BP a réactivé l’oléoduc Olympic, clé pour l’approvisionnement en carburants du Nord-Ouest des États-Unis, après une fuite ayant conduit à l’arrêt complet du système et à la déclaration d’états d’urgence en Oregon et dans l’État de Washington.
Le président Donald Trump a confirmé un contact direct avec Nicolas Maduro alors que les tensions s'aggravent, Caracas dénonçant une opération américaine en préparation visant ses ressources pétrolières.
Zenith Energy affirme que les autorités tunisiennes ont procédé à la vente non autorisée de pétrole brut stocké, aggravant un différend commercial de longue date sur ses concessions Robbana et El Bibane.
TotalEnergies réorganise sa participation dans les permis offshore PPL 2000 et PPL 2001 en intégrant Chevron à 40 %, tout en conservant son rôle d’opérateur, dans le cadre d’un recentrage de son portefeuille deepwater au Nigeria.
Aker Solutions a signé un contrat-cadre de six ans avec ConocoPhillips pour des services de maintenance et modification sur les champs offshore Eldfisk et Ekofisk, avec une option de prolongation de six ans.
Les autorités iraniennes ont intercepté un navire transportant 350 000 litres de carburant dans le golfe Persique, renforçant leur contrôle sur les routes maritimes stratégiques dans la région du détroit d'Ormuz.
North Atlantic France finalise l’acquisition d’Esso S.A.F. pour un montant fixé par action et officialise le changement de nom en North Atlantic Energies, marquant une étape clé dans la réorganisation de ses activités en France.
L’armateur grec Imperial Petroleum a sécurisé $60mn dans le cadre d’un placement privé auprès d’investisseurs institutionnels, afin de renforcer sa trésorerie pour ses besoins opérationnels généraux.
Ecopetrol projette entre $5.57bn et $6.84bn d’investissements pour 2026, visant à maintenir sa production, optimiser ses infrastructures et garantir sa rentabilité malgré un marché du brut modéré.
Face au risque de sur-offre et aux sanctions russes, l’OPEP+ stabilise ses volumes tout en préparant une redistribution structurelle des quotas à l’horizon 2027, renforçant les tensions entre producteurs à capacités inégales.
Le Royaume-Uni transforme sa taxe exceptionnelle en un mécanisme prix permanent, maintenant une pression fiscale parmi les plus élevées au monde, et redessine en profondeur l’attractivité du plateau continental britannique pour les acteurs pétroliers.
Le Pakistan confirme sa sortie du fuel oil domestique avec plus de 1,4 Mt exportées en 2025, transformant ses raffineries en plateformes d’export, au moment où l’Asie fait face à un excédent structurel de fuel lourd et faiblement soufré.
Le turc Aksa Enerji a signé un contrat de 20 ans avec Sonabel pour la mise en service d’une centrale thermique à Ouagadougou, visant à renforcer l’approvisionnement énergétique du Burkina Faso d’ici fin 2026.
Le Caspian Pipeline Consortium a repris les chargements à Novorossiisk après une attaque ukrainienne, mais les tensions géopolitiques sur les flux pétroliers kazakhs persistent autour de ce corridor stratégique de la mer Noire.
La Hongrie augmente ses exportations de produits pétroliers vers la Serbie pour compenser l’arrêt imminent de la raffinerie NIS, menacée par les sanctions américaines visant sa majorité russe.
Face à une production pétrolière en baisse, Pemex augmente le raffinage local grâce à Olmeca, en visant une réduction des importations de carburants et une meilleure utilisation de ses capacités industrielles sous contrainte budgétaire.
La société pétrolière publique brésilienne abaissera ses dépenses d’investissement de 2 %, impactée par le recul des cours du brut, marquant ainsi un tournant stratégique sous le mandat de Lula.
TotalEnergies a finalisé la vente de sa participation de 12,5 % dans le champ pétrolier offshore Bonga au Nigeria, pour un montant de $510mn, renforçant la présence de Shell et Eni dans ce site stratégique de production en eaux profondes.
La Serbie prépare une modification de loi budgétaire visant à permettre la prise de contrôle de NIS, raffinerie sous sanctions américaines et détenue par des groupes russes, afin d'éviter une paralysie énergétique imminente.
