Le groupe énergétique américain prévoit d’allouer $1,3bn à la croissance et $1,1bn à la maintenance de ses actifs, avec un accent particulier sur les projets dans le gaz naturel liquéfié et le raffinage.
Le groupe pétrolier public vénézuélien PDVSA affirme avoir été la cible d'une cyberattaque attribuée à des intérêts étrangers, sans impact sur ses opérations principales, dans un contexte de tensions accrues avec les États-Unis.
Le groupe BUTEC a finalisé le financement d’un projet d’urgence énergétique de 50 MW au Burkina Faso, structuré autour d’un contrat BOOT et soutenu par le Groupe Banque Centrale Populaire.
BW Energy a signé un contrat de crédit-bail à long terme avec Minsheng Financial Leasing pour sa plateforme Maromba B, couvrant 274 M$ du CAPEX du projet, sans paiement avant la première production de pétrole.
Shell relancera en avril 2026 une nouvelle phase d’exploration offshore sur le bloc PEL 39 en Namibie, avec un programme de cinq puits ciblant des zones déjà découvertes, malgré une dépréciation récente de $400mn.
La Chine réduit ses positions minières au Canada et au Groenland, freinée par des cadres réglementaires hostiles, et consolide ses investissements publics en Russie arctique pour sécuriser ses approvisionnements stratégiques.
Le président turc a suggéré à Vladimir Poutine un cessez-le-feu limité visant les sites portuaires et énergétiques en Ukraine, afin de réduire les risques pour les installations stratégiques et d’ouvrir la voie à des négociations.
Les autorités iraniennes ont intercepté un navire suspecté de contrebande de carburant au large de la mer d’Oman, avec 18 marins originaires d’Asie du Sud à son bord, selon des sources officielles.
Harbour Energy rachètera les actifs en mer du Nord de Waldorf Energy Partners pour $170mn, renforçant ses parts dans les champs Catcher et Kraken, tandis que Capricorn Energy solde une partie de ses créances.
La vente Big Beautiful Gulf 1 a attiré plus de $300mn d'investissements, avec une stratégie concentrée sur des blocs à haut rendement menée par BP, Chevron et Woodside.
Les États-Unis ont intercepté un pétrolier chargé de brut vénézuélien et imposé de nouvelles sanctions à des entités maritimes, accentuant la pression sur le régime de Nicolas Maduro et ses réseaux commerciaux dans les Caraïbes.
L’OPEP prévoit que la demande en brut de ses membres atteindra 43 millions de barils par jour en 2026, un niveau très proche de la production actuelle du groupe OPEP+, contrastant avec les estimations d’excédent massif avancées par d’autres institutions.
Les États-Unis ont arraisonné un navire soupçonné de transporter du pétrole sanctionné en provenance d’Iran et du Venezuela, provoquant une vive réaction du gouvernement de Nicolás Maduro.
L’Agence internationale de l’énergie révise à la baisse ses prévisions d’offre pétrolière mondiale pour 2026, tout en rehaussant légèrement la croissance de la demande grâce à un climat macroéconomique plus favorable.
Les autorités du Soudan du Sud ont obtenu la responsabilité de la sécurité du champ pétrolier de Heglig, un site stratégique frontalier, à la suite d’un accord conclu avec les deux forces belligérantes du conflit au Soudan.
TotalEnergies acquiert une participation opérée de 40 % dans le permis offshore PEL83, marquant une avancée stratégique en Namibie avec le champ pétrolier Mopane, tandis que Galp obtient des parts dans deux autres blocs prometteurs.
BOURBON va fournir des services maritimes à ExxonMobil Guyana pendant cinq ans à partir de 2026, marquant une étape clé dans le développement logistique du bassin offshore guyanais.
Viridien a lancé un programme de retraitement sismique de 4 300 km² sur le bloc offshore 22 en Angola pour soutenir le prochain cycle de licences dans le bassin du Kwanza.
Shell restructure sa participation dans le pipeline Caspian en sortant du joint-venture avec Rosneft, avec l’aval du Kremlin, afin de rester conforme aux sanctions tout en sécurisant son accès au brut kazakh.
Shell obtient 60 % du bloc 2C dans le bassin d’Orange, s’engage à forer trois puits et à verser une prime de $25mn à PetroSA, en attendant l’approbation du régulateur sud-africain.
