Réunis à Belém, des États d’Afrique, d’Asie, d’Amérique latine et d’Europe soutiennent l’adoption d’un calendrier de retrait progressif des combustibles fossiles, malgré la résistance attendue de plusieurs pays producteurs.
L’E3 et les États-Unis déposent une résolution à l’AIEA pour formaliser la non-coopération iranienne après les frappes de juin, consolidant les bases juridiques d’un durcissement des sanctions énergétiques et financières.
Le Royaume-Uni lance une taskforce dirigée par le ministre de l'Énergie pour renforcer la sécurité du réseau électrique national, après l’interruption complète de l’aéroport d’Heathrow causée par un incendie de sous-station.
New Delhi sollicite $68bn d’investissements japonais pour accélérer ses projets gaziers, développer l’hydrogène et renforcer ses capacités d’importation de GNL dans un contexte d’ouverture accrue aux capitaux étrangers.
L’Allemagne introduira un tarif électrique plafonné pour ses industries les plus consommatrices, visant à préserver leur compétitivité face aux coûts énergétiques élevés.
Sous pression politique, l’Ademe est visée par des propositions de suppression. Son président rappelle le rôle de l’agence et justifie la gestion des 3,4 milliards d’euros opérés en 2024.
La production solaire et éolienne a dépassé l’augmentation de la demande mondiale d’électricité sur les trois premiers trimestres de 2025, entraînant une stagnation de la production fossile selon les dernières données disponibles.
Le gouvernement malaisien prévoit l’introduction d’une taxe carbone et renforce ses partenariats régionaux afin de stabiliser son industrie face aux régulations internationales émergentes.
E.ON met en garde contre le nouveau cadre réglementaire allemand qui pourrait freiner la rentabilité des investissements dans les réseaux électriques à partir de 2029.
Un black-out majeur a paralysé l’approvisionnement électrique en République dominicaine, affectant les transports, le tourisme et les infrastructures dans tout le pays. Les autorités affirment que la reprise se fait progressivement malgré un impact étendu.
Le Vietnam consolide son cadre réglementaire et financier pour décarboner son économie, structurer un marché carbone national et attirer des investissements étrangers dans sa stratégie énergétique à long terme.
La Banque européenne pour la reconstruction et le développement renforce son engagement dans les renouvelables en Afrique, en soutenant l’expansion solaire et éolienne d’Infinity Power au-delà de l’Égypte.
Le gouverneur Gavin Newsom s’est rendu au sommet COP30 à Belém pour défendre la Californie comme partenaire stratégique, en s’écartant de la ligne fédérale et en misant sur le poids économique de son État.
Les autorités chinoises autorisent une participation accrue des entreprises privées dans les projets énergétiques stratégiques, notamment le nucléaire, l’hydroélectricité et les réseaux de transmission, afin de redynamiser un investissement intérieur en perte de vitesse.
Un nouveau cadre réglementaire entre en vigueur pour structurer la planification, la passation de marchés et la gestion des infrastructures de transport d’électricité, visant à accroître la fiabilité du réseau et attirer les investissements privés.
À la veille de la COP30, l’Union africaine dénonce le retard des flux financiers d’adaptation et rappelle la responsabilité historique des pays industrialisés dans l’équilibre climatique mondial.
La progression de l’efficacité énergétique mondiale reste en deçà des engagements pris à Dubaï, freinée par la demande industrielle et des politiques publiques insuffisamment adaptées aux innovations technologiques.
Les ajouts mondiaux en solaire et éolien atteindront un nouveau record en 2025, mais l’absence d’objectifs nationaux ambitieux crée une incertitude sur l’atteinte du triplement prévu d’ici 2030.
Les raffineurs sud-coréens alertent sur des objectifs de réduction d’émissions jugés excessifs, alors que le gouvernement envisage des coupes allant jusqu’à 60% par rapport aux niveaux de 2018.
Avant la COP30 à Belém, le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva assume un positionnement controversé en proposant de financer la transition énergétique avec les bénéfices de l’exploitation pétrolière au large de l’Amazonie.
Le dirigeant de Framatome sera auditionné le 30 avril par les deux chambres pour valider sa nomination à la tête d’EDF, succédant à Luc Rémont non reconduit par l’exécutif.
Face à une série de coupures majeures d’électricité sur l’île d’Upolu, le gouvernement samoan déclare l’état d’urgence pour prioriser les services essentiels et mobiliser l’aide étrangère.
Le ministre de l’Industrie et de l’Énergie s’est déclaré ouvert à un débat assorti d’un vote sur la programmation énergétique 2025-2035, face aux critiques de l’opposition sur l'absence de consultation démocratique.
Le ministère français de l’Industrie et de l’Énergie reporte à novembre le versement du chèque énergie 2025, invoquant un retard dans l’adoption de la loi de finances, avec de nouvelles modalités d’attribution annoncées.
Le rythme de décarbonation de la France a marqué un net coup d’arrêt en 2024, selon le Citepa, compromettant les trajectoires nécessaires pour atteindre les objectifs de 2030.
Luc Rémont was dismissed as head of EDF by the French executive due to disagreements over industrial contract strategy and financing of the EPR2 nuclear programme.
L’explosion de la production solaire et la lente modernisation des infrastructures électriques bloquent des milliers de projets aux Pays-Bas, affectant la sécurité énergétique et les coûts pour les consommateurs.
Le développement des réseaux électriques français se heurte à un déficit structurel de main-d'œuvre qualifiée, malgré des investissements annoncés de 200 milliards d’euros d’ici 2040.
Le départ de Luc Rémont révèle des désaccords persistants entre EDF et l’État sur la fixation des prix de l’électricité pour l’industrie et sur les conditions de financement du programme nucléaire.
La Banque européenne d’investissement valide une dernière tranche de 1,7 milliard de zlotys pour Orlen afin de moderniser les infrastructures de distribution d’électricité en Pologne via sa filiale Energa Operator.
Luc Rémont est remplacé à la tête d’EDF alors que les industriels français dénoncent une stratégie tarifaire jugée incompatible avec la compétitivité manufacturière nationale.
Luc Rémont ne sera pas reconduit à la présidence d’Électricité de France, deux ans après sa nomination, en dépit d’un bénéfice record pour 2024 et de la relance du parc nucléaire.
L’exécutif a désigné Bernard Fontana pour diriger EDF, misant sur son expérience du nucléaire et des secteurs industriels consommateurs d’énergie, dans un contexte de recomposition stratégique et de pression tarifaire accrue.
La nomination de Dominique Voynet au Haut Comité pour la transparence et l'information sur la sécurité nucléaire (HCTISN) soulève des critiques de députés opposés à son positionnement anti-nucléaire.
Le gouvernement américain a accordé une autorisation pour un terminal gazier en Louisiane, soutenant l'industrie gazière en dépit des préoccupations environnementales et des politiques précédentes du gouvernement Biden.
Le régulateur britannique Ofgem a annoncé un investissement de 4 milliards de livres pour moderniser les réseaux de transport d'électricité en Grande-Bretagne, dans le cadre des objectifs climatiques du pays.
Une étude du Boston Consulting Group et du Bundesverband der Deutschen Industrie révèle que l'Allemagne pourrait réduire ses dépenses liées à la transition énergétique de 300 milliards d'euros d'ici 2035 en optimisant sa planification et son efficacité.
L'Italie a débuté des négociations avec un consortium azéri pour la vente de l’acierie Ilva, l’un des plus grands complexes sidérurgiques européens, situé à Tarente. Ce projet vise à relancer l’industrie locale et à moderniser les installations vieillissantes.