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L'administration Trump envisage des sanctions contre l'Irak pour limiter l'influence iranienne. Ces mesures pourraient redéfinir les équilibres géopolitiques et économiques du marché énergétique mondial.
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Face à une pénurie de gazole affectant les stations-service dans ses provinces centrales, l'Irak se tourne vers le Kazakhstan pour obtenir 20 millions de mètres cubes de gaz naturel afin de stabiliser son approvisionnement énergétique.
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L'OPEC révise à la baisse ses prévisions de demande de pétrole pour 2024 et 2025, en raison d'une faible croissance économique et de l'augmentation de l'offre de ses concurrents.
L'OPEC révise à la baisse ses prévisions de demande de pétrole pour 2024 et 2025, en raison d'une faible croissance économique et de l'augmentation de l'offre de ses concurrents.
Le Kurdistan irakien continue d’augmenter sa production pétrolière malgré les restrictions de Bagdad, qui tente de se conformer aux quotas de l’OPEP+ et d'attirer des investissements gaziers des États-Unis pour diversifier ses sources d'énergie.
Le Kurdistan irakien continue d’augmenter sa production pétrolière malgré les restrictions de Bagdad, qui tente de se conformer aux quotas de l’OPEP+ et d'attirer des investissements gaziers des États-Unis pour diversifier ses sources d'énergie.
L'Irak a reconnu avoir produit 184 000 barils par jour (b/j) au-dessus de son quota OPEC+ en juin, et s'engage à compenser cet excédent d'ici septembre 2025 en réduisant davantage sa production.
L'Irak a reconnu avoir produit 184 000 barils par jour (b/j) au-dessus de son quota OPEC+ en juin, et s'engage à compenser cet excédent d'ici septembre 2025 en réduisant davantage sa production.
Un officiel irakien confirme le soutien de l'Irak à l'extension des quotas actuels de l'OPEP+, malgré les déclarations initiales du ministre du pétrole sur le refus de nouvelles réductions.
Un officiel irakien confirme le soutien de l'Irak à l'extension des quotas actuels de l'OPEP+, malgré les déclarations initiales du ministre du pétrole sur le refus de nouvelles réductions.
En avril, les exportations de pétrole brut de l'Irak ont légèrement diminué, reflétant les pressions pour respecter les quotas de l'OPEP+.
En avril, les exportations de pétrole brut de l'Irak ont légèrement diminué, reflétant les pressions pour respecter les quotas de l'OPEP+.
Les exportations de pétrole du Kurdistan irakien restent en attente d'un accord final avec la Turquie. Le gouvernement fédéral irakien avait annoncé une reprise des exportations le 13 mai, mais le Kurdistan attend toujours un accord pour pouvoir reprendre les exportations de pétrole.
Les exportations de pétrole du Kurdistan irakien restent en attente d'un accord final avec la Turquie. Le gouvernement fédéral irakien avait annoncé une reprise des exportations le 13 mai, mais le Kurdistan attend toujours un accord pour pouvoir reprendre les exportations de pétrole.
L'Irak attend toujours la réponse de la Turquie pour la reprise de ses exportations de pétrole en provenance du Kurdistan. Les exportations étaient suspendues depuis fin mars après une décision du tribunal arbitral en faveur du gouvernement central irakien. Malgré l'annonce d'un accord entre Bagdad et Erbil, la reprise dépend maintenant de la décision de la Turquie.
L'Irak attend toujours la réponse de la Turquie pour la reprise de ses exportations de pétrole en provenance du Kurdistan. Les exportations étaient suspendues depuis fin mars après une décision du tribunal arbitral en faveur du gouvernement central irakien. Malgré l'annonce d'un accord entre Bagdad et Erbil, la reprise dépend maintenant de la décision de la Turquie.
L'Irak espère un accord pour la reprise des exportations de pétrole vers la Turquie, interrompues depuis un mois en raison d'un ancien litige juridique. Les ventes de pétrole du Kurdistan doivent désormais passer par l'Entreprise pétrolière d'Etat irakienne,et les revenus des exportations kurdes sont supervisés par Bagdad.
L'Irak espère un accord pour la reprise des exportations de pétrole vers la Turquie, interrompues depuis un mois en raison d'un ancien litige juridique. Les ventes de pétrole du Kurdistan doivent désormais passer par l'Entreprise pétrolière d'Etat irakienne,et les revenus des exportations kurdes sont supervisés par Bagdad.

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