GTT confie la direction générale à François Michel à compter du 5 janvier, dissociant ainsi les fonctions de gouvernance après une forte progression de son chiffre d’affaires et de ses résultats en 2024.
Les États-Unis demandent à l’Union européenne une dérogation aux règles méthane, invoquant la sécurité énergétique de l’UE et les limites techniques de leur modèle d’exportation de gaz naturel liquéfié.
Falcon Oil & Gas et son partenaire Tamboran ont achevé la stimulation du puits horizontal SS2-1H dans le sous-bassin de Beetaloo, une étape clé avant les premiers tests de production attendus début 2026.
La Chine réduit ses positions minières au Canada et au Groenland, freinée par des cadres réglementaires hostiles, et consolide ses investissements publics en Russie arctique pour sécuriser ses approvisionnements stratégiques.
Gasunie Netherlands et Gasunie Germany ont sélectionné six industriels dans le cadre d’un appel d’offres européen visant la fourniture de pipelines pour les futurs réseaux de gaz naturel, d’hydrogène et de CO₂.
L’interdiction du gaz naturel liquéfié russe impose une relecture juridique des contrats LNG, où la force majeure, le changement de loi et les restrictions logistiques deviennent des sources majeures de litige et de revalorisation contractuelle.
La Chambre américaine adopte une réforme qui affaiblit le droit de veto des États sur les projets de gazoducs, en renforçant le rôle fédéral de la FERC et en accélérant les autorisations environnementales.
Le président turc a suggéré à Vladimir Poutine un cessez-le-feu limité visant les sites portuaires et énergétiques en Ukraine, afin de réduire les risques pour les installations stratégiques et d’ouvrir la voie à des négociations.
Le Maroc prévoit la mise en service en 2027 de son premier terminal de gaz naturel liquéfié à Nador, structuré autour d’une unité flottante destinée à renforcer les capacités nationales d’importation.
Une explosion survenue le 10 décembre sur le gazoduc Escravos–Lagos a forcé NNPC à suspendre ses opérations, affectant un réseau crucial pour l’alimentation en gaz des centrales électriques du sud-ouest nigérian.
À l’occasion d’un forum international, le Turkménistan a accueilli plusieurs dirigeants régionaux pour discuter de coopérations commerciales, avec un accent marqué sur le gaz et les corridors d’exportation alternatifs.
Le gouvernement australien a lancé l’ouverture de cinq blocs d’exploration dans le bassin d’Otway, illustrant une priorité donnée à la sécurité d’approvisionnement du sud-est face aux risques de pénurie dès 2028, malgré une politique climatique officielle ambitieuse.
BlackRock a vendu 7,1 % du capital de l’espagnol Naturgy pour €1,7bn ($1,99bn) via un placement accéléré orchestré par JPMorgan, réduisant sa part à 11,42 %.
La société britannique entame la phase initiale d’exploitation du champ gazier marocain de Tendrara, amorçant un contrat décennal avec Afriquia Gaz sur fond d’investissements techniques progressifs.
L’Energy Information Administration revoit ses estimations de prix du gaz à la hausse pour fin 2025 et début 2026, en réponse à une forte consommation liée à une vague de froid en décembre.
Venture Global réfute les allégations de Shell sur une fraude présumée dans le cadre d’un arbitrage sur des livraisons de gaz naturel liquéfié, tout en l’accusant d’avoir enfreint la confidentialité de la procédure.
Le méthanier Valera a livré une cargaison de LNG produit à Portovaya, marquant l'ouverture d'une nouvelle route énergétique entre la Russie et la Chine hors influence réglementaire occidentale.
South Stream Transport B.V., opérateur de la section offshore du gazoduc TurkStream, a transféré son siège de Rotterdam à Budapest pour se prémunir contre de nouvelles saisies judiciaires dans le contexte des sanctions et contentieux liés à l’Ukraine.
Les flux de gaz naturel liquéfié américain contournent désormais le canal de Panama, au profit de l’Europe, jugée plus attractive que l’Asie en termes de prix, de liquidité et de fiabilité logistique.
Indian Oil Corporation a lancé un appel d’offres pour un cargo spot de GNL à livrer en janvier 2026 à Dahej, au moment où la demande asiatique fléchit et les restrictions occidentales sur le gaz russe se renforcent.
