Le département du Trésor américain a imposé des sanctions à plus de 50 entités liées à l’exportation de pétrole iranien, visant notamment des raffineries chinoises et des navires enregistrés en Asie et en Afrique.
Khartoum et Juba mettent en place un mécanisme conjoint pour protéger les oléoducs vitaux au commerce de brut, malgré l'absence de garanties sur le rôle des forces paramilitaires.
Le gouvernement namibien a signé un accord avec McDermott pour renforcer les compétences locales dans l’ingénierie et les opérations offshore, dans le cadre de son ambition d’accroître le contenu local du secteur pétrolier à 15% d’ici 2030.
Le Nigeria déploie une unité de stockage flottante de 2,2 millions de barils financée publiquement, renforçant sa souveraineté sur les exportations pétrolières et réduisant les pertes liées au vol et aux défaillances des infrastructures.
Malgré des déclarations ouvertes au dialogue, le gouvernement fédéral maintient une structure réglementaire ambiguë qui freine les projets pétroliers interprovinciaux, laissant l’industrie dans le doute.
La canadienne Sintana Energy acquiert Challenger Energy pour $61mn dans un accord entièrement en actions, ciblant l’exploration offshore en Namibie et en Uruguay. Cette opération reflète une tendance croissante de consolidation parmi les indépendants pétroliers.
L’unité de craquage catalytique de 120 000 barils par jour du site de Beaumont a repris ses opérations après un arrêt imprévu causé par un incident technique survenu en début de semaine.
Un accord a été conclu entre Khartoum et Juba pour protéger les installations pétrolières clés, alors que les violences armées continuent de menacer les flux de brut indispensables à leurs économies.
Alnaft a conclu deux conventions d’étude avec l’omanais Petrogas E&P sur les bassins de Touggourt et Berkine, visant à actualiser le potentiel d’hydrocarbures dans ces zones clés de la production pétrolière algérienne.
Les quotas d’importation épuisés et la demande en recul poussent les raffineries indépendantes chinoises à réduire drastiquement leurs importations de pétrole iranien, affectant les volumes et exerçant une pression sur les prix.
La compagnie pétrolière serbe NIS, détenue en partie par Gazprom, fait face aux sanctions américaines entrées en vigueur après neuf mois de sursis, mettant à l’épreuve l’approvisionnement énergétique de la Serbie.
Le groupe américain Chevron confie sa direction mondiale de l’exploration à Kevin McLachlan, vétéran de TotalEnergies, dans un contexte d’expansion stratégique au Nigeria, en Angola et en Namibie.
Lycos Energy finalise la cession de ses actifs en Alberta pour $60mn, prévoyant une distribution immédiate de $47.9mn à ses actionnaires et le lancement d’un programme de rachat d’actions.
La production pétrolière russe s’est rapprochée de son plafond alloué par l’OPEP+ en septembre, avec une hausse progressive confirmée par le vice-Premier ministre Alexandre Novak.
La pénurie de carburant affecte désormais Bamako, touchée à son tour par un blocus djihadiste visant les flux pétroliers en provenance des ports ivoiriens et sénégalais, perturbant gravement la logistique nationale.
McDermott a signé un protocole d’accord avec PETROFUND pour lancer des programmes de formation technique visant à renforcer les compétences locales dans le secteur pétrolier et gazier en Namibie.
L’exemple du bloc OML 17 illustre la réussite d’un modèle africain d’exploitation pétrolière basé sur la responsabilité locale, renforçant la crédibilité du Nigeria dans l’investissement public énergétique.
ExxonMobil a signé un protocole d'accord avec le gouvernement irakien pour développer le champ pétrolier de Majnoon, marquant son retour dans le pays après deux ans d'absence.
Les cours du brut ont progressé après la décision de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et de ses alliés de n’augmenter leur production qu’à la marge en novembre, malgré des signes persistants de surabondance de l’offre.
Cenovus Energy modifie les termes de son acquisition de MEG Energy en augmentant la valeur de l’offre et en ajustant la répartition entre liquidités et actions, tout en enregistrant des résultats record au troisième trimestre.
