Un partenariat stratégique entre le Royaume-Uni et les États-Unis vise à raccourcir les délais d’autorisation nucléaire et renforcer la coopération industrielle autour de la fusion et des réacteurs modulaires.
L’Agence internationale de l’énergie atomique anticipe une capacité nucléaire mondiale de 992 GW d’ici 2050, misant sur l’essor des petits réacteurs modulaires et la prolongation de vie des centrales existantes.
Premier American Uranium et Nuclear Fuels ont annoncé viser la clôture de leur regroupement stratégique autour du 19 septembre, sous réserve de l’approbation finale de la Bourse de croissance TSX.
La Cour générale de l’Union européenne a rejeté le recours de l’Autriche contre l’intégration du gaz et du nucléaire dans la classification des investissements durables.
Le Kazakhstan a signé un accord avec Nukem Technologies Engineering Services GmbH pour bénéficier d’une expertise allemande dans le démantèlement nucléaire et la gestion des déchets radioactifs.
La Cour de justice de l’Union européenne a annulé la décision de la Commission européenne autorisant l’aide d’État hongroise au projet nucléaire Paks II, remettant en question le respect des règles de passation de marchés publics.
Un consortium chinois a remporté un contrat de 4,2 milliards CNY ($594mn) pour la construction des îlots conventionnels du projet nucléaire Xuwei, combinant réacteurs de troisième et quatrième générations.
Rosatom et China National Nuclear Corporation ont signé un protocole d’accord visant à renforcer la coopération bilatérale dans la formation des talents et le développement des compétences dans le secteur nucléaire.
L’Iran a conclu un nouvel accord avec l’Agence internationale de l’énergie atomique pour encadrer la reprise des inspections, après des mois de gel liés aux tensions militaires et aux critiques sur son programme nucléaire.
La Commission de régulation de l’énergie propose un plan structuré pour accélérer le déploiement des petits réacteurs modulaires en France, misant sur la chaleur industrielle et l’effet de série pour gagner en compétitivité.
La société américaine Nuclearn a levé $10.5mn pour étendre sa plateforme d’intelligence artificielle, déjà utilisée dans plus de 65 réacteurs nucléaires, afin d’automatiser les opérations critiques dans un contexte de forte demande énergétique.
Le dôme en acier du réacteur CAP1000 Haiyang 4 a été positionné, une étape majeure de construction qui ouvre la voie aux prochaines phases de maintenance et d’installation technique.
Le Groupement des Industriels Français de l'Énergie Nucléaire et le Belgian Nuclear Forum officialisent un partenariat visant à renforcer les échanges industriels et les projets conjoints entre les filières nucléaires des deux pays.
L’Agence internationale de l’énergie atomique alerte sur le peu de temps restant pour conclure un accord avec l’Iran sur la reprise complète des inspections, alors que les sanctions européennes pourraient être réactivées sous 30 jours.
Le projet JEK2 en Slovénie avance avec deux technologies nucléaires retenues comme techniquement compatibles, estimées entre EUR9.31bn ($10.1bn) et EUR15.37bn ($16.66bn).
La société américaine Oklo construira à Oak Ridge le premier centre privé de recyclage de combustible nucléaire aux États-Unis, avec un investissement de $1.7bn et la création de plus de 800 emplois.
La Tennessee Valley Authority s’associe à ENTRA1 Energy pour développer jusqu’à 6 gigawatts de capacité nucléaire modulaire, dans un projet inédit soutenant la croissance énergétique de sept États américains.
Un rapport de l’Agence internationale de l’énergie atomique chiffre à 440,9 kg l’uranium iranien enrichi à 60 % avant les frappes israéliennes et américaines, l’accès de l’agence aux sites d’enrichissement demeurant suspendu depuis les opérations.
Le groupe américain Westinghouse a conclu six accords industriels au Royaume-Uni pour fournir des composants critiques à ses projets nucléaires AP1000 et AP300, au Royaume-Uni et à l’international.
NANO Nuclear Energy obtient un financement direct de la branche innovation de l'US Air Force pour évaluer l’intégration de son microréacteur KRONOS MMR™ sur la base militaire de Washington D.C.
