons pu le voir dans notre article sur le nucléaire, les candidats se déchirent quant aux sources d’énergie à exploiter.

Quelle place pour le nucléaire ?

Valérie Pécresse, Emmanuel Macron et Fabien Roussel convergent sur certains points concernant le nucléaire. En effet, les deux premiers souhaitent relancer la filière française du nucléaire. Par la construction de six nouveaux réacteurs nucléaires, le Président candidat à sa réélection entend atteindre le 50-50. En effet, il souhaite avoir une production électrique basée à 50 % sur le nucléaire et à 50 % sur le renouvelable. Idem, Valérie Pécresse veut construire de nouveaux réacteurs tout en prolongeant la durée de vie des centrales existantes. Cependant, elle ne précise pas la part du nucléaire dans le mix énergétique.

Aussi, Fabien Roussel compte sur le nucléaire. Il est le seul candidat de gauche à le faire. En effet, le candidat entend se reposer sur deux socles. Un premier, basé sur des énergies décarbonées et pilotables (le nucléaire et l’hydraulique) et un second composé d’énergies renouvelables (éolien, solaire). Selon lui, la combinaison de ces deux socles est essentielle pour garantir une sécurité énergétique. Les énergies pilotables sont une condition sine qua non au développement des énergies renouvelables.

Atteindre 100 % d’énergies renouvelables ?

Les deux autres porte-parole présents pour cette matinale partagent une vision diamétralement opposée. En effet, Jean-Luc Mélanchon et Yannick Jadot souhaitent un mix énergétique composé à 100 % d’énergies renouvelables d’ici 2050.

Yannick Jadot affirme que cet objectif est réaliste si on combine les économies d’énergie à un investissement massif dans le renouvelable. Il entend augmenter la puissance des installations éoliennes existantes, déployer 3 000 nouvelles éoliennes, rendre obligatoire les panneaux photovoltaïques sur les toitures des grandes surfaces (centres commerciaux, parking…).

Le candidat d’EELV souhaite alors sortir, au plus vite, du nucléaire. Selon sa porte-parole, la part importante du nucléaire dans le mix énergétique est une vulnérabilité puisqu’elle entraîne une dépendance à l’uranium, importé du Niger ou du Kazakhstan. Il souhaite alors miser sur toutes les énergies renouvelables : l’éolien, le solaire, l’hydraulique, la biomasse, etc.

Contrairement à Yannick Jadot, persuadé du pragmatisme de son objectif et qui accuse Emmanuel Macron de mettre en place un « plan fumeux » vis-à-vis du nucléaire, Jean-Luc Mélanchon est conscient de l’énorme difficulté de cet objectif. En effet, son porte-parole assume l’incertitude quant à la réussite du 100 % renouvelable. Il entend cependant tout faire pour atteindre, ou du moins se rapprocher, de cet objectif. De fait, le candidat s’engage à ne pas arrêter le nucléaire du jour au lendemain.

Les deux porte-parole évoquent, pour justifier cet objectif, le rapport publié par RTE en octobre 2021 concernant le futur de l’énergie à horizon 2050. Ce rapport comprend un scénario, le scénario M0, avec un mix composé à 100 % d’énergies renouvelables. Pour atteindre cet objectif, le RTE explique qu’il faudrait, par exemple, multiplier par 21 la capacité installée du solaire en 2050.

Si ce scénario est bien présent dans le rapport, les candidats semblent oublier de préciser qu’il est extrêmement difficile à atteindre. En effet, le RTE ouvre la voie à cette possibilité mais elle précise :

« Ces scénarios s’accompagnent de paris importants, et notamment la maîtrise parfaite de l’intégration de l’hydrogène. »

Il paraît donc improbable que la France puisse atteindre le 100 % d’énergie renouvelable d’ici 2050. Fabien Roussel explique d’ailleurs que la production massive de gaz renouvelables serait un exploit mais les technologies ne sont pas encore au point pour permettre une production à l’échelle industrielle.

Une filière de l’énergie complètement publique ?

C’est ce que propose Fabien Roussel. Le candidat du PCF souhaite avoir un EDF complètement public. En effet, il veut relancer une filière industrielle française pour atteindre une indépendance énergétique. Selon lui, il est impossible de le faire sans des subventions massives de l’État.

De plus, il critique le fonctionnement actuel d’EDF. L’entreprise est une société anonyme dont 84 % des parts appartiennent à l’État. Cependant, il explique qu’EDF se comportent de plus en plus comme une entreprise privée qui se concentre sur le bonheur des actionnaires. C’est, pour lui, un frein au développement du nucléaire et des énergies renouvelables.

