Manille prévoit de renforcer sa production d’énergie à partir du gaz et des renouvelables afin de répondre à une hausse de 6,6 % de la demande d’électricité en deux ans.
Ottawa et Londres ont multiplié les échanges bilatéraux pour structurer une coopération stratégique autour de l’énergie nucléaire et des chaînes d’approvisionnement en minéraux critiques, dans le cadre de la présidence canadienne du G7.
Donald Trump déclare avoir obtenu l'engagement de Narendra Modi pour mettre fin aux importations de pétrole russe, ajoutant une pression politique sur les relations commerciales indo-russes.
Sous pression diplomatique intense de Washington, les pays membres de l’Organisation maritime internationale ont accepté de reporter d’un an l’adoption d’un mécanisme de tarification du carbone pour le transport maritime mondial.
Washington confirme avoir donné mandat à la CIA pour mener des actions secrètes contre le gouvernement de Nicolas Maduro, provoquant des tensions croissantes entre les États-Unis et le Venezuela sur fond d’enjeux géostratégiques et énergétiques.
Deux commissions du Parlement européen proposent d’avancer à 2026 et 2027 l’arrêt complet des importations d’hydrocarbures russes, incluant pétrole, gaz et GNL, renforçant ainsi la position géopolitique de l’Union européenne.
La conférence COP30 organisée en Amazonie par le Brésil fait face à une faible participation des dirigeants mondiaux, sur fond de tensions géopolitiques et de défis logistiques majeurs.
Les États-Unis ont accordé à Trinité-et-Tobago une licence spéciale pour reprendre les négociations avec le Venezuela autour du champ gazier Dragon, levant partiellement les restrictions imposées au secteur énergétique vénézuélien.
Les ambassadeurs des pays membres de l’Union européenne ont validé l’envoi au Conseil des ministres d’un projet législatif visant à éliminer progressivement les importations d’énergie fossile russe d’ici janvier 2028.
La Douma a approuvé le retrait formel de la Russie d’un traité signé avec les États-Unis sur l’élimination du plutonium militaire, mettant fin à plus de deux décennies de coopération nucléaire stratégique.
Le Premier ministre polonais Donald Tusk a déclaré qu’il n’était pas dans l’intérêt de la Pologne d’extrader vers l’Allemagne un citoyen ukrainien soupçonné d’avoir participé aux explosions ayant endommagé les gazoducs Nord Stream en 2022.
Al-Harfi et SCLCO ont signé des accords avec les autorités syriennes pour développer des capacités solaires et éoliennes, dans un contexte de rapprochement énergétique entre Riyad et Damas.
Face aux risques liés aux approvisionnements du Moyen-Orient, les raffineurs thaïlandais et japonais se tournent vers le brut américain, soutenus par des incitations tarifaires et des stratégies alignées avec les discussions commerciales bilatérales.
La France a intercepté un pétrolier lié à des exportations russes, incitant Emmanuel Macron à appeler à une réponse européenne coordonnée pour entraver les navires contournant les sanctions sur le pétrole.
L’activation du mécanisme de snapback rétablit l’ensemble des sanctions de l’ONU contre l’Iran, impactant directement les secteurs de l’armement, de la finance et du commerce maritime international.
Le commissaire Dan Jørgensen est en visite au Groenland pour renforcer les liens énergétiques avec l’Union européenne, dans un contexte de doublement envisagé des fonds européens pour la période 2028-2034.
Les chefs de la diplomatie européenne et iranienne se retrouvent à New York pour tenter d’éviter le rétablissement des sanctions de l’ONU liées au programme nucléaire de Téhéran.
Le premier ministre canadien Mark Carney annonce un accord bilatéral avec le Mexique incluant des investissements ciblés dans les corridors énergétiques, les infrastructures logistiques et la sécurité transfrontalière.
Le président américain a appelé à un arrêt immédiat des importations de pétrole russe par les pays membres de l’OTAN, dénonçant une contradiction stratégique alors que des sanctions sont envisagées contre Moscou.
