Le Kazakhstan prévoit d’allouer 3 GW de projets éoliens et solaires d’ici fin 2026 par appels d’offres, avec un premier lot d’1 GW en 2025, dans un contexte de modernisation de son système électrique.
Les ouragans Beryl, Helene et Milton ont représenté 80 % des coupures d’électricité enregistrées en 2024, un pic inédit en dix ans selon les données fédérales.
La Commission de régulation de l’énergie introduit un contrôle prudentiel temporaire sur les fournisseurs de gaz et d’électricité, via un « guichet à blanc » ouvert dès décembre, en attendant la transposition des règles européennes.
L’accord Carney–Smith lance un nouvel oléoduc vers l’Asie, supprime les plafonds d’émissions pétrogazières et amorce une réforme de la loi interdisant les tankers sur la côte nord du Pacifique.
La sortie progressive des contrats CfD transforme des actifs stables en infrastructures exposées à une volatilité accrue, remettant en cause les rendements attendus et les modèles de financement traditionnels du secteur renouvelable.
Le gouvernement canadien introduit une révision législative majeure de la Loi sur l’efficacité énergétique afin de soutenir sa stratégie nationale et s’aligner sur les réalités du commerce numérique.
Québec devient l’unique province canadienne où le prix du carbone continue de s’appliquer directement aux carburants, dans un contexte où Ottawa a supprimé la taxe carbone grand public depuis avril 2025.
New Delhi lance un plan d’incitations de 72,8 Md INR pour créer une capacité nationale de 6 000 tonnes d’aimants permanents, face aux restrictions croissantes imposées par la Chine sur les exportations de composants critiques.
L’essor des CfD, PPA et mécanismes de capacité traduit un basculement structurel : les marchés ne couvrent plus les besoins de financement à 10–30 ans, alors que les prix spot ont bondi de 400 % en Europe depuis 2019.
L’Allemagne prévoit de finaliser l’achat de 25,1 % de la filiale allemande de TenneT pour 5,8 milliards €, afin de renforcer son contrôle sur les infrastructures critiques du réseau électrique national.
Le gouvernement ghanéen met en œuvre une réforme de son système énergétique visant à renforcer l’usage du gaz naturel local, espérant réduire les coûts de production d’électricité et limiter le déséquilibre financier du secteur.
À l’occasion des 50 ans de son indépendance, le Suriname a annoncé une feuille de route nationale incluant un investissement public majeur pour exploiter ses réserves pétrolières offshore.
Dans sa dernière revue, l’Agence internationale de l’énergie alerte sur les blocages structurels du marché sud-coréen de l’électricité, appelant à des réformes urgentes pour combler le retard sur les renouvelables et réduire la dépendance aux combustibles fossiles importés.
La capacité de production électrique de la Chine a enregistré une forte croissance en octobre, portée par l’expansion continue du solaire et de l’éolien, selon les données officielles de l’administration nationale de l’énergie.
Le programme offshore 2026-2031 propose d’ouvrir plus d’un milliard d’acres à l’exploration pétrolière, déclenchant une bataille réglementaire entre Washington, les États côtiers et les groupes juridiques spécialisés.
Le gouvernement du Mozambique regroupe ses actifs de transport et de regazéification gazière dans un véhicule public, consolidant l’axe stratégique Beira–Rompco pour soutenir les projets Rovuma et répondre à la dépendance sud-africaine.
Le gestionnaire britannique NESO engage un processus de consultation pour définir la méthodologie de onze futurs plans stratégiques régionaux destinés à coordonner les besoins énergétiques en Angleterre, en Écosse et au pays de Galles.
La conférence de Belém acte un compromis entre adaptation budgétairement encadrée, retrait des ambitions sur les fossiles et ouverture d’un dialogue climat–commerce susceptible de déclencher de nouveaux contentieux réglementaires.
La Banque asiatique de développement et le Kirghizistan ont conclu un accord de financement pour renforcer les infrastructures énergétiques, la résilience climatique et la connectivité régionale, avec plus de 700 mn $ engagés jusqu’en 2027.
Une étude de l’Oxford Institute for Energy Studies révèle que la valorisation énergétique des déchets avec captage de CO₂ offre un bénéfice climatique presque double par rapport à leur transformation en carburants d’aviation.