La raffinerie nigériane de Dangote sélectionne l’américain Honeywell pour fournir les technologies permettant de doubler sa capacité de traitement de brut et d’étendre sa production pétrochimique.
Sofia limite temporairement les exportations de diesel et de kérosène pour préserver son approvisionnement intérieur, après les sanctions américaines visant Lukoil, principal opérateur pétrolier du pays.
Le négociant suisse Gunvor rachètera les participations africaines de Lukoil, dans un contexte de retrait stratégique lié aux nouvelles sanctions imposées par les États-Unis au secteur pétrolier russe.
Un accord entre Transpetro, Petrobras et le gouvernement de l’Amapá prévoit la construction d’un complexe industriel dédié au pétrole et au gaz, consolidant la position stratégique de l’État sur la marge équatoriale.
La société américaine a enregistré un bénéfice ajusté de $1,02 milliard entre juillet et septembre, soutenue par les segments raffinage et chimie, malgré une baisse du résultat net liée à des charges exceptionnelles.
Le groupe pétrolier espagnol a enregistré un bénéfice net de 1,18 milliard d’euros sur les neuf premiers mois de 2025, pénalisé par des marchés instables, la baisse des cours du pétrole et une fusion ayant alourdi sa dette.
Le bénéfice net du groupe britannique a progressé de 24% au troisième trimestre pour atteindre $5,32bn, soutenant une nouvelle opération de rachat d’actions malgré la pression sur les prix du brut.
Les résultats du troisième trimestre révèlent une forte résilience des majors européennes, soutenues par une amélioration des marges, une hausse de la production et des programmes de rachats d’actions étendus.
Porté par la demande industrielle et les innovations de production, le marché mondial des produits pétrochimiques devrait croître de 5,5 % par an jusqu’en 2034, atteignant une valorisation de $794 milliards.
CNOOC Limited a annoncé une croissance continue de sa production pétrolière et gazière, atteignant 578,3 millions de barils équivalent pétrole, tout en maîtrisant ses coûts malgré un recul de 14,6% des prix du Brent.
La croissance de la production de sables bitumineux au Canada s’est poursuivie en 2024, mais les émissions absolues de gaz à effet de serre n’ont augmenté que de moins de 1%, selon de nouvelles données industrielles.
L'Argentine tente d'annuler une décision judiciaire américaine lui imposant de verser 16,1 milliards USD à deux actionnaires de YPF après l'expropriation partielle du groupe pétrolier en 2012.
Les États-Unis ont délivré une licence générale permettant des transactions avec deux filiales allemandes de Rosneft, laissant à Berlin jusqu'en avril 2026 pour résoudre la question de leur contrôle.
Un rapport indépendant évalue à 13,03 milliards de barils les ressources pétrolières potentielles du bassin de Jameson Land, positionnant ce site du Groenland parmi les plus grands gisements inexploités au monde.
Affecté par la chute des cours pétroliers et la faiblesse des ventes de carburant, Sinopec affiche un recul marqué de sa rentabilité sur les trois premiers trimestres, avec un recentrage stratégique sur les produits à plus forte marge.
Citizen Energy Ventures entre sur le marché des placements privés en lançant un fonds de $20mn pour exploiter huit puits dans la formation Cherokee du bassin d’Anadarko, une zone pétrolière historique de l’Oklahoma.
Les stocks américains de brut ont reculé de 6,9 millions de barils, contredisant les prévisions, sur fond de chute des importations et de correction statistique hebdomadaire de l’Agence américaine d’information sur l’énergie.
Lukoil a entamé la cession de ses actifs internationaux à la suite de nouvelles sanctions pétrolières imposées par les États-Unis, une décision qui pourrait redéfinir sa présence à l’étranger et peser sur l'approvisionnement de certains marchés européens.
Le Kazakhstan examine les parts détenues par Lukoil dans ses projets pétroliers locaux après l’annonce de la cession d’actifs internationaux du groupe russe, sous la pression de nouvelles sanctions américaines.
La société publique mexicaine a réduit son extraction de brut de 6,7 % tout en augmentant son activité de raffinage de 4,8 %, et a limité ses pertes financières par rapport à l’année précédente.
La nouvelle licence américaine accordée à Chevron modifie profondément les flux financiers entre le Venezuela et les États-Unis, affectant la monnaie locale, les revenus pétroliers et les équilibres économiques du pays.