Téhéran a retiré une résolution dénonçant les attaques contre ses installations nucléaires, citant des pressions américaines sur les membres de l’AIEA, qui craignaient une suspension des contributions volontaires de Washington.
La suspension des 1 400 MW d’électricité fournis par l’Iran à l’Irak met sous pression le réseau irakien, tandis que Téhéran enregistre une demande record de 77 GW et doit arbitrer entre consommation interne et obligations régionales.
Pékin s’oppose à l’éventuel retour des sanctions du trio européen contre l’Iran, alors que l’échéance de l’accord sur le nucléaire approche et que les tensions diplomatiques s’intensifient autour de Téhéran.
Les États-Unis projettent de collaborer avec le Pakistan dans les minerais critiques et les hydrocarbures, en explorant des coentreprises et projets dans des zones stratégiques comme le Baloutchistan.
Environ 80 normes techniques russes pour le pétrole et le gaz ont été validées à l’international, notamment par les Émirats arabes unis, l’Algérie et Oman, selon l’Institut des initiatives technologiques pétrolières.
Bagdad et Damas intensifient leurs discussions pour réactiver l'oléoduc de 850 km fermé depuis 2003, offrant une alternative méditerranéenne face aux tensions régionales et aux blocages d'exportation.
Les deux pays mettent fin à 37 ans de conflit avec un corridor de 43 kilomètres sous contrôle américain pour 99 ans. L'infrastructure acheminera 50 millions de tonnes de marchandises annuellement d'ici 2030.
Un haut responsable de l'agence onusienne entame lundi des discussions techniques avec l'Iran, première rencontre depuis les frappes de juin sur les sites nucléaires iraniens.
Un accord de libre-échange entre l’Indonésie et l’Union économique eurasiatique sera signé en décembre, visant une réduction des droits de douane sur 3 milliards USD d’échanges et la croissance du commerce bilatéral dans les prochaines années.
La visite du conseiller à la sécurité nationale indien à Moscou intervient alors que les États-Unis menacent d’augmenter les droits de douane sur New Delhi, en raison des achats soutenus de pétrole russe par l’Inde.
Les discussions entre Téhéran et Bagdad sur les volumes d'exportation et une dette de 11 milliards de dollars révèlent les complexités d'une dépendance énergétique sous sanctions américaines.
Face aux menaces de sanctions secondaires américaines, les raffineurs indiens ralentissent leurs achats de brut russe tout en explorant des alternatives coûteuses, révélant les défis complexes de la sécurité énergétique.
Les tarifs de 50% poussent Brasília vers une intégration commerciale accélérée avec Pékin et Bruxelles, redessinant les équilibres économiques régionaux.
Washington impose des droits douaniers massifs invoquant la persécution de Bolsonaro tout en exemptant les secteurs stratégiques pour l'industrie américaine.
Les sanctions du 1er août accélèrent la reconfiguration des flux commerciaux indo-pacifiques avec Vietnam, Bangladesh et Indonésie comme principaux bénéficiaires.
Washington déclenche une structure tarifaire inédite combinant 25% de droits fixes et une sanction additionnelle non spécifiée liée aux achats énergétiques et militaires russes.
Le Qatar rejette les obligations de transition climatique de l'UE et brandit la menace d'une réorientation de ses exportations de GNL vers l'Asie, créant un dilemme énergétique majeur.
L’Ouganda mise sur une présence diplomatique à Vienne afin de faciliter la coopération technique et commerciale avec l’Agence internationale de l’énergie atomique pour soutenir ses ambitions dans le nucléaire civil.
Les gouvernements d’Arabie saoudite et de Syrie concluent un partenariat inédit englobant pétrole, gaz, interconnexion électrique et énergies renouvelables, afin de dynamiser leurs échanges et investissements dans le secteur énergétique.
L'engagement européen d'acheter 250 milliards de dollars d'énergie américaine par an soulève des questions sur sa faisabilité technique et économique face aux capacités d'export limitées.