Le ministre polonais de l’Énergie appelle les États membres de l’Union européenne à s’engager collectivement à stopper les achats de pétrole russe sous deux ans, évoquant des risques géopolitiques croissants.
Athènes et Tripoli s'engagent dans un processus de négociation pour définir leurs zones économiques exclusives en Méditerranée, dans un contexte marqué par des tensions géopolitiques et des enjeux énergétiques sous-marins.
Les puissances européennes exigent des gestes concrets de Téhéran sur le nucléaire sous peine de rétablir les sanctions onusiennes, alors que les inspections de l’AIEA restent bloquées et les tensions avec Washington persistent.
Bruxelles confirme son objectif de cesser toutes les importations d’énergie russe d’ici 2028, malgré les pressions diplomatiques croissantes exercées par Washington dans le contexte du conflit en Ukraine.
Donald Trump menace d’intensifier les sanctions américaines contre la Russie, mais uniquement si les pays de l’Otan interrompent tous leurs achats de pétrole russe, encore actifs via certains oléoducs.
Les deux pays ont convenu de développer des infrastructures dédiées au gaz naturel liquéfié pour renforcer la sécurité énergétique de l’Europe et stimuler les échanges transatlantiques.
L’ayatollah Ali Khamenei appelle à moderniser l’industrie pétrolière et à élargir les débouchés commerciaux alors que Téhéran est confronté à la réactivation possible des sanctions de l’accord nucléaire de 2015.
Le président ukrainien a exigé l’arrêt des importations de brut russe par la Slovaquie, en proposant une alternative d’approvisionnement, dans un contexte marqué par la guerre et les tensions diplomatiques croissantes autour de l’oléoduc Droujba.
Les États-Unis abaissent les tarifs appliqués aux importations japonaises à 15 %, tandis que Tokyo s’engage dans un plan massif d’investissements ciblant l’énergie, l’industrie et l’agriculture américaines.
La présidence brésilienne de la Cop 30 veut s’appuyer sur les engagements de Dubaï pour mobiliser acteurs publics et privés malgré les blocages persistants dans les négociations internationales.
Brasília a officiellement entamé le processus d’adhésion à l’Agence internationale de l’énergie, renforçant ainsi son positionnement stratégique sur la scène énergétique mondiale après des années de coopération étroite avec l’organisation basée à Paris.
En déplacement à Pékin, Vladimir Poutine a appelé la Slovaquie à suspendre ses livraisons d’énergie à l’Ukraine, en réponse aux frappes ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques russes.
Vladimir Poutine et Robert Fico se sont rencontrés en Chine pour aborder la guerre en Ukraine, la sécurité régionale et les relations énergétiques entre la Russie et la Slovaquie.
Le Premier ministre slovaque Robert Fico prévoit une rencontre avec Vladimir Poutine à Pékin avant de recevoir Volodymyr Zelensky à Bratislava, marquant un tournant diplomatique dans ses relations avec Moscou et Kyiv.
Les trois puissances européennes déclenchent le mécanisme de sanctions onusiennes contre l’Iran, mettant sous pression les exportations pétrolières du pays au moment où Téhéran maintient une production élevée malgré les mesures occidentales.
L’Iran autorise de nouveau l’Agence internationale de l’énergie atomique à inspecter ses sites nucléaires, après une suspension provoquée par un différend sur la responsabilité des frappes israéliennes.
Premier suspect lié aux explosions du gazoduc Nord Stream, un citoyen ukrainien contesté par Berlin s’oppose à son transfert judiciaire depuis l’Italie.
Des drones ukrainiens ont visé une centrale nucléaire et un terminal pétrolier russes, accentuant la pression sur les discussions diplomatiques, alors que Moscou et Kiev s’accusent mutuellement de bloquer toute perspective de négociation.
Un ressortissant ukrainien suspecté d’avoir coordonné le sabotage des gazoducs Nord Stream a été interpellé en Italie, relançant une affaire judiciaire aux fortes implications géopolitiques en Europe.
La Russie poursuit ses livraisons d’hydrocarbures vers l’Inde et explore de nouveaux débouchés pour son gaz naturel liquéfié, dans un contexte de tensions commerciales croissantes avec les États-Unis.