Trois navires russes visés au large de la Turquie ravivent les inquiétudes d’Ankara quant à la sécurité de l’approvisionnement gazier et pétrolier en mer Noire, ainsi que la vulnérabilité de ses infrastructures sous-marines.
ExxonMobil arrête son plus ancien vapocraqueur à éthylène à Singapour, réduisant sa capacité locale pour investir dans son complexe intégré de Huizhou, en Chine, sur fond de surcapacité régionale et de coûts opérationnels en hausse.
Le Brésil, la Guyane, le Suriname et l’Argentine devraient alimenter une part croissante de l’offre pétrolière non-OPEP+, soutenus par des investissements offshore massifs et une dynamique d’exploration continue.
La révocation des licences américaines limite les activités des compagnies européennes au Venezuela, entraînant un effondrement des importations de pétrole brut et une reconfiguration des flux énergétiques bilatéraux.
Bourbon a signé un accord avec ExxonMobil pour l’affrètement de navires Crewboats de nouvelle génération sur le bloc 15 en Angola, renforçant une coopération stratégique engagée depuis plus de 15 ans.
Face à un encadrement juridique plus strict et à des sanctions renforcées, les opérateurs de la flotte grise misent sur des VLCC de 15 ans et sur la démolition de navires anciens pour maintenir leurs routes pétrolières vers l’Asie.
Reconnaissance Energy Africa a terminé le forage du puits Kavango West 1X sur son permis terrestre en Namibie, où des indices nets d'hydrocarbures ont été détectés sur une épaisseur de 64 mètres dans les carbonates d’Otavi.
CNOOC Limited a mis en production le projet d’ajustement du champ pétrolier Weizhou 11-4 et ses champs satellites, visant une capacité de 16 900 barils par jour dès 2026.
La coentreprise Adura regroupe les actifs offshore britanniques de Shell et Equinor, devenant le principal producteur indépendant de pétrole et de gaz dans le bassin mature de la mer du Nord.
Un tribunal du Delaware a validé la cession des actions de PDV Holding à Amber Energy, filiale d’Elliott, pour 5,9 Mds $, une opération encore suspendue à l’approbation du Trésor américain via l’OFAC.
Un nouveau fonds de $100mn a été lancé pour appuyer les entreprises nigérianes de services pétrogaziers, dans le cadre d’un objectif national visant à atteindre 70 % de contenu local d’ici 2027.
Les mesures occidentales visant Rosneft et Lukoil réorganisent profondément le commerce pétrolier, provoquant un basculement discret mais massif des routes d’exportation russes vers l’Asie, sans déclencher de déséquilibre global de l’offre.
La Nigerian Upstream Petroleum Regulatory Commission ouvre la compétition pour 50 blocs d’exploration, répartis sur plusieurs zones stratégiques, afin de relancer les investissements dans l’amont pétrolier.
Bucarest autorise une prise en main exceptionnelle des actifs locaux de Lukoil, afin d’éviter un choc d’approvisionnement tout en respectant les sanctions internationales visant le groupe russe. Trois repreneurs sont déjà en discussions avancées.
L’unique raffinerie serbe, exploitée par NIS, a suspendu sa production à cause d’un manque d’approvisionnement en brut, conséquence directe des sanctions imposées par les États-Unis à son actionnaire majoritaire russe.
Les cours du brut ont enregistré une hausse portée par les tensions croissantes entre les États-Unis et le Venezuela, et des attaques ayant visé une infrastructure pétrolière russe en mer Noire.
Face à des pertes financières persistantes, Tullow Oil restructure sa gouvernance et accélère ses démarches pour alléger une dette de plus de 1,8 milliard USD, tout en recentrant ses activités sur le Ghana.
Le gouvernement irakien invite des compagnies pétrolières américaines à soumissionner pour prendre le contrôle du champ géant de West Qurna 2, précédemment exploité par le groupe russe Lukoil, désormais visé par des sanctions américaines.
Deux pétroliers sous pavillon gambien ont été attaqués en mer Noire près des côtes turques, provoquant une réaction ferme du président Recep Tayyip Erdogan sur les risques croissants pour le transport énergétique régional.
Le producteur britannique poursuit sa réduction d’effectifs en mer du Nord, invoquant un régime fiscal jugé dissuasif et une réorientation stratégique vers des pays offrant une stabilité réglementaire jugée plus favorable.