L’OPEP a formellement rejeté les rumeurs relayées par certains médias faisant état d’une augmentation coordonnée de la production pétrolière par huit pays de l’OPEP+ avant leur réunion prévue le 5 octobre.
International Petroleum Corporation a complété son programme annuel de rachat d’actions ordinaires, réduisant son capital de 6,2 % et envisage une reconduction dès décembre, sous réserve de validation réglementaire.
Kansai Electric Power prévoit l’arrêt définitif de deux unités au fioul lourd à la centrale de Gobo, représentant 1,2GW de capacité, dans le cadre de la réorganisation de son portefeuille de production.
La canadienne Questerre s’associe à Nimofast pour développer PX Energy au Brésil, avec un engagement financier initial pouvant atteindre $50mn et une gouvernance partagée à parts égales.
BP engage cinq milliards $ dans Tiber-Guadalupe, avec une plateforme flottante visant 80 000 barils/jour et une mise en production en 2030, afin d’accroître ses volumes offshore dans le golfe du Mexique.
La Russie prévoit une contraction de 12.5 % de ses revenus issus du pétrole et du gaz en 2025, avant une reprise progressive jusqu’en 2028, selon les projections économiques officielles du gouvernement.
Baker Hughes fournira jusqu’à 50 arbres sous-marins et équipements associés à Petrobras pour soutenir la production offshore au Brésil, renforçant sa présence dans l’exploitation des champs pré-salifères.
Porté par la croissance énergétique mondiale et les investissements dans l’exploration, le marché des équipements de services pétroliers devrait enregistrer un taux de croissance annuel de 5,39 % pour atteindre $36,87bn d’ici 2031.
Les sanctions américaines contre la société pétrolière serbe NIS, détenue par Gazprom, ont été reportées de huit jours après des discussions entre Belgrade et Washington, a annoncé le président Aleksandar Vucic.
Le principal syndicat pétrolier nigérian a ordonné la suspension des livraisons de gaz et de brut à la raffinerie Dangote, après le licenciement de centaines de travailleurs locaux, alimentant un conflit social à fort impact industriel.
Vitol renforce sa présence en Afrique de l’Ouest en entrant au capital du champ pétrolier Baleine, cédé à 30 % par Eni, tout en conservant un rôle actif dans le développement offshore du pays.
ShaMaran et plusieurs compagnies pétrolières internationales ont conclu un accord provisoire avec Bagdad et Erbil pour reprendre les exportations de pétrole brut du Kurdistan par oléoduc, interrompues depuis plusieurs mois.
Le nombre d’appareils de forage en activité aux États-Unis progresse pour la quatrième semaine consécutive, soutenu par la hausse des cours du brut et les difficultés d’OPEP+ à atteindre ses objectifs de production.
Bagdad a réactivé les livraisons de brut depuis le Kurdistan via l’oléoduc vers la Turquie, après deux années d’interruption liée à des litiges juridiques et contractuels impliquant les compagnies internationales opérant sur place.
Washington offre à New Delhi une alternative à ses importations russes, tout en maintenant une pression tarifaire qui expose un double jeu dans la politique énergétique américaine.
Le groupe canadien North Atlantic va acquérir la participation d’ExxonMobil dans Esso France, incluant la deuxième plus grande raffinerie française, dont le changement de contrôle est prévu d’ici la fin 2025.
La seule raffinerie du Ghana se prépare à relancer ses opérations après une longue période d’arrêt, marquée par des difficultés techniques et financières, avec un redémarrage prévu pour octobre selon sa direction.
BP révise ses prévisions annuelles et table désormais sur une croissance de la demande mondiale de pétrole jusqu’en 2030, en raison d’un ralentissement des gains d’efficacité énergétique à l’échelle mondiale.
Le gouvernement libérien a attribué quatre blocs pétroliers en mer à la société nigériane Atlas-Oranto pour un montant de 12 millions $, consolidant la présence régionale des juniors africaines dans l’exploration offshore.
Les majors du pétrole anticipent une année 2026 difficile avec des investissements revus à la baisse, misant sur la discipline financière et la redistribution du cash flow au détriment des projets à faibles rendements.