Shell restructure sa participation dans le pipeline Caspian en sortant du joint-venture avec Rosneft, avec l’aval du Kremlin, afin de rester conforme aux sanctions tout en sécurisant son accès au brut kazakh.
Shell obtient 60 % du bloc 2C dans le bassin d’Orange, s’engage à forer trois puits et à verser une prime de $25mn à PetroSA, en attendant l’approbation du régulateur sud-africain.
Washington intensifie sa pression sur le gouvernement vénézuélien, mais les ambitions américaines n’incluent pas l’exclusion de Caracas de l’OPEP, selon les orientations géopolitiques et énergétiques actuelles.
Le Kazakhstan réoriente une partie de sa production pétrolière vers la Chine après l’attaque d’un terminal du Consortium pour l’oléoduc de la mer Caspienne, sans interruption complète des exportations.
La banque américaine Xtellus Partners a soumis un plan au Trésor des États-Unis visant à compenser les pertes subies par les investisseurs via la vente d’actifs internationaux de Lukoil, bloqués depuis l’invasion russe en Ukraine.
La société ghanéenne Cybele Energy a signé un contrat d’exploration de $17mn dans les eaux peu profondes du Guyana, visant un bloc estimé à 400 millions de barils, en dehors des zones de litige territorial.
Les cours du pétrole ont peu évolué après une baisse liée à la reprise d’un champ pétrolier majeur en Irak, tandis que les investisseurs restent attentifs aux pourparlers de paix en Ukraine et à une décision monétaire attendue aux États-Unis.
TechnipFMC va concevoir et installer des conduites flexibles pour Ithaca Energy dans le cadre du développement du champ pétrolier Captain, renforçant sa présence dans le secteur offshore britannique.
Vaalco Energy a démarré le forage du puits ET-15 sur la plateforme Etame, marquant le début de la phase trois de son programme de développement offshore au Gabon, soutenu par un contrat avec Borr Drilling.
L’attaque contre une infrastructure clé du Caspian Pipeline Consortium en mer Noire réduit de moitié les exportations kazakhes de brut, exposant les majors pétrolières et reconfigurant les équilibres énergétiques régionaux.
L’Irak prépare une transition encadrée sur le champ pétrolier de West Qurna-2, après les sanctions américaines contre Lukoil, en privilégiant un transfert vers des acteurs jugés fiables par Washington, dont ExxonMobil.
Les Forces de soutien rapide ont pris Heglig, le plus grand site pétrolier du Soudan, provoquant l'arrêt de la production et accentuant les risques sur les flux régionaux d’exportation de brut.
Le coût de réhabilitation de la Sonara, unique raffinerie du Cameroun, atteint désormais 300 milliards FCFA, soit 533 millions USD, alors que plusieurs banques internationales manifestent un intérêt croissant pour son financement.
La Chine a importé 12,38 millions de barils par jour en novembre, un niveau inédit depuis août 2023, soutenu par des marges de raffinage plus élevées et l’anticipation de quotas pour 2026.
Les États-Unis ont réaffirmé leur engagement militaire aux côtés du Guyana, verrouillant ainsi l’accès sécurisé à une production pétrolière en forte croissance dans un contexte de tensions frontalières persistantes avec le Venezuela.
Le tanker sanctionné Kairos, abandonné après une attaque de drones ukrainiens, s’est échoué près des côtes bulgares, soulignant les risques opérationnels et juridiques croissants liés à la flotte fantôme russe opérant en mer Noire.
Les États-Unis maintiennent sous licence temporaire les opérations de Lukoil hors de Russie, empêchant tout flux vers Moscou et encadrant la cession d’un portefeuille estimé à 22 Md$, sans rupture d’approvisionnement pour les pays alliés.
La compagnie pétrolière libyenne NOC prévoit de lancer début 2026 une ronde d’octroi de licences sur une vingtaine de blocs, alors que les enjeux politiques, juridiques et commerciaux exacerbent les risques pour les investisseurs internationaux.
Les sanctions européennes contre la Russie et les arrêts de raffineries au Moyen-Orient ont fortement réduit l’offre mondiale de diesel, faisant grimper les marges de raffinage sur les principaux marchés.
