Les ambassadeurs des pays membres de l’Union européenne ont validé l’envoi au Conseil des ministres d’un projet législatif visant à éliminer progressivement les importations d’énergie fossile russe d’ici janvier 2028.
La Douma a approuvé le retrait formel de la Russie d’un traité signé avec les États-Unis sur l’élimination du plutonium militaire, mettant fin à plus de deux décennies de coopération nucléaire stratégique.
Le Premier ministre polonais Donald Tusk a déclaré qu’il n’était pas dans l’intérêt de la Pologne d’extrader vers l’Allemagne un citoyen ukrainien soupçonné d’avoir participé aux explosions ayant endommagé les gazoducs Nord Stream en 2022.
Al-Harfi et SCLCO ont signé des accords avec les autorités syriennes pour développer des capacités solaires et éoliennes, dans un contexte de rapprochement énergétique entre Riyad et Damas.
Face aux risques liés aux approvisionnements du Moyen-Orient, les raffineurs thaïlandais et japonais se tournent vers le brut américain, soutenus par des incitations tarifaires et des stratégies alignées avec les discussions commerciales bilatérales.
La France a intercepté un pétrolier lié à des exportations russes, incitant Emmanuel Macron à appeler à une réponse européenne coordonnée pour entraver les navires contournant les sanctions sur le pétrole.
L’activation du mécanisme de snapback rétablit l’ensemble des sanctions de l’ONU contre l’Iran, impactant directement les secteurs de l’armement, de la finance et du commerce maritime international.
Le commissaire Dan Jørgensen est en visite au Groenland pour renforcer les liens énergétiques avec l’Union européenne, dans un contexte de doublement envisagé des fonds européens pour la période 2028-2034.
Les chefs de la diplomatie européenne et iranienne se retrouvent à New York pour tenter d’éviter le rétablissement des sanctions de l’ONU liées au programme nucléaire de Téhéran.
Le premier ministre canadien Mark Carney annonce un accord bilatéral avec le Mexique incluant des investissements ciblés dans les corridors énergétiques, les infrastructures logistiques et la sécurité transfrontalière.
Le président américain a appelé à un arrêt immédiat des importations de pétrole russe par les pays membres de l’OTAN, dénonçant une contradiction stratégique alors que des sanctions sont envisagées contre Moscou.
Téhéran a retiré une résolution dénonçant les attaques contre ses installations nucléaires, citant des pressions américaines sur les membres de l’AIEA, qui craignaient une suspension des contributions volontaires de Washington.
Le ministre polonais de l’Énergie appelle les États membres de l’Union européenne à s’engager collectivement à stopper les achats de pétrole russe sous deux ans, évoquant des risques géopolitiques croissants.
Athènes et Tripoli s'engagent dans un processus de négociation pour définir leurs zones économiques exclusives en Méditerranée, dans un contexte marqué par des tensions géopolitiques et des enjeux énergétiques sous-marins.
Les puissances européennes exigent des gestes concrets de Téhéran sur le nucléaire sous peine de rétablir les sanctions onusiennes, alors que les inspections de l’AIEA restent bloquées et les tensions avec Washington persistent.
Bruxelles confirme son objectif de cesser toutes les importations d’énergie russe d’ici 2028, malgré les pressions diplomatiques croissantes exercées par Washington dans le contexte du conflit en Ukraine.
Donald Trump menace d’intensifier les sanctions américaines contre la Russie, mais uniquement si les pays de l’Otan interrompent tous leurs achats de pétrole russe, encore actifs via certains oléoducs.
Les deux pays ont convenu de développer des infrastructures dédiées au gaz naturel liquéfié pour renforcer la sécurité énergétique de l’Europe et stimuler les échanges transatlantiques.
L’ayatollah Ali Khamenei appelle à moderniser l’industrie pétrolière et à élargir les débouchés commerciaux alors que Téhéran est confronté à la réactivation possible des sanctions de l’accord nucléaire de 2015.
Le président ukrainien a exigé l’arrêt des importations de brut russe par la Slovaquie, en proposant une alternative d’approvisionnement, dans un contexte marqué par la guerre et les tensions diplomatiques croissantes autour de l’oléoduc Droujba.