Le Turkménistan mobilise le Global Gas Centre pour renforcer ses liens commerciaux en Europe et en Asie du Sud, en réponse à la dépendance actuelle vis-à-vis de la Chine et à l’émergence d’un marché post-russe.
Le terminal de gaz naturel liquéfié (GNL) de Marmara Ereğlisi opéré par BOTAŞ augmente sa capacité de regazéification, consolidant la position de la Türkiye comme acteur régional dans la redistribution du gaz vers les Balkans et l’Europe du Sud-Est.
Budapest conteste l’accord européen visant à interdire les importations de gaz naturel russe d’ici 2027, jugeant la mesure incompatible avec ses intérêts économiques et les traités fondateurs de l’Union européenne.
L’Union européenne inscrit dans le droit une interdiction complète du gaz russe à l’horizon 2027, forçant utilities, opérateurs, négociants et États à reconfigurer contrats, flux physiques et stratégies d’approvisionnement sous haute contrainte réglementaire.
L’exploitation partielle du gaz associé du champ de Badila par Perenco permet de fournir de l’électricité à Moundou, illustrant les enjeux logistiques et financiers du développement gazier au Tchad.
Bucarest autorise une prise en main exceptionnelle des actifs locaux de Lukoil, afin d’éviter un choc d’approvisionnement tout en respectant les sanctions internationales visant le groupe russe. Trois repreneurs sont déjà en discussions avancées.
Un nouveau règlement oblige les entreprises gazières à déclarer l’origine, le volume et la durée de leurs contrats, dans un contexte de fin programmée des importations russes.
Saudi Aramco lance la production du champ gazier non conventionnel de Jafurah, amorçant un plan d’investissement dépassant 100 Mds $ pour substituer du brut domestique et accroître les flux exportables sous contrainte OPEP+.
En mobilisant des contrats long terme avec BP et des infrastructures nouvelles, PLN engage l’Indonésie dans un basculement vers un usage domestique prioritaire du GNL, au cœur d’un programme soutenu par les investissements publics et les bailleurs internationaux.
TotalEnergies, TES et trois sociétés japonaises vont développer une installation d’e-gaz industriel aux États-Unis, visant une capacité de 250 MW et une production annuelle de 75 000 tonnes d’ici 2030.
Le consortium argentin Southern Energy fournira jusqu’à deux millions de tonnes de GNL par an à l’allemand Sefe, marquant une première alliance sud-américaine pour l’importateur européen.
Le gouvernement britannique a mis fin à son soutien financier au projet de gaz naturel liquéfié de TotalEnergies au Mozambique, évoquant des risques croissants et des intérêts nationaux non servis par cette participation.
Les gouvernements européens souhaitent intégrer des clauses de sauvegarde et un mécanisme de révision dans l'accord commercial conclu avec Washington afin de limiter les risques d’un afflux de produits américains sur leur marché.
Face à un hiver 2025 sous contrainte climatique et géopolitique, Pékin annonce des records attendus de demande en électricité et en gaz, plaçant charbon, LNG et réseaux UHV au centre d’un stress-test énergétique national.
Le gouvernement irakien et les autorités du Kurdistan ont lancé une enquête sur l’attaque de drone qui a visé le champ gazier de Khor Mor, provoquant l’arrêt de la production et des coupures majeures d’électricité.
PetroChina internalise trois grands sites de stockage de gaz via deux coentreprises avec PipeChina, représentant 11 Gm³ de capacité, pour un montant de CNY40,02bn ($5,43bn), consolidant sa maîtrise du réseau gazier intérieur.
Le champ gazier de Khor Mor, opéré par Pearl Petroleum, a été frappé par un drone armé, interrompant la production et provoquant des coupures d’électricité touchant 80 % de la capacité énergétique du Kurdistan irakien.
L’Union européenne facilite l’usage de la force majeure pour sortir des contrats gaziers russes d’ici 2028, une stratégie risquée pour les entreprises qui restent juridiquement liées à des clauses strictes.
Face à une surabondance anticipée de GNL à partir de 2026, les investisseurs déplacent leurs positions vers le marché européen du carbone, misant sur une offre resserrée et une trajectoire haussière des prix.
Global South Utilities investit 1 milliard $ dans de nouveaux projets solaires, éoliens et de stockage pour renforcer les capacités énergétiques du Yémen et étendre son influence dans la région.