Le nouveau ministre tchèque de l’Industrie veut bloquer le futur système européen d’échange de quotas d’émissions, estimant qu’il nuit à la compétitivité et menace l’industrie nationale face aux puissances mondiales.
Plusieurs scénarios sont à l’étude pour reprendre le contrôle de CEZ, acteur clé de l’électricité en Tchéquie, avec une opération estimée à plus de CZK200bn ($9.6bn), selon le ministre de l’Industrie.
Le gouvernement reporte à début 2026 la publication de la nouvelle Programmation pluriannuelle de l'énergie, freinée par des tensions politiques autour du partage entre nucléaire et renouvelables.
L’Indonésie prévoit $31bn d’investissements d’ici 2030 pour décarboner son électricité captive, mais reste entravée par sa dépendance au charbon et des incertitudes sur les financements internationaux.
Une attaque contre la station d’Al-Muqrin a paralysé une partie du réseau électrique soudanais, affectant plusieurs États et tuant deux secouristes lors d’une seconde frappe sur le site en feu.
Le gouvernement bolivien supprime les subventions sur l’essence et le gazole, mettant un terme à un système en vigueur depuis vingt ans dans un contexte de tensions budgétaires et de raréfaction des devises.
Le gendarme financier polonais a lancé une procédure judiciaire sur des transactions douteuses liées à Energa, survenues juste avant l’annonce du projet de rachat total par Orlen.
Le Conseil de Paris confie à Dalkia, filiale d’EDF, un contrat de €15bn sur 25 ans pour opérer le réseau de chaleur de la capitale, retiré à Engie, délégataire historique, dans un contexte politique tendu à l’approche des élections municipales.
Le régulateur norvégien de l’énergie propose une réforme imposant aux opérateurs de réseau électrique une capacité de réparation multi-sites face à des actes de sabotage simultanés, avec un surcoût annuel estimé de 100 à 300 NOK par foyer.
L’État de São Paulo a demandé la déchéance de la concession d’Enel Distribuição São Paulo, relançant les tensions entre pouvoirs locaux et régulateur fédéral sur fond d’enjeux politiques et énergétiques majeurs à trois ans de l’échéance contractuelle.
La Mauritanie obtient un financement saoudien pour construire un tronçon clé de la « ligne de l’Espoir », dans le cadre de son programme d’extension du réseau de transport d’électricité vers l’intérieur du pays.
RESourceEU organise une intervention directe de l’Union européenne sur les matières critiques via stockpiling, achats groupés et restrictions d’export, afin de réduire la dépendance extérieure et de sécuriser les chaînes industrielles stratégiques.
La troisième Stratégie nationale bas-carbone entre en phase finale de consultation avant son adoption en 2026, définissant la trajectoire française de réduction des émissions jusqu’en 2050 avec des objectifs sectoriels et industriels chiffrés.
L’Allemagne autorisera une hausse d’au moins 1,4 % des revenus de ses opérateurs de réseaux à partir de 2029, tout en renforçant les exigences d’efficacité dans un compromis destiné à débloquer les investissements sans alourdir excessivement les tarifs.
Face à un excédent structurel d’électricité, le gouvernement s’engage à publier une nouvelle Programmation pluriannuelle de l’énergie d’ici Noël, alors que l’alignement entre offre, demande et investissements devient un enjeu industriel et budgétaire majeur.
Un rapport scientifique majeur du Programme des Nations unies pour l’environnement n’a pas été validé par les États membres, en raison de désaccords profonds sur les énergies fossiles et d’autres sujets sensibles.
RTE alerte sur le retard de la France dans l’électrification des usages, pourtant essentielle pour limiter les importations d’hydrocarbures et soutenir sa stratégie de réindustrialisation.
L’autorité centrale indienne a annulé 6,3 GW de connexions réseau pour projets renouvelables depuis 2022, une décision qui reflète un durcissement réglementaire et une volonté de recentrer la responsabilité sur les développeurs.
Le gouvernement brésilien a reçu l'ordre de définir sous deux mois un plan de réduction progressive des combustibles fossiles, appuyé par un fonds national de transition énergétique alimenté par les recettes pétrolières.
