La Russie prévoit d'expédier 2,1 millions de barils par jour depuis ses ports occidentaux en septembre, révisant à la hausse ses exportations face à la baisse de la demande intérieure provoquée par les attaques de drones contre ses raffineries.
QatarEnergy a obtenu une participation de 35 % dans le bloc Nzombo, situé en eaux profondes au large du Congo, dans le cadre d’un contrat de partage de production signé avec le gouvernement congolais.
Phillips 66 rachète à Cenovus Energy les 50 % restants de WRB Refining, consolidant ainsi sa présence sur le marché américain avec deux sites majeurs totalisant 495 000 barils par jour.
Les deux principaux syndicats pétroliers du Nigeria ont interrompu les chargements de la raffinerie Dangote, contestant le déploiement d’une flotte logistique privée qui pourrait bouleverser l’équilibre du secteur.
Reconnaissance Energy Africa Ltd. s’implante dans l’offshore gabonais via un contrat stratégique sur le bloc Ngulu, élargissant son portefeuille avec un potentiel de production immédiate et de développement à long terme.
BW Energy a finalisé un financement de $365mn pour la conversion du FPSO Maromba au large du Brésil et signé un contrat de location à court terme pour une plateforme de forage avec Minsheng Financial Leasing.
Vantage Drilling a finalisé un accord commercial majeur pour le déploiement du Platinum Explorer, avec une mission offshore de 260 jours à compter du premier trimestre 2026.
Permex Petroleum a signé un protocole d'accord non contraignant avec Chisos Ltd. pour un financement possible allant jusqu'à $25mn afin de développer ses actifs pétroliers dans le bassin permien.
L’OPEP+ entame une nouvelle phase de relèvement progressif de sa production, amorçant le dégel de 1,65 million de barils/jour de coupes volontaires, après la fin anticipée d’un cycle de 2,2 millions de barils/jour.
Imperial Petroleum a élargi sa flotte à 19 navires au deuxième trimestre 2025, tout en enregistrant une baisse de son chiffre d’affaires sous l’effet du repli des taux du marché maritime pétrolier.
Huit membres de l’OPEP+ se réunissent pour ajuster leurs quotas, alors que les prévisions annoncent un excédent mondial de 3 millions de barils par jour d’ici la fin de l’année.
Les compagnies maritimes grecques se retirent progressivement du transport de brut russe alors que l’Union européenne resserre les conditions de conformité sur le plafonnement des prix.
Une station du pipeline Stalnoy Kon, essentielle au transport de produits pétroliers entre la Biélorussie et la Russie, a été la cible d’une attaque de drones menée par les forces ukrainiennes dans l’oblast de Briansk.
SOMO discute avec ExxonMobil pour accéder à des capacités de stockage et de raffinage à Singapour, visant à renforcer la présence de l’Irak sur les marchés asiatiques en croissance.
Le nouveau standard d’importation de l’Union européenne impose au Royaume-Uni des ajustements majeurs sur ses exportations pétrolières et gazières, affectant la compétitivité et les flux commerciaux entre les deux marchés.
Le Royaume-Uni s’apprête à remplacer l’Energy Profits Levy par un nouveau mécanisme fiscal, confronté à un dilemme entre équité et simplicité, sur fond de déclin du plateau continental britannique.
Le gouvernement italien exige des engagements sur la sécurité d’approvisionnement avant d’approuver la cession d’Italiana Petroli au groupe étatique azéri SOCAR, alors que les négociations se poursuivent.
Le complexe de Dangote a arrêté sa principale unité d’essence pour une durée estimée de deux à trois mois, perturbant ses premières exportations vers les États-Unis.
Rosneft Germany annonce la reprise des livraisons de pétrole vers la raffinerie PCK, après la réparation de l’oléoduc Druzhba touché par une attaque de drone en Russie ayant perturbé l’approvisionnement kazakh.
CNOOC a lancé la production du champ Wenchang 16-2 en mer de Chine, un projet soutenu par 15 puits de développement et visant un plateau de 11 200 barils équivalent pétrole par jour d’ici 2027.
La production de pétrole et de gaz du champ Baleine, en Côte d’Ivoire, dépasse les attentes, atteignant 85.000 barils par jour grâce aux progrès de ses deux premières phases, annonce le gouvernement.
