L’Allemagne introduira un tarif électrique plafonné pour ses industries les plus consommatrices, visant à préserver leur compétitivité face aux coûts énergétiques élevés.
Sous pression politique, l’Ademe est visée par des propositions de suppression. Son président rappelle le rôle de l’agence et justifie la gestion des 3,4 milliards d’euros opérés en 2024.
La production solaire et éolienne a dépassé l’augmentation de la demande mondiale d’électricité sur les trois premiers trimestres de 2025, entraînant une stagnation de la production fossile selon les dernières données disponibles.
Le gouvernement malaisien prévoit l’introduction d’une taxe carbone et renforce ses partenariats régionaux afin de stabiliser son industrie face aux régulations internationales émergentes.
E.ON met en garde contre le nouveau cadre réglementaire allemand qui pourrait freiner la rentabilité des investissements dans les réseaux électriques à partir de 2029.
Un black-out majeur a paralysé l’approvisionnement électrique en République dominicaine, affectant les transports, le tourisme et les infrastructures dans tout le pays. Les autorités affirment que la reprise se fait progressivement malgré un impact étendu.
Le Vietnam consolide son cadre réglementaire et financier pour décarboner son économie, structurer un marché carbone national et attirer des investissements étrangers dans sa stratégie énergétique à long terme.
La Banque européenne pour la reconstruction et le développement renforce son engagement dans les renouvelables en Afrique, en soutenant l’expansion solaire et éolienne d’Infinity Power au-delà de l’Égypte.
Le gouverneur Gavin Newsom s’est rendu au sommet COP30 à Belém pour défendre la Californie comme partenaire stratégique, en s’écartant de la ligne fédérale et en misant sur le poids économique de son État.
Les autorités chinoises autorisent une participation accrue des entreprises privées dans les projets énergétiques stratégiques, notamment le nucléaire, l’hydroélectricité et les réseaux de transmission, afin de redynamiser un investissement intérieur en perte de vitesse.
Un nouveau cadre réglementaire entre en vigueur pour structurer la planification, la passation de marchés et la gestion des infrastructures de transport d’électricité, visant à accroître la fiabilité du réseau et attirer les investissements privés.
À la veille de la COP30, l’Union africaine dénonce le retard des flux financiers d’adaptation et rappelle la responsabilité historique des pays industrialisés dans l’équilibre climatique mondial.
La progression de l’efficacité énergétique mondiale reste en deçà des engagements pris à Dubaï, freinée par la demande industrielle et des politiques publiques insuffisamment adaptées aux innovations technologiques.
Les ajouts mondiaux en solaire et éolien atteindront un nouveau record en 2025, mais l’absence d’objectifs nationaux ambitieux crée une incertitude sur l’atteinte du triplement prévu d’ici 2030.
Les raffineurs sud-coréens alertent sur des objectifs de réduction d’émissions jugés excessifs, alors que le gouvernement envisage des coupes allant jusqu’à 60% par rapport aux niveaux de 2018.
Avant la COP30 à Belém, le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva assume un positionnement controversé en proposant de financer la transition énergétique avec les bénéfices de l’exploitation pétrolière au large de l’Amazonie.
Un groupe international de chercheurs anticipe désormais un pic des émissions chinoises d’ici 2028, malgré des signaux récents de ralentissement, renforçant l’incertitude sur le rythme de transition énergétique du pays.
La fin des subventions et la hausse spectaculaire des prix de l’électricité en Syrie aggravent la précarité et provoquent un mécontentement croissant, dans un pays en reconstruction après plus d’une décennie de guerre.
Les trajectoires actuelles d’émissions placent la planète sur une courbe de réchauffement de 2,3°C à 2,5°C, selon les derniers calculs des Nations unies, à quelques jours de l’ouverture de la COP30 à Belem.
Le gouvernement australien prévoit d’introduire une offre d’électricité gratuite via le solaire dans plusieurs régions dès juillet 2026, afin d’optimiser la gestion du réseau électrique pendant les pics de production.
