Des infrastructures énergétiques azerbaïdjanaises visées en Ukraine remettent en question la sécurité des flux gaziers entre Baku et Kyiv, alors qu’un nouvel accord de livraison vient à peine d’être signé.
La suspension des 1 400 MW d’électricité fournis par l’Iran à l’Irak met sous pression le réseau irakien, tandis que Téhéran enregistre une demande record de 77 GW et doit arbitrer entre consommation interne et obligations régionales.
Pékin s’oppose à l’éventuel retour des sanctions du trio européen contre l’Iran, alors que l’échéance de l’accord sur le nucléaire approche et que les tensions diplomatiques s’intensifient autour de Téhéran.
Les États-Unis projettent de collaborer avec le Pakistan dans les minerais critiques et les hydrocarbures, en explorant des coentreprises et projets dans des zones stratégiques comme le Baloutchistan.
Environ 80 normes techniques russes pour le pétrole et le gaz ont été validées à l’international, notamment par les Émirats arabes unis, l’Algérie et Oman, selon l’Institut des initiatives technologiques pétrolières.
Bagdad et Damas intensifient leurs discussions pour réactiver l'oléoduc de 850 km fermé depuis 2003, offrant une alternative méditerranéenne face aux tensions régionales et aux blocages d'exportation.
Les deux pays mettent fin à 37 ans de conflit avec un corridor de 43 kilomètres sous contrôle américain pour 99 ans. L'infrastructure acheminera 50 millions de tonnes de marchandises annuellement d'ici 2030.
Un haut responsable de l'agence onusienne entame lundi des discussions techniques avec l'Iran, première rencontre depuis les frappes de juin sur les sites nucléaires iraniens.
Un accord de libre-échange entre l’Indonésie et l’Union économique eurasiatique sera signé en décembre, visant une réduction des droits de douane sur 3 milliards USD d’échanges et la croissance du commerce bilatéral dans les prochaines années.
La visite du conseiller à la sécurité nationale indien à Moscou intervient alors que les États-Unis menacent d’augmenter les droits de douane sur New Delhi, en raison des achats soutenus de pétrole russe par l’Inde.
Les discussions entre Téhéran et Bagdad sur les volumes d'exportation et une dette de 11 milliards de dollars révèlent les complexités d'une dépendance énergétique sous sanctions américaines.
Face aux menaces de sanctions secondaires américaines, les raffineurs indiens ralentissent leurs achats de brut russe tout en explorant des alternatives coûteuses, révélant les défis complexes de la sécurité énergétique.
Les tarifs de 50% poussent Brasília vers une intégration commerciale accélérée avec Pékin et Bruxelles, redessinant les équilibres économiques régionaux.
Washington impose des droits douaniers massifs invoquant la persécution de Bolsonaro tout en exemptant les secteurs stratégiques pour l'industrie américaine.
Les sanctions du 1er août accélèrent la reconfiguration des flux commerciaux indo-pacifiques avec Vietnam, Bangladesh et Indonésie comme principaux bénéficiaires.
Washington déclenche une structure tarifaire inédite combinant 25% de droits fixes et une sanction additionnelle non spécifiée liée aux achats énergétiques et militaires russes.
Le Qatar rejette les obligations de transition climatique de l'UE et brandit la menace d'une réorientation de ses exportations de GNL vers l'Asie, créant un dilemme énergétique majeur.
L’Ouganda mise sur une présence diplomatique à Vienne afin de faciliter la coopération technique et commerciale avec l’Agence internationale de l’énergie atomique pour soutenir ses ambitions dans le nucléaire civil.
Les gouvernements d’Arabie saoudite et de Syrie concluent un partenariat inédit englobant pétrole, gaz, interconnexion électrique et énergies renouvelables, afin de dynamiser leurs échanges et investissements dans le secteur énergétique.
L'Ukraine met fin au contrat de transit de gaz russe avec Gazprom à compter du 31 décembre 2024, un changement qui bouleverse les flux énergétiques vers l'Europe et renforce les tensions géopolitiques.