Les cours du brut ont progressé, portés par des frappes ukrainiennes sur des infrastructures russes et l'absence d’avancée diplomatique entre Moscou et Washington dans le conflit en Ukraine.
ExxonMobil a signé un protocole d'accord avec le gouvernement irakien pour développer le champ pétrolier de Majnoon, marquant son retour dans le pays après deux ans d'absence.
Les cours du brut ont progressé après la décision de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et de ses alliés de n’augmenter leur production qu’à la marge en novembre, malgré des signes persistants de surabondance de l’offre.
Cenovus Energy modifie les termes de son acquisition de MEG Energy en augmentant la valeur de l’offre et en ajustant la répartition entre liquidités et actions, tout en enregistrant des résultats record au troisième trimestre.
Le groupe pétrolier hongrois MOL et l’opérateur croate JANAF négocient une prolongation de leur accord de transport de brut, alors que la région cherche à réduire sa dépendance au pétrole russe.
Les livraisons ferroviaires d’essence biélorusse à destination de la Russie ont bondi en septembre, alors que Moscou cherche à pallier la pénurie de carburant provoquée par les attaques ukrainiennes contre ses infrastructures énergétiques.
Le Danemark intensifie les inspections des navires transitant par Skagen, un point stratégique reliant la mer du Nord à la mer Baltique, dans le but de contrer les risques posés par la flotte fantôme russe transportant du pétrole sanctionné.
Nicola Mavilla succède à Kevin McLachlan comme Directeur Exploration de TotalEnergies, après plus de deux décennies d’expérience internationale dans l’industrie pétrolière et gazière.
Sahara Group investit massivement dans le développement de ses capacités de production au Nigeria, avec sept nouvelles plateformes de forage destinées à faire du conglomérat le premier producteur pétrolier privé du pays.
Le Sénégal souhaite doubler sa capacité de raffinage pétrolier avec un projet estimé entre $2 et $5 milliards, alors que la demande intérieure dépasse les capacités actuelles.
Chevron tente de redémarrer plusieurs unités de sa raffinerie californienne d’El Segundo, après un incendie survenu dans une unité de production de kérosène, perturbant temporairement l’approvisionnement régional en carburants.
L’Éthiopie a débuté la construction de sa première raffinerie de brut à Gode, un projet de $2,5bn confié à GCL, destiné à renforcer la sécurité énergétique du pays face à sa dépendance persistante aux importations.
L’Opep+ ajuste légèrement ses quotas pour novembre, poursuivant sa stratégie de reconquête de parts de marché malgré une demande mondiale stagnante et un marché sous pression.
La Chine a mis en place un système clandestin d’échange pétrole-contre-projets pour contourner les sanctions américaines et soutenir l’économie iranienne sous embargo, selon une enquête exclusive du Wall Street Journal.
TotalEnergies EP Norge a conclu deux accords pour céder ses participations non opérées dans trois champs inactifs norvégiens, conditionnés à une décision d’investissement attendue en 2025.
La Cour suprême des États-Unis entendra le recours d’ExxonMobil visant à obtenir une indemnisation de sociétés cubaines pour des actifs pétroliers nationalisés en 1960, relançant l'application de la loi Helms-Burton.
Un important incendie a été éteint dans la principale raffinerie de Chevron sur la côte ouest des États-Unis. L'origine du sinistre reste inconnue, et une enquête a été ouverte pour en déterminer la cause.
Huit pays membres de l’OPEP+ s’apprêtent à relever leur production de pétrole dès novembre, tandis que l’Arabie saoudite et la Russie débattent de l’ampleur de cette augmentation dans un contexte de tensions sur les parts de marché.
L’éventuelle suppression par Moscou des droits sur l’essence chinoise ravive les perspectives d’exportation et pourrait tendre l’approvisionnement régional, alors que Singapour et la Corée du Sud restent à l’écart.
Vladimir Poutine a réagi à l’interception d’un pétrolier suspecté d’appartenir à la flotte fantôme russe, qualifiant l’opération française de “piraterie” et niant toute implication directe de la Russie.
Après son interception par la marine française, le pétrolier Boracay, lié à la flotte fantôme russe, a quitté Saint-Nazaire avec sa cargaison de pétrole, relançant les tensions autour du contournement des sanctions européennes par Moscou.