La mise en place d’un service totalement public, en faisant d’EDF établissement public de caractère industriel et commercial (EPIC), doit permettre à EDF de faire des investissements sur le long terme. Cela suppose donc un pôle financier public capable de faire des prêts avec un taux d’intérêt très faible, voire nul, afin de permettre le développement d’une filière française.

Amar Bellal explique qu’il s’agit d’une question d’intérêt public, d’une question de survie pour la France et l’humanité. Ainsi, la finance doit suivre pour permettre de développer les énergies renouvelables.

Emmanuel Macron, en présentant son programme, a également ouvert la voie à un EDF 100 % public. Il a déclaré :

« Je pense que sur une partie des activités les plus régaliennes, il faut considérer que l’Etat doit reprendre du capital, ce qui va d’ailleurs avec une réforme plus large du premier électricien français. »

 

En somme, face aux grands défis énergétiques, les projets des 5 candidats divergent. Ils s’accordent sur certains points notamment sur la question des économies d’énergie et la question d’acceptabilité.

Cependant, la question du mix énergétique divise. Certains, comme Emmanuel Macron, Valérie Pécresse ou Fabien Roussel, entendent développer les énergies renouvelables tout en comptant sur le nucléaire. D’autres, comme Jean-Luc Mélanchon et Yannick Jadot, souhaitent sortir du nucléaire et veulent atteindre 100 % d’énergies renouvelables d’ici 2050. Tout de fois, il est important de souligner que cet objectif semble très, si ce n’est trop, ambitieux.

Tous souhaitent atteindre la neutralité carbone en 2050 néanmoins le chemin pour y arriver diffère. Si le débat organisé par PILOTE et le SER est de bonne tenue, Alexandre Roesch souligne que les candidats se concentrent principalement sur l’électrification. Or, il serait intéressant d’évoquer la question des transports ou encore du chauffage.

Aussi, le directeur général du SER regrette l’absence de l’agriculture dans les débats. En effet, le syndicat prône une complémentarité des usages du territoire. Alexandre Roesch rappelle alors qu’au jour d’aujourd’hui, 20 % des énergies renouvelables sont produites sur les exploitations agricoles. Il est donc essentiel, pour le SER, de se rapprocher de la filière agricole. De plus, la production de renouvelable permet aux agriculteurs d’obtenir un complément de revenu.

Enfin, Alexandre Roesch conclut l’émission est mettant un avant une inquiétude. Si les candidats ont compris l’urgence d’atteindre la neutralité carbone, la question des moyens financiers et humains reste plus vague. Certains candidats n’ont, par exemple, pas chiffré leurs objectifs. Or, il est urgent d’accélérer la transition énergétique.

Framatome livre ses premiers assemblages de combustible nucléaire pour Barakah

Framatome a achevé la fabrication des premiers assemblages de combustible nucléaire destinés à la centrale de Barakah, marquant une étape clé dans l’accord de fourniture signé avec l’Emirates Nuclear Energy Company en juillet.

La capacité électrique installée en Chine atteint 3.75 bn kW, en hausse de 17.3 %

La capacité de production électrique de la Chine a enregistré une forte croissance en octobre, portée par l’expansion continue du solaire et de l’éolien, selon les données officielles de l’administration nationale de l’énergie.

Le Royaume-Uni engage une refonte radicale de sa régulation nucléaire

Un rapport commandé par le gouvernement britannique propose 47 mesures pour simplifier la régulation nucléaire, réduire les coûts de démantèlement et accélérer la livraison des projets civils et militaires.
en_11402411137540

Le deuxième réacteur de Zhangzhou injecte ses premiers kilowattheures sur le réseau

Le réacteur Hualong One de la centrale nucléaire de Zhangzhou a été raccordé au réseau, marquant une étape majeure dans le déploiement du programme nucléaire civil chinois en cours d’expansion.

Rosatom obtient l’autorisation de produire des composants de SMR en impression 3D

Le groupe nucléaire public russe Rosatom a validé la fabrication additive de pièces pour ses petits réacteurs modulaires, marquant une première industrielle pour l’équipement des centrales SMR RITM-200.

Singapour délivrera dès 2026 des licences pour le soutage au méthanol marin

Trois sociétés débuteront le ravitaillement en méthanol des navires à Singapour en janvier 2026, marquant un tournant pour le plus grand centre de soutage mondial.
en_11402411130540

Maritime Fusion lève $4.5mn pour alimenter les navires grâce à l’énergie de fusion

La start-up californienne Maritime Fusion, soutenue par Y Combinator et Trucks VC, mise sur une approche décentralisée de la fusion pour conquérir le marché maritime et les applications hors réseau.