L'Iran a activé des milliers de centrifugeuses avancées pour enrichir l'uranium jusqu'à 60 %, défiant une résolution récente de l'Agence Internationale de l'Énergie Atomique (AIEA) critiquant son manque de coopération.
Westinghouse Electric et Core Power s’unissent pour concevoir une centrale nucléaire flottante basée sur le microréacteur eVinci, une solution innovante pour répondre aux besoins énergétiques des régions côtières et isolées.
La Commission européenne accueille une nouvelle équipe de commissaires chargés de façonner la politique énergétique. Cependant, l'absence de défenseurs affirmés du nucléaire parmi les principaux postes suscite des interrogations sur l'avenir de cette énergie dans l'Union.
La centrale nucléaire Angra 1 au Brésil, exploitée par Eletronuclear, a obtenu l'autorisation d’opérer jusqu’en 2044. Cette prolongation marque une étape importante pour la sécurité énergétique du pays et reflète la maturité du cadre réglementaire national.
En réponse aux critiques de l'AIEA, l'Iran a activé de nouvelles centrifugeuses avancées, marquant une escalade dans son programme nucléaire et un bras de fer avec les puissances occidentales.
La réouverture de la centrale nucléaire de Three Mile Island, en Pennsylvanie, divise. Promesse d’emplois et d’énergie durable pour certains, rappel douloureux de l’accident de 1979 pour d’autres.
L'évaluation des débris extraits de Fukushima, cruciale pour planifier le démantèlement, pourrait durer jusqu'à un an selon Tepco, l'opérateur de la centrale japonaise.
L'administration Trump prévoit de soutenir l'énergie nucléaire et la production domestique d'uranium. Toutefois, des questions subsistent sur les budgets futurs et les priorités face à des dépenses concurrentielles.
C5 Capital et Sibanye-Stillwater unissent leurs forces pour développer des projets d'énergie nucléaire avancée en Afrique du Sud, aux États-Unis et au-delà, visant à soutenir la transition énergétique mondiale avec des solutions innovantes.
Le dernier convoi de déchets nucléaires vitrifiés entre la France et l'Allemagne a atteint Philippsburg. Ce transfert clôt des contrats de recyclage conclus depuis 1977 avec quatre opérateurs allemands.
La Hongrie propose une augmentation budgétaire pour son projet nucléaire Paks II, un chantier stratégique financé par la Russie, mais confronté à des défis techniques, économiques et géopolitiques.
Enel, Leonardo et Ansaldo Nucleare s’associent pour étudier les petits réacteurs modulaires, marquant une étape clé vers un retour potentiel du nucléaire en Italie après des décennies d’abandon.
Le groupe français Orano a annoncé la suspension provisoire des dépenses liées aux activités d’extraction au Niger, afin de préserver le paiement des salaires. Une décision prise dans un contexte tendu avec la junte au pouvoir.
Rafael Grossi, chef de l’AIEA, se rend en Iran pour inspecter les sites de Fordo et Natanz. Cette visite survient alors que Téhéran cherche à dissiper les doutes sur ses ambitions nucléaires.
Lors de la COP29, six pays ont rejoint une déclaration ambitieuse visant à tripler la capacité nucléaire mondiale d’ici 2050, portant à 31 le nombre de signataires soutenus par de grandes institutions financières.
EDF projette une décision stratégique pour ses six premiers réacteurs EPR en 2026, avec des sites pour huit autres à définir la même année, dans le cadre de la stratégie énergétique de la France.
Le Vietnam prévoit de réactiver son programme nucléaire, interrompu en 2016, pour soutenir une industrialisation rapide et répondre à des besoins énergétiques croissants, tout en visant la neutralité carbone d'ici 2050.
Great British Nuclear évalue les technologies de GE Hitachi, Holtec, Rolls-Royce SMR et Westinghouse pour sélectionner les réacteurs modulaires qui façonneront l’avenir énergétique du pays.
À la COP29, Rafael Grossi, directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), insiste sur l'inclusion du nucléaire dans les financements climatiques, tout en ciblant un accès encadré pour les pays en développement.
Le directeur général de l'AIEA, Rafael Grossi, se rend en Iran pour relancer les inspections et favoriser une issue diplomatique sur le nucléaire iranien, dans un contexte de tensions internationales croissantes.