L'Ukraine met fin au contrat de transit de gaz russe avec Gazprom à compter du 31 décembre 2024, un changement qui bouleverse les flux énergétiques vers l'Europe et renforce les tensions géopolitiques.
L’European Bank for Reconstruction and Development (EBRD) prévoit de conclure plusieurs accords de prêts en Ukraine pour renforcer le secteur énergétique avant l'hiver, face aux défis posés par les attaques russes.
Singapour explore des partenariats avec l’Australie et l’Asie du Sud-Est pour diversifier ses sources d’énergie, répondant à une demande croissante et à ses objectifs de décarbonation.
Les récentes frappes russes ont sévèrement endommagé les infrastructures énergétiques ukrainiennes, entraînant des coupures d'électricité significatives et perturbant les opérations ferroviaires. Les autorités ukrainiennes appellent à une coopération internationale pour renforcer la résilience du réseau.
Les États-Unis imposent des sanctions supplémentaires contre les transporteurs de GNL russes, accentuant les difficultés pour la Russie sur les marchés internationaux.
Les Houthis, soutenus par l'Iran, intensifient leurs attaques contre les pétroliers en mer Rouge, menaçant gravement la sécurité maritime et l'approvisionnement énergétique mondial.
Un tanker grec transportant du brut irakien a été sévèrement touché par des missiles tirés par les Houthis, soutenus par l'Iran, mettant en lumière l'escalade des actions terroristes en mer Rouge.
Les récentes frappes ukrainiennes sur le port de Kavkaz, un site clé pour l'exportation de produits pétroliers russes, perturbent gravement la logistique énergétique et accentuent les risques pour les acteurs du secteur.
Vladimir Poutine affirme que l'Ukraine a tenté de frapper la centrale nucléaire de Koursk, intensifiant les risques nucléaires dans cette région stratégique. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) envoie des experts pour évaluer la situation.
Le Liban obtient un soutien crucial de l'Irak avec une augmentation des livraisons de fuel lourd à 125 000 tonnes en août, visant à maintenir ses centrales électriques opérationnelles en pleine crise.
Summit Group, acteur clé du secteur énergétique bangladais, réévalue ses projets d'importation d'énergie renouvelable suite à un amendement réglementaire en Inde, bouleversant les prévisions d'investissements transfrontaliers.
Summit Group ajuste ses stratégies d'importation d'énergie renouvelable suite à un changement des règles en Inde, réévaluant ses projets d'investissement dans un contexte incertain.
Le Liban obtient un soutien crucial de l'Irak avec une augmentation des livraisons de fuel lourd à 125 000 tonnes en août, visant à maintenir ses centrales électriques opérationnelles en pleine crise.
La Russie exprime son mécontentement envers l'Allemagne concernant l'enquête sur les explosions de Nord Stream, invoquant un manque de coopération internationale.
Vladimir Poutine visite l'Azerbaïdjan pour consolider les partenariats énergétiques, dans un contexte géopolitique tendu et marqué par la réorientation des flux énergétiques européens.
L'Algérie a débuté un approvisionnement immédiat en fioul pour le Liban, évitant ainsi la paralysie totale des infrastructures stratégiques après l'épuisement des stocks de la centrale de Zahrani.
Le gouvernement polonais dément fermement les accusations de complicité dans le sabotage des gazoducs Nord Stream en 2022, affirmant qu'il s'agit d'une manœuvre de désinformation visant à diviser l'OTAN.
Le gouvernement ukrainien rejette catégoriquement les accusations du Wall Street Journal concernant une éventuelle implication dans le sabotage des gazoducs Nord Stream en 2022, les qualifiant de "non-sens absolu".
L’expiration imminente de l’accord de transit gazier entre la Russie et l’Ukraine en 2024 pourrait entraîner des perturbations majeures dans l'approvisionnement énergétique de plusieurs pays européens, exacerbant les tensions géopolitiques actuelles.
Zsolt Hernadi, PDG du groupe hongrois MOL, rejette l'idée de se passer du pétrole russe, malgré les avertissements sur les pénuries de carburant en Hongrie.