Le gouverneur Gavin Newsom s’est rendu au sommet COP30 à Belém pour défendre la Californie comme partenaire stratégique, en s’écartant de la ligne fédérale et en misant sur le poids économique de son État.
Les autorités chinoises autorisent une participation accrue des entreprises privées dans les projets énergétiques stratégiques, notamment le nucléaire, l’hydroélectricité et les réseaux de transmission, afin de redynamiser un investissement intérieur en perte de vitesse.
Un nouveau cadre réglementaire entre en vigueur pour structurer la planification, la passation de marchés et la gestion des infrastructures de transport d’électricité, visant à accroître la fiabilité du réseau et attirer les investissements privés.
À la veille de la COP30, l’Union africaine dénonce le retard des flux financiers d’adaptation et rappelle la responsabilité historique des pays industrialisés dans l’équilibre climatique mondial.
La progression de l’efficacité énergétique mondiale reste en deçà des engagements pris à Dubaï, freinée par la demande industrielle et des politiques publiques insuffisamment adaptées aux innovations technologiques.
Les ajouts mondiaux en solaire et éolien atteindront un nouveau record en 2025, mais l’absence d’objectifs nationaux ambitieux crée une incertitude sur l’atteinte du triplement prévu d’ici 2030.
Les raffineurs sud-coréens alertent sur des objectifs de réduction d’émissions jugés excessifs, alors que le gouvernement envisage des coupes allant jusqu’à 60% par rapport aux niveaux de 2018.
Avant la COP30 à Belém, le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva assume un positionnement controversé en proposant de financer la transition énergétique avec les bénéfices de l’exploitation pétrolière au large de l’Amazonie.
Un groupe international de chercheurs anticipe désormais un pic des émissions chinoises d’ici 2028, malgré des signaux récents de ralentissement, renforçant l’incertitude sur le rythme de transition énergétique du pays.
La fin des subventions et la hausse spectaculaire des prix de l’électricité en Syrie aggravent la précarité et provoquent un mécontentement croissant, dans un pays en reconstruction après plus d’une décennie de guerre.
Les trajectoires actuelles d’émissions placent la planète sur une courbe de réchauffement de 2,3°C à 2,5°C, selon les derniers calculs des Nations unies, à quelques jours de l’ouverture de la COP30 à Belem.
Le gouvernement australien prévoit d’introduire une offre d’électricité gratuite via le solaire dans plusieurs régions dès juillet 2026, afin d’optimiser la gestion du réseau électrique pendant les pics de production.
L’Inde met en œuvre de nouvelles réformes pour intégrer efficacement les énergies renouvelables dans le réseau national, avec un focus sur les projets de stockage et l’amélioration des contrats.
La Chine a ajouté un record de 264 GW en éolien et solaire au premier semestre 2025, mais l'introduction d'un mécanisme de tarification compétitif pour les projets futurs pourrait exercer des pressions sur les prix et affecter la rentabilité des développeurs.
Le gouvernement a confirmé que la vente majoritaire d’Exaion par EDF au groupe Mara sera soumise à la procédure de contrôle des investissements étrangers, avec une réponse attendue d’ici fin décembre.
À une semaine de la COP30, Brasilia annonce une chute inédite des émissions brutes de gaz à effet de serre, portée par la réduction de la déforestation et une dynamique sectorielle inégale, sur fond d’exploration pétrolière offshore controversée.
Le projet d’électrification de Catabola, livré par Mitrelli, marque la première connexion au réseau national pour plusieurs communautés de la province de Bié.
Le gouvernement algérien prévoit une mise à niveau complète du dispositif SCADA, géré par Sonelgaz, afin d’améliorer la maîtrise et la supervision du réseau électrique national à partir de 2026.
Face à des pertes annuelles estimées jusqu’à 66 millions USD, la SEEG intensifie ses contrôles et prépare le déploiement de compteurs intelligents pour freiner les branchements illégaux.
Le gouvernement britannique confirme ses ambitions de décarbonation du secteur électrique d’ici 2030, malgré les critiques politiques et les inquiétudes sur le coût de l’énergie pour les consommateurs.