Le gouvernement français prévoit d’adopter d’ici deux semaines un décret définissant les objectifs énergétiques de la décennie à venir, relançant le nucléaire et préparant un débat parlementaire attendu sur la souveraineté énergétique.
L’accroissement des capacités solaire et éolienne multiplie les heures de prix négatifs sur les marchés européens de l’électricité, fragilisant les équilibres économiques du secteur tout en modifiant les dynamiques d’exportation et de stockage.
L’Assemblée nationale discutera le 28 avril de la sécurité énergétique nationale, à la demande du gouvernement, en lien avec la future Programmation pluriannuelle de l’énergie couvrant la période 2025-2035.
Malgré une production électrique en majorité décarbonée, la demande en Europe reste en retrait, freinée par des prix peu incitatifs et un usage industriel limité.
Les données du groupe de réflexion Ember révèlent que la part des énergies fossiles dans le mix électrique américain est tombée à 49,2 % en mars 2025, franchissant un seuil inédit.
Le mix électrique mondial s’est transformé en 2024 avec 40,9 % de la production issue de sources bas carbone, selon Ember, porté par une croissance historique de l’énergie solaire.
Confronté à des pénuries récurrentes, le Tadjikistan durcit ses lois énergétiques en introduisant des peines de prison allant jusqu’à dix ans pour les fraudes à l’électricité, afin de protéger son réseau hydroélectrique vieillissant.
Le gouvernement français finalise la nouvelle feuille de route énergétique jusqu’en 2035, arbitrant entre relance nucléaire et expansion sélective des renouvelables dans un contexte de tension politique.
La principale coalition d’opposition au Burundi alerte sur les effets directs de la crise énergétique sur l’organisation des élections législatives du mois de juin.
À Cienfuegos, Cuba déploie un ambitieux programme photovoltaïque appuyé par la Chine afin de réduire sa dépendance au pétrole et stabiliser son réseau électrique défaillant.
L’Autorité du Canal de Panama approuve un projet de gazoduc stratégique, dans un contexte de tensions politiques et d’intérêts divergents sur le contrôle énergétique régional.
La Banque européenne d’investissement finance un plan d’expansion de 732 mn € pour moderniser et stabiliser le réseau électrique de la région d’Ostsachsen d’ici 2027.
La Commission européenne lance un appel à projets d’envergure visant à financer les infrastructures énergétiques prioritaires entre États membres et pays voisins, avec un budget maximal de 600 mn € issu du programme CEF Energy.
La Commission nationale du débat public lance trois mois de consultations à Fos-sur-Mer sur l’avenir industriel de cette zone stratégique, en amont de décisions étatiques concernant 40 projets à fort impact économique et énergétique.
La Cour des comptes européenne alerte sur l’urgence d’investissements massifs dans les réseaux vieillissants de l’Union, freinés par des lenteurs administratives et une planification insuffisante.
Plusieurs élus et anciens dirigeants du secteur énergétique réclament un moratoire sur la PPE3, critiquant une planification jugée déconnectée des réalités économiques et géopolitiques actuelles.
Le dirigeant de Framatome sera auditionné le 30 avril par les deux chambres pour valider sa nomination à la tête d’EDF, succédant à Luc Rémont non reconduit par l’exécutif.
Face à une série de coupures majeures d’électricité sur l’île d’Upolu, le gouvernement samoan déclare l’état d’urgence pour prioriser les services essentiels et mobiliser l’aide étrangère.
Le ministre de l’Industrie et de l’Énergie s’est déclaré ouvert à un débat assorti d’un vote sur la programmation énergétique 2025-2035, face aux critiques de l’opposition sur l'absence de consultation démocratique.
Le ministère français de l’Industrie et de l’Énergie reporte à novembre le versement du chèque énergie 2025, invoquant un retard dans l’adoption de la loi de finances, avec de nouvelles modalités d’attribution annoncées.