West Africa LNG Group annonce la conclusion d’un financement par actions avec un groupe d’investisseurs basé aux États-Unis.
Un financement bienvenu
West Africa LNG Group se ravit de ce financement. Patricia Moller, présidente du groupe, déclare:
« Nous sommes ravis de réaliser cet investissement qui nous fournit les ressources financières nécessaires pour financer nos activités opérationnelles alors que nous finalisons les accords d’écoulement à long terme avec les sociétés minières en Guinée. »
Elle ajoute:
« Ce financement nous donne également une plus grande flexibilité dans nos négociations avec des partenaires stratégiques et financiers potentiels qui ont exprimé un vif intérêt à participer au projet transformateur de GNL en Guinée. »
La Guinée est un pays regorgeant de ressources naturelles. Il possède des ressources naturelles abondantes, mais aussi des minéraux de la plus haute qualité. Cependant, le pays souffre d’un manque d’énergie. Celui-ci l’empêche de développer son économie.
West Africa LNG répond à la demande du gouvernement
De fait, le gouvernement guinéen ambitionne de disposer d’une source de carburant à un prix compétitif. En outre, cette source doit être durable et disponible en abondance.
Ainsi, West Africa LNG entend développer un terminal d’importation de GNL dans le pays. De plus, il prévoit la construction d’un réseau de distribution dans le pays.
D’une part, l’entreprise se rapproche d’investisseurs. D’autre part, elle lance des discussions avec des clients potentiels.
Guinea LNG, un projet stratégique
Le projet Guinéa LNG de West Africa LNG sera en mesure de fournir une importante quantité de GNL aux sociétés minières de bauxite. Celles-ci se trouvent notamment dans les régions de Boké, Bel-Air et Boffa. Ainsi, la société permettra à ces entreprises d’avoir assez énergie pour poursuivre leurs activités.
En conséquence, cela augmentera considérablement les bénéfices du pays, bénéfices liés à l’exploitation des ressources de la Guinée.
L’USTDA a réalisé une étude de faisabilité du projet. Selon celle-ci, l’industrie de la bauxite nécessite plus de 2.000 MW d’énergie. De plus, ce chiffre prend uniquement en compte les industries situées dans un rayon de 100 miles de l’emplacement du futur terminal.