Bayridge Resources acquiert 51 % du projet d’uranium de Baker Lake au Nunavut

Bayridge Resources sécurise une participation majoritaire dans un projet d’uranium avancé au Canada, renforçant ainsi sa présence stratégique dans une région géologiquement prometteuse.

Trump relance l’offshore américain avec un plan de 34 ventes entre 2026 et 2031

Le programme offshore 2026-2031 propose d’ouvrir plus d’un milliard d’acres à l’exploration pétrolière, déclenchant une bataille réglementaire entre Washington, les États côtiers et les groupes juridiques spécialisés.
en_1140241131540

Le Mozambique centralise ses infrastructures gazières pour sécuriser l’axe Beira–Rompco

Le gouvernement du Mozambique regroupe ses actifs de transport et de regazéification gazière dans un véhicule public, consolidant l’axe stratégique Beira–Rompco pour soutenir les projets Rovuma et répondre à la dépendance sud-africaine.

NESO lance une consultation nationale pour planifier l’infrastructure énergétique régionale

Le gestionnaire britannique NESO engage un processus de consultation pour définir la méthodologie de onze futurs plans stratégiques régionaux destinés à coordonner les besoins énergétiques en Angleterre, en Écosse et au pays de Galles.

Le Royaume-Uni formalise une stratégie minière pour réduire sa dépendance à la Chine

Londres déploie un cadre réglementaire visant à sécuriser ses approvisionnements en minerais critiques d’ici 2035, en limitant sa dépendance à un seul pays, tout en structurant une filière nationale autour du lithium et du tungstène.
en_1140221129540

Plus de 15 000 tonnes de béton recyclé de Sizewell A réinjectées à Sizewell C

Un volume important de béton issu du démantèlement de la centrale nucléaire Sizewell A est transféré pour soutenir les fondations du projet Sizewell C, dans le cadre d’un accord entre acteurs du nucléaire britannique.

COP30 verrouille l’adaptation, contourne les fossiles et ouvre un front réglementaire climatique

La conférence de Belém acte un compromis entre adaptation budgétairement encadrée, retrait des ambitions sur les fossiles et ouverture d’un dialogue climat–commerce susceptible de déclencher de nouveaux contentieux réglementaires.

La Banque asiatique de développement mobilise 700 mn $ pour soutenir la stratégie énergétique du Kirghizistan

La Banque asiatique de développement et le Kirghizistan ont conclu un accord de financement pour renforcer les infrastructures énergétiques, la résilience climatique et la connectivité régionale, avec plus de 700 mn $ engagés jusqu’en 2027.
en_1140221134540

KEPCO et ENEC renforcent leur alliance autour du nucléaire et de l’intelligence artificielle

Le groupe coréen KEPCO et la société émiratie ENEC ont signé deux protocoles d’accord visant à étendre leur coopération dans le nucléaire civil, l’intelligence artificielle et les technologies numériques à destination de nouveaux marchés internationaux.

BHP relance une offre de rachat sur Anglo American après l’accord avec Teck

Le groupe minier BHP a réengagé des discussions pour acquérir Anglo American, quelques mois après la fusion annoncée entre ce dernier et le canadien Teck Resources, axée sur le cuivre.

L’armée américaine sélectionne neuf sites pour accueillir ses futurs microréacteurs nucléaires

Le programme Janus prévoit le déploiement progressif de microcentrales nucléaires sur neuf bases militaires pour renforcer l’autonomie énergétique des installations critiques du Département de l’armée des États-Unis.
en_11402020201138540

Le Royaume-Uni sommé d’arbitrer entre capture carbone et carburants d’aviation

Une étude de l’Oxford Institute for Energy Studies révèle que la valorisation énergétique des déchets avec captage de CO₂ offre un bénéfice climatique presque double par rapport à leur transformation en carburants d’aviation.

Lightbridge lance les essais d’irradiation de son alliage combustible aux États-Unis

L’Idaho National Laboratory a démarré les tests d’irradiation sur des échantillons d’uranium-zirconium de Lightbridge dans son réacteur expérimental, étape clé pour la validation industrielle du combustible nucléaire avancé.

Toute l'actualité de l'énergie en continu

Abonnement annuel

8.25$/mois*

*facturé annuellement à 99 $ la première année, puis 149$/an

Accès illimité • Archives incluses • Facture pro

Abonnement mensuel​

Accès illimité • Archives incluses pendant 1 mois

5.2$/mois*
puis 14.90$ les mois suivant

*Les prix affichés sont entendus HT, TVA variable en fonction de votre localité ou de votre statut professionnel

Depuis 2021 : 30 000 articles • +150 analyses/sem.