L'adhésion imminente du Brésil à l'OPEP+ marque un tournant stratégique majeur dans l'économie mondiale de l'énergie.

Face à la chute des cours du pétrole, l'Opep+ annonce d'importantes réductions de production pour 2024, menées par l'Arabie saoudite et la Russie.

Dans le débat sur le climat, l'accent est mis sur les majors occidentales, mais l'empire des fossiles est majoritairement contrôlé par les compagnies nationales.

Une tempête sévère en Mer Noire perturbe l'exportation de pétrole depuis le Kazakhstan et la Russie, affectant des millions de barils.

L'accord entre Eni et OpenEP, visant à sécuriser l'approvisionnement en gaz de la Suisse et de l'Italie, dans un contexte énergétique tendu.

La dynamique complexe entre la Libye, les compagnies pétrolières internationales et les défis contractuels dans l'industrie pétrolière du pays.

La réunion virtuelle d'OPEC+ sur les quotas de production pétrolière et son impact sur les marchés mondiaux.

Neuf sociétés pétrolières, dont TotalEnergies, sanctionnées par une amende colossale pour pratiques anticoncurrentielles, marquent un tournant dans la régulation du marché des hydrocarbures.

L'Arabie Saoudite, au sein de l'OPEP+, confronte des défis économiques majeurs avec des prix du pétrole en baisse et des tensions géopolitiques croissantes, en prévision de la réunion de Vienne.

Dans un contexte géopolitique complexe, l'OPEP se trouve au cœur des tensions entre les nations arabes et Israël, influençant profondément la crise en cours.

TotalEnergies annonce la finalisation de la vente de ses actifs dans les sables bitumineux canadiens, une transaction majeure dans le secteur énergétique.

Hess Corporation démarre la production dans son site pétrolier en Guyane, augmentant significativement la capacité mondiale d'extraction de pétrole.

Au cœur des négociations de l'OPEP+, les pays africains contestent les réductions de quotas proposées, craignant un impact sur les investissements.

La Russie met fin à l'interdiction temporaire sur les exportations d'essence, une mesure prise en septembre pour contrôler la flambée des prix domestiques.

L'Asie, avec la Chine et l'Inde en tête, connaît un regain de demande en combustibles fossiles, malgré les défis du secteur de la construction et les progrès des véhicules électriques.

Les opérateurs de pipelines et de terminaux pétroliers américains renforcent les contrôles de qualité pour éviter la contamination du pétrole de schiste du Texas.

En 2023, la demande mondiale de pétrole augmente, stimulée par la Chine, tandis que la production américaine et brésilienne surperforme, malgré des incertitudes économiques et géopolitiques.

La Chine envisage d'augmenter les quotas d'importation de fuel pour les raffineries indépendantes en 2023, répondant ainsi aux besoins croissants en matières premières.

L'Agence internationale de l'énergie (AIE) révise à la hausse ses prévisions pour le secteur du raffinage, signalant d'importantes évolutions à venir.

ExxonMobil lance la production dans le champ Payara en Guyane, augmentant la capacité pétrolière nationale et soulevant des questions environnementales.

Petrobras, la compagnie pétrolière d'état brésilienne, revoit à la hausse ses objectifs de production pour 2023, malgré une réduction des investissements due à l'inflation.

Un accord de vente de gaz naturel liquéfié (GNL) a été signé entre QatarEnergy et China Petrochemical Corp., ou Sinopec, avec une fixation probable autour de 12,7 % par rapport au prix du pétrole brut. Cet accord permet à Sinopec de recevoir des cargaisons de GNL dans ses terminaux en Chine.

Pontegadea, la société d'investissement d'Amancio Ortega, fondateur d'Inditex, envisage d'acquérir une participation de 49 % dans un portefeuille de parcs éoliens et de centrales photovoltaïques en Espagne, en partenariat avec Repsol.

Les prix du pétrole ont repris leur ascension après avoir atteint des niveaux bas en juillet, grâce à une possible intervention de l'Opep+ et à des données économiques chinoises perçues comme moins décevantes.

La Libye projette d'augmenter sa production pétrolière, malgré d'importants obstacles politiques et infrastructurels.

Les dernières tendances du marché pétrolier révèlent une baisse significative des prix, influencée par des données économiques préoccupantes et une demande mondiale en berne.

Les tarifs de fret des VLCC (Very Large Crude Carriers) sur la route principale du golfe Persique à la Chine ont atteint un pic de deux mois en raison de la demande croissante de transport de barils atlantiques sur de longs voyages, selon des sources du marché.

Les raffineries indépendantes chinoises ont réduit leurs importations de mélange de bitume en octobre en raison de l'augmentation des prix et de l'entrée en scène de concurrents, notamment PetroChina, suite à la levée des sanctions américaines sur les pétroles vénézuéliens.

Les prix du pétrole reflètent actuellement la perspective selon laquelle un embargo pétrolier à la manière de celui de 1973 est une réponse extrêmement improbable à la crise à Gaza. Cependant, les dirigeants des plus grands producteurs de l'OPEP ont par le passé pris des décisions irrationnelles.

L'Organisation des pays exportateurs de pétrole prévoit une hausse de la demande jusqu'en 2045, malgré les défis.

Le géant pétrolier saoudien Aramco a annoncé une baisse de 23 % de ses bénéfices au troisième trimestre, attribuant cette diminution à la chute des prix du pétrole et aux réductions de production.

Les responsables de la Russie et de l'Arabie saoudite ont annoncé le maintien des coupes volontaires dans l'approvisionnement en pétrole jusqu'à la fin de 2023, en réponse à des préoccupations liées à la politique de production de l'OPEP+ et aux tensions au Moyen-Orient.

La société pétrolière d'État du Nigeria, NNPC Ltd, s'apprête à fournir jusqu'à six cargaisons de pétrole brut à la nouvelle raffinerie de pétrole Dangote, d'une capacité de 650 000 barils par jour, en décembre pour des essais. Ce partenariat entre NNPC et la raffinerie de Dangote, financée par Aliko Dangote.

Les prix du pétrole connaissent une hausse significative suite à la réaffirmation par l'Arabie saoudite et la Russie de leurs réductions de production de brut jusqu'à la fin de l'année.

ConocoPhillips (NYSE: COP) a récemment dévoilé ses résultats financiers pour le troisième trimestre 2023, marquant une comparaison significative avec l'année précédente.

Les taux d'utilisation des raffineries pétrolières en Chine connaissent une baisse par rapport au record du troisième trimestre, en raison de marges plus faibles et d'une pénurie de quotas d'exportation, ce qui pourrait avoir un impact sur la demande de pétrole brut du principal importateur mondial et influencer les prix mondiaux du pétrole.

Les prix du pétrole ont légèrement baissé en raison de prises de bénéfices des investisseurs en énergie avant le week-end et des possibles développements dans la guerre entre Israël et le Hamas.

Le premier ministre Ali Mahaman Lamine Zeine, nommé par les militaires au Niger, a inauguré un oléoduc de près de 2 000 km, reliant les gisements de pétrole du sud-est au Bénin, marquant un moment crucial pour l'économie nigérienne.

Le gouvernement ougandais prévoit de confier les droits exclusifs d'approvisionnement en produits pétroliers à une filiale du négociant mondial en énergie Vitol, mettant ainsi fin à un système qui passait par le Kenya voisin pour l'importation de ces produits.

Les prix du pétrole ont augmenté après que la Réserve fédérale américaine a décidé de maintenir ses taux d'intérêt inchangés, ce qui pourrait stimuler la demande de pétrole aux États-Unis.