Face à une grave pénurie de carburant liée au manque de devises, le Malawi instaure un rationnement, suscitant des craintes quant à la sécurité alimentaire et à la stabilité des secteurs agricole et économique.
Avec le renforcement des normes européennes sur les émissions de CO2, les constructeurs automobiles devront réduire leurs émissions ou affronter des pénalités massives. Un défi de taille qui pourrait transformer le paysage industriel en Europe.
Patrick Pouyanné, PDG de TotalEnergies, exhorte Donald Trump à préserver les engagements climatiques américains en cas de victoire en 2024, craignant l’impact d’une dérégulation sur l’industrie pétrolière et l'opinion publique.
Les taxes sur les importations proposées par Donald Trump pour stimuler l’économie américaine inquiètent le secteur pétrolier, qui redoute des hausses de prix, tandis que l’industrie des biocarburants espère en tirer profit.
Face à la hausse des prix de l’énergie, de nombreux foyers français risquent coupures et restrictions de puissance. Une situation alarmante qui soulève des questions sur le caractère essentiel de l’énergie.
La Turquie lance un plan de modernisation du réseau électrique avec l’appui du Climate Investment Funds et d’acteurs financiers internationaux, visant à quadrupler la capacité solaire et doubler l’éolien d’ici 2035.
À l'approche de la COP29, la France présente une feuille de route ambitieuse pour renforcer les énergies renouvelables et réduire ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030.
Le gouvernement français demande à l'Union européenne de repousser les sanctions prévues en 2025 pour les constructeurs automobiles n’atteignant pas leurs objectifs d’émissions de CO2, afin de préserver l’investissement dans l’électrification des véhicules.
La valeur du marché des technologies d'énergie propre pourrait atteindre 2 000 milliards de dollars d'ici 2035, entraînée par le solaire, l'éolien, les véhicules électriques et autres innovations, selon le dernier rapport de l'AIE.
Depuis deux semaines, une panne électrique due à des sabotages par des groupes jihadistes affecte 19 États dans le nord du Nigeria, paralysant la vie quotidienne de millions d’habitants et pesant lourdement sur l’économie locale.
Le projet ambitieux de l’île artificielle belge en mer du Nord, conçue pour centraliser la distribution d’énergie renouvelable, voit ses coûts tripler, suscitant des inquiétudes sur son avenir financier et environnemental.
Le rapport "Forecasting Green Jobs in Africa" de FSD Africa et Shortlist révèle un potentiel de création de millions d'emplois verts sur le continent d'ici 2030, en se concentrant sur des secteurs clés comme l'énergie, l'agriculture et la mobilité durable.
À l’approche de la COP29, un rapport de l’ONU souligne que les engagements climatiques actuels ne suffiront pas à limiter le réchauffement mondial à 1,5°C, mettant en péril des économies et des vies humaines.
En exploitant ses ressources en nickel, l'Indonésie inaugure sa première usine de batteries, avec l'ambition de devenir un acteur majeur de la chaîne d’approvisionnement des véhicules électriques.
Un nouveau rapport de l’ONU souligne l’urgence d’accélérer les réductions d’émissions mondiales, avec des objectifs renforcés attendus d’ici février 2025 pour éviter une hausse catastrophique des températures de 3°C.
Les positions opposées de Kamala Harris et Donald Trump en matière de politique climatique confèrent à l’élection américaine une importance capitale pour l’avenir environnemental mondial.
Après des années de conflit autour de la centrale de l’Ouest guyanais, un accord inédit a été signé avec le village amérindien Prospérité, incluant un fonds de dotation pour soutenir le développement local.
À l’approche de la COP29, la Commission sur le changement climatique recommande au Royaume-Uni de s'engager pour une réduction ambitieuse de ses émissions de gaz à effet de serre de 81 % d'ici 2035, renforçant son rôle dans la lutte mondiale contre le changement climatique.
Jusqu'à 10 milliards de livres de valeur pré-fiscale pourraient être débloqués dans la mer du Nord si le Royaume-Uni adopte une fiscalité incitative, restaurant la confiance entre le gouvernement et l'industrie pétrolière et gazière.
Le retour potentiel de la mesure « Schedule F » de Trump pourrait faciliter l'approbation des projets énergétiques, mais risquerait d'entraîner des retards judiciaires en raison du remplacement d'experts techniques par des nominations politiques.