Face aux attaques russes contre ses infrastructures énergétiques, l'Ukraine renforce ses défenses et sollicite davantage de soutien de ses partenaires internationaux.
Lukoil reprend ses exportations de pétrole via le pipeline Druzhba vers la Slovaquie et la Hongrie après la conclusion d'accords de transit avec MOL, contournant les sanctions de Kyiv.
Saneg, raffineur ouzbek, commence le traitement du pétrole brut afghan dans sa raffinerie de Fergana, une manœuvre visant à pallier les carences énergétiques de l’Afghanistan sous le régime des talibans.
Rafael Grossi, directeur général de l'International Atomic Energy Agency (IAEA), met en garde contre les menaces pesant sur les centrales nucléaires de Koursk et Zaporijjia, exposées aux tensions militaires en Russie et en Ukraine.
Les États-Unis intensifient leur pression sur le projet Arctic LNG 2 de la Russie en imposant de nouvelles sanctions contre des sociétés et navires impliqués, compliquant davantage les capacités exportatrices de gaz liquéfié de Moscou.
L'annonce de l'arrêt du transit de gaz russe via l'Ukraine dans quelques mois; modifie la dynamique énergétique en Europe et redéfinit les stratégies d'approvisionnement et de diversification. Cet article analyse les conséquences économiques, géopolitiques et logistiques pour les différents acteurs.
Les Houthis intensifient leurs attaques contre les pétroliers dans la mer Rouge, perturbant le transport maritime et influençant les équilibres géopolitiques et énergétiques de la région.
La Roumanie, l’Azerbaïdjan, la Géorgie et la Hongrie créent une coentreprise pour établir un corridor énergétique via un câble sous-marin, reliant les marchés électriques d'Europe de l'Est.
Les émissaires climatiques de Washington et Pékin se rencontrent cette semaine pour renforcer leur coopération sur les politiques énergétiques et climatiques, à l'approche de la COP29 en Azerbaïdjan.
L'Algérie intègre la Nouvelle Banque de Développement des BRICS, cherchant à diversifier ses sources de financement et à renforcer sa position sur la scène financière internationale.
Après une communication confuse, l'Ukraine confirme la poursuite du transit de pétrole russe via l'oléoduc Droujba jusqu'en 2029, atténuant les inquiétudes de ses partenaires européens et soulignant l'importance de cet axe énergétique pour l'Europe centrale.
Peter Szijjarto, ministre des Affaires étrangères hongrois, discute de l'approvisionnement énergétique avec le PDG de Gazprom, Alexeï Miller, en Russie, une démarche qui accentue les tensions avec l'Union européenne.
L'Ukraine met fin au contrat de transit de gaz russe avec Gazprom à compter du 31 décembre 2024, un changement qui bouleverse les flux énergétiques vers l'Europe et renforce les tensions géopolitiques.
L’European Bank for Reconstruction and Development (EBRD) prévoit de conclure plusieurs accords de prêts en Ukraine pour renforcer le secteur énergétique avant l'hiver, face aux défis posés par les attaques russes.
Singapour explore des partenariats avec l’Australie et l’Asie du Sud-Est pour diversifier ses sources d’énergie, répondant à une demande croissante et à ses objectifs de décarbonation.
Les récentes frappes russes ont sévèrement endommagé les infrastructures énergétiques ukrainiennes, entraînant des coupures d'électricité significatives et perturbant les opérations ferroviaires. Les autorités ukrainiennes appellent à une coopération internationale pour renforcer la résilience du réseau.
Les États-Unis imposent des sanctions supplémentaires contre les transporteurs de GNL russes, accentuant les difficultés pour la Russie sur les marchés internationaux.
Les Houthis, soutenus par l'Iran, intensifient leurs attaques contre les pétroliers en mer Rouge, menaçant gravement la sécurité maritime et l'approvisionnement énergétique mondial.
Un tanker grec transportant du brut irakien a été sévèrement touché par des missiles tirés par les Houthis, soutenus par l'Iran, mettant en lumière l'escalade des actions terroristes en mer Rouge.
Les récentes frappes ukrainiennes sur le port de Kavkaz, un site clé pour l'exportation de produits pétroliers russes, perturbent gravement la logistique énergétique et accentuent les risques pour les acteurs du secteur.