L’European Bank for Reconstruction and Development (EBRD) prévoit de conclure plusieurs accords de prêts en Ukraine pour renforcer le secteur énergétique avant l'hiver, face aux défis posés par les attaques russes.
Singapour explore des partenariats avec l’Australie et l’Asie du Sud-Est pour diversifier ses sources d’énergie, répondant à une demande croissante et à ses objectifs de décarbonation.
Les récentes frappes russes ont sévèrement endommagé les infrastructures énergétiques ukrainiennes, entraînant des coupures d'électricité significatives et perturbant les opérations ferroviaires. Les autorités ukrainiennes appellent à une coopération internationale pour renforcer la résilience du réseau.
Les États-Unis imposent des sanctions supplémentaires contre les transporteurs de GNL russes, accentuant les difficultés pour la Russie sur les marchés internationaux.
Les Houthis, soutenus par l'Iran, intensifient leurs attaques contre les pétroliers en mer Rouge, menaçant gravement la sécurité maritime et l'approvisionnement énergétique mondial.
Un tanker grec transportant du brut irakien a été sévèrement touché par des missiles tirés par les Houthis, soutenus par l'Iran, mettant en lumière l'escalade des actions terroristes en mer Rouge.
Les récentes frappes ukrainiennes sur le port de Kavkaz, un site clé pour l'exportation de produits pétroliers russes, perturbent gravement la logistique énergétique et accentuent les risques pour les acteurs du secteur.
Vladimir Poutine affirme que l'Ukraine a tenté de frapper la centrale nucléaire de Koursk, intensifiant les risques nucléaires dans cette région stratégique. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) envoie des experts pour évaluer la situation.
Le Liban obtient un soutien crucial de l'Irak avec une augmentation des livraisons de fuel lourd à 125 000 tonnes en août, visant à maintenir ses centrales électriques opérationnelles en pleine crise.
Summit Group, acteur clé du secteur énergétique bangladais, réévalue ses projets d'importation d'énergie renouvelable suite à un amendement réglementaire en Inde, bouleversant les prévisions d'investissements transfrontaliers.
Summit Group ajuste ses stratégies d'importation d'énergie renouvelable suite à un changement des règles en Inde, réévaluant ses projets d'investissement dans un contexte incertain.
Le Liban obtient un soutien crucial de l'Irak avec une augmentation des livraisons de fuel lourd à 125 000 tonnes en août, visant à maintenir ses centrales électriques opérationnelles en pleine crise.
La Russie exprime son mécontentement envers l'Allemagne concernant l'enquête sur les explosions de Nord Stream, invoquant un manque de coopération internationale.
Vladimir Poutine visite l'Azerbaïdjan pour consolider les partenariats énergétiques, dans un contexte géopolitique tendu et marqué par la réorientation des flux énergétiques européens.
L'Algérie a débuté un approvisionnement immédiat en fioul pour le Liban, évitant ainsi la paralysie totale des infrastructures stratégiques après l'épuisement des stocks de la centrale de Zahrani.
Le gouvernement polonais dément fermement les accusations de complicité dans le sabotage des gazoducs Nord Stream en 2022, affirmant qu'il s'agit d'une manœuvre de désinformation visant à diviser l'OTAN.
Le gouvernement ukrainien rejette catégoriquement les accusations du Wall Street Journal concernant une éventuelle implication dans le sabotage des gazoducs Nord Stream en 2022, les qualifiant de "non-sens absolu".
L’expiration imminente de l’accord de transit gazier entre la Russie et l’Ukraine en 2024 pourrait entraîner des perturbations majeures dans l'approvisionnement énergétique de plusieurs pays européens, exacerbant les tensions géopolitiques actuelles.
Zsolt Hernadi, PDG du groupe hongrois MOL, rejette l'idée de se passer du pétrole russe, malgré les avertissements sur les pénuries de carburant en Hongrie.
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