L’Iran franchit un cap critique en augmentant sa production d’uranium enrichi à 60 %, tout en acceptant une surveillance renforcée de l’AIEA. Une situation qui exacerbe les tensions internationales et alimente les inquiétudes diplomatiques.
L’Iran franchit un cap critique en augmentant sa production d’uranium enrichi à 60 %, tout en acceptant une surveillance renforcée de l’AIEA. Une situation qui exacerbe les tensions internationales et alimente les inquiétudes diplomatiques.
La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni dénoncent l’augmentation du rythme de production d'uranium enrichi par l’Iran, jugée incompatible avec un usage civil, et appellent à des négociations pour encadrer son programme nucléaire.
La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni dénoncent l’augmentation du rythme de production d'uranium enrichi par l’Iran, jugée incompatible avec un usage civil, et appellent à des négociations pour encadrer son programme nucléaire.
Le régulateur américain a validé le système de contrôle du micro-réacteur eVinci, ouvrant la voie à son exploitation autonome. Cette technologie innovante promet une énergie sûre et adaptable, sans nécessiter de surveillance constante.
Le régulateur américain a validé le système de contrôle du micro-réacteur eVinci, ouvrant la voie à son exploitation autonome. Cette technologie innovante promet une énergie sûre et adaptable, sans nécessiter de surveillance constante.
En réponse aux critiques de l'AIEA, l'Iran a activé de nouvelles centrifugeuses avancées, marquant une escalade dans son programme nucléaire et un bras de fer avec les puissances occidentales.
En réponse aux critiques de l'AIEA, l'Iran a activé de nouvelles centrifugeuses avancées, marquant une escalade dans son programme nucléaire et un bras de fer avec les puissances occidentales.
Téhéran avertit que la résolution des pays européens visant à condamner son programme nucléaire à l’AIEA risque de perturber gravement les relations avec l’agence onusienne, alors qu’un vote crucial est prévu.
Téhéran avertit que la résolution des pays européens visant à condamner son programme nucléaire à l’AIEA risque de perturber gravement les relations avec l’agence onusienne, alors qu’un vote crucial est prévu.
Les États-Unis et les Européens ont présenté une résolution à l’AIEA pour condamner l’Iran, accusé de ne pas coopérer pleinement sur son programme nucléaire. Téhéran met en garde contre les répercussions de cette décision.
Les États-Unis et les Européens ont présenté une résolution à l’AIEA pour condamner l’Iran, accusé de ne pas coopérer pleinement sur son programme nucléaire. Téhéran met en garde contre les répercussions de cette décision.
Rafael Grossi, chef de l’AIEA, se rend en Iran pour inspecter les sites de Fordo et Natanz. Cette visite survient alors que Téhéran cherche à dissiper les doutes sur ses ambitions nucléaires.
Rafael Grossi, chef de l’AIEA, se rend en Iran pour inspecter les sites de Fordo et Natanz. Cette visite survient alors que Téhéran cherche à dissiper les doutes sur ses ambitions nucléaires.
À la COP29, Rafael Grossi, directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), insiste sur l'inclusion du nucléaire dans les financements climatiques, tout en ciblant un accès encadré pour les pays en développement.
À la COP29, Rafael Grossi, directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), insiste sur l'inclusion du nucléaire dans les financements climatiques, tout en ciblant un accès encadré pour les pays en développement.
Le directeur général de l'AIEA, Rafael Grossi, se rend en Iran pour relancer les inspections et favoriser une issue diplomatique sur le nucléaire iranien, dans un contexte de tensions internationales croissantes.
Le directeur général de l'AIEA, Rafael Grossi, se rend en Iran pour relancer les inspections et favoriser une issue diplomatique sur le nucléaire iranien, dans un contexte de tensions internationales croissantes.
Pour