Un rapport d’Ember montre que l’ASEAN pourrait alimenter près d’un tiers de ses data centres avec de l’éolien et du solaire d’ici 2030, sans avoir recours au stockage, sous réserve de politiques publiques adaptées.
Les autorités espagnoles et le gestionnaire du réseau REE ont démenti toute expérimentation sur le réseau électrique national avant la panne massive du 28 avril, dont les causes restent non identifiées.
Trois trajectoires commerciales projetées par Wood Mackenzie montrent comment les tensions douanières peuvent infléchir la demande, les prix et les investissements dans le secteur énergétique mondial.
La Commission européenne annonce que l’Union est en bonne voie pour réduire ses émissions de 54% d’ici 2030, grâce aux plans mis à jour des États membres.
La Corée du Sud officialise deux appels d'offres totalisant 2,25 GW, répartis entre éolien offshore et solaire, avec de nouveaux critères économiques et techniques destinés à renforcer la sécurité énergétique et attirer les investisseurs internationaux.
Ember anticipe qu’un tiers de la consommation électrique des data centres de l’ASEAN pourrait être couvert par l’éolien et le solaire d’ici 2030, sans batteries, si des mesures politiques adéquates sont adoptées.
Un rapport de Rocky Mountain Institute révèle l’ambition énergétique de l’Inde, dont la demande d’électricité pourrait tripler d’ici 2050, soutenue par une politique industrielle axée sur les énergies renouvelables.
Le gouvernement indonésien ambitionne un développement énergétique mixte impliquant charbon, gaz, renouvelables et nucléaire, nécessitant 2 967,4 trillions de roupies (235 milliards $) d’investissements pour être réalisé d’ici fin 2034.
Le ministre canadien des Ressources naturelles Tim Hodgson annonce une réforme du processus de délivrance des permis énergétiques, cherchant à stimuler les investissements et renforcer les relations entre le gouvernement et l'industrie.
L’Agence américaine de protection de l’environnement finalise un projet visant à lever les plafonds d’émissions des centrales thermiques, dans un contexte de recentrage stratégique sur la sécurité énergétique nationale.
Le gouvernement pakistanais débloque une capacité énergétique de 2 000 mégawatts pour soutenir l’implantation de centres de données liés à l’intelligence artificielle et au Bitcoin, dans une stratégie visant à attirer des investissements étrangers.
En avril, la Chine a généré 26 % de son électricité à partir de l’éolien et du solaire, selon Ember, une première historique qui reflète un rééquilibrage rapide de son mix énergétique.
Le Parlement fédéral belge a adopté une loi autorisant la prolongation des réacteurs Doel-4 et Tihange-3 ainsi que la construction de nouvelles capacités, rompant avec la politique de sortie du nucléaire instaurée en 2003.
Le gouvernement australien reconduit investit massivement dans le stockage, les minéraux critiques et la production locale pour atteindre ses cibles de 82 % d’électricité renouvelable d’ici 2030.
Le projet de loi budgétaire de la Chambre des représentants des États-Unis prévoit une réduction progressive des crédits d’impôt, pesant sur le financement des projets solaires, éoliens, de stockage et d’hydrogène propre.
Les volumes chinois de gaz, pétrole et charbon restent supérieurs à ceux de l’an dernier, bien que leur production ait diminué en avril par rapport aux niveaux records de mars.
Le plafond tarifaire britannique de l’énergie devrait être abaissé à £1,720 ($2,187) en juillet, selon Cornwall Insight, en raison de la récente évolution des marchés de gros.
La Commission européenne publie un bilan chiffré du plan REPowerEU, confirmant une baisse nette des achats d’énergies fossiles russes et annonçant de nouvelles mesures législatives d’ici juin.
Un partenariat entre le gouvernement indien et GEAPP prévoit un soutien financier et opérationnel pour les jeunes entreprises climat-tech, dans le cadre d’une stratégie nationale sur l’énergie.
Un financement de $150mn, dont $100mn de la Banque mondiale, soutiendra la modernisation du réseau électrique ouzbek et l’intégration de l’énergie renouvelable dans les régions clés du pays.