La demande mondiale de pétrole atteint 102,9 millions de barils par jour en 2024, stimulée par un hiver froid. Les sanctions américaines contre la Russie et l’Iran pèsent sur les perspectives d’approvisionnement pour 2025.
PetroNor a vendu 881 192 barils de brut au prix de 72,8 dollars l’unité sur le bloc PNGF Sud. Cette transaction majeure génère 64 millions de dollars, illustrant l’importance des investissements dans le secteur pétrolier congolais.
Africa Oil augmente sa participation à 18 % dans le bloc 3B/4B au large de l’Afrique du Sud. Ce partenariat avec TotalEnergies et QatarEnergy marque une étape clé pour l’exploration pétrolière dans le bassin d’Orange.
L’Irak et le géant pétrolier BP finalisent un accord ambitieux pour réhabiliter quatre champs pétroliers de Kirkouk et exploiter le gaz brûlé, visant à booster la production énergétique et réduire la dépendance au gaz iranien.
Le rachat de Hess Corporation par Chevron, annoncé pour 53 milliards de dollars, reste bloqué par des litiges contractuels et une opposition d’ExxonMobil. Une décision arbitrale en septembre déterminera l'avenir de cette transaction stratégique.
Après des tensions diplomatiques, l'Algérie et le Niger renforcent leur coopération énergétique. La société algérienne Sonatrach prévoit de construire une raffinerie et un complexe pétrochimique dans la ville de Dosso, au Niger.
Selon le rapport KOMO Q1 2025 du KAPSARC, l'Inde dominera la croissance pétrolière mondiale avec une demande supplémentaire de 220 Kb/j, dépassant la Chine et confirmant le rôle central de l'Asie dans le marché énergétique.
Le Cameroun accueille un nouvel accord stratégique entre Tower Resources et Prime Global Energies, mobilisant 15 millions de dollars pour développer le puits NJOM-3, un projet clé de l’offshore pétrolier prévu en 2025.
La plateforme Whale, située dans le Golfe du Mexique, débute sa production sous l’égide de Shell et Chevron, avec une capacité de 100 000 barils par jour et des technologies visant à réduire l’impact environnemental.
Le champ pétrolier offshore Sangomar, en exploitation depuis juin 2024, a surpassé ses prévisions annuelles avec 16,9 millions de barils produits, renforçant la position énergétique stratégique du Sénégal.
Le Nigeria mise sur Seplat Energy pour tripler sa production de pétrole brut à 120 000 barils par jour d’ici juin 2025, grâce à l’optimisation de ses actifs stratégiques et des puits inexploités.
Les stocks de pétrole brut aux États-Unis ont diminué d’un million de barils la semaine dernière, un chiffre inférieur aux prévisions, en raison de la baisse des exportations malgré une intensification des activités de raffinage.
Après huit années d'inactivité, la raffinerie de Warri au Nigeria reprend ses opérations. Elle marque une étape importante dans les efforts de réhabilitation des infrastructures énergétiques du pays, visant à renforcer l’approvisionnement national en produits pétroliers.
Kimbell Royalty Partners conclut une transaction majeure à 231 millions de dollars, renforçant sa présence stratégique dans le bassin Midland avec des actifs situés sous le ranch historique Mabee.
Laredo Oil démarre les forages exploratoires dans le champ West Fork, Montana, avec un financement de 7,5 millions de dollars pour évaluer un potentiel de production équivalent à 7,5 millions de barils.
LLOG Exploration finalise la rénovation d'une unité pétrolière flottante au Texas, visant une production de 60 000 barils par jour et 40 millions de pieds cubes de gaz naturel d'ici mi-2025.
Petro-Victory et Blue Oak forment une alliance stratégique pour exploiter des opportunités dans le secteur pétrolier et gazier, avec un véhicule d'investissement prévu pour transformer le marché énergétique brésilien.
Le Soudan du Sud annonce la reprise de la production pétrolière dans les blocs 3 et 7, opérés par Dar Petroleum, visant 90 000 barils par jour après un an d’interruption liée au conflit armé.
L'Inde, soutenue par Hindustan Petroleum et d'autres acteurs majeurs, vise une capacité de raffinage de 309 millions de tonnes par an d'ici 2028, répondant à une demande croissante en produits pétroliers et stimulant les exportations.