Le gouvernement allemand pourrait manquer l’échéance de janvier 2026 pour transposer la directive RED III, provoquant des incertitudes sur les obligations de biocarburants et perturbant les marchés.
Deux jours après une coupure ayant affecté 60% de la consommation, le poids croissant des renouvelables dans le réseau espagnol suscite de vives critiques politiques et industrielles.
L'ONG Reclaim Finance classe BPCE dernière parmi vingt grandes banques européennes pour son manque d'engagement dans la transition vers la neutralité carbone, selon une étude publiée mardi.
François Bayrou souhaite repousser la publication du décret énergétique français à la fin de l'été après l'examen parlementaire, sous la pression du Rassemblement national et d'une partie de la droite.
La Banque européenne d’investissement signe un prêt de plus de 525 millions € avec PGE pour développer des projets solaires et moderniser une centrale en Pologne.
L’Argentine lance la privatisation d’Enarsa afin de redéfinir le rôle de l’État vers une régulation renforcée, ouvrant la voie à davantage d’investissements privés dans le secteur énergétique national, en pleine mutation industrielle et commerciale.
Le mouvement écologiste britannique Just Stop Oil a organisé samedi sa dernière marche à Londres, annonçant l'arrêt de ses actions spectaculaires contre les nouveaux projets pétroliers et gaziers au Royaume-Uni.
Le gouvernement néerlandais débloque 11,4 milliards d’euros destinés à sécuriser l’approvisionnement énergétique industriel, renforcer les infrastructures électriques et accélérer le développement d’une filière nucléaire civile, en réponse aux contraintes économiques et énergétiques actuelles.
La France propose une alliance renforcée entre l'Union européenne et la Chine pour contrer l'absence des États-Unis dans la lutte contre le changement climatique, avec un sommet prévu pour juillet 2025.
Hydro-Québec annonce un investissement de 10 G$ pour améliorer l'efficacité énergétique à travers diverses initiatives d'ici 2035, créant ainsi plus de 5 000 emplois et réduisant les coûts d'exploitation pour les clients québécois.
Le gouvernement britannique et l'énergéticien italien Eni ont annoncé le bouclage financier d'un projet visant à enfouir des millions de tonnes de CO2 en mer d'Irlande, une initiative ambitieuse pour réduire les émissions industrielles.
Les États-Unis ont vivement critiqué les politiques hostiles aux énergies fossiles au sommet de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), soulignant leurs dangers pour la sécurité énergétique mondiale.
Des pays comme le Brésil et l'Australie sont critiqués pour avoir surestimé la capacité d'absorption de CO2 de leurs forêts, une pratique qui affecte leur engagement en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre, selon un rapport de Climate Analytics.
À Londres, les responsables mondiaux se réunissent pour discuter de la sécurité énergétique dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes. Les divergences persistent sur la place des énergies renouvelables face à la demande mondiale.
À l’approche d’un débat parlementaire, une vingtaine d’organisations de l’énergie demandent aux parlementaires d’agir pour réduire la dépendance de la France aux énergies fossiles en accélérant l’électrification des usages.
Le Nigeria entend augmenter sa capacité de production d'électricité de 4 000 MW d'ici 2026 pour répondre à la demande croissante du secteur industriel, dans un contexte de réformes et de partenariats avec des acteurs internationaux.
Le PDG sortant d’EDF, Luc Rémont, affirme que l’électricité française sera plus compétitive que celle des États-Unis, malgré les critiques récurrentes des industriels sur les tarifs.
La politique commerciale agressive de Donald Trump et l'incertitude réglementaire aux États-Unis freinent l’investissement dans l’éolien, le solaire et le stockage énergétique, plongeant le secteur dans une période d’attentisme et de volatilité sur les marchés financiers.
Le gouvernement français active cinq dispositifs de financement pour soutenir des projets industriels de décarbonation à travers le plan France 2030, ciblant sites majeurs, PME et zones industrielles à forte émission.
Paris débloque un nouveau financement de 400 millions d’euros pour soutenir des projets industriels visant la réduction des émissions, dans le cadre du programme France 2030.
Le retrait massif du soutien financier américain et la réduction des aides européennes pourraient compromettre la réalisation des projets énergétiques en Afrique, modifiant profondément leur structure de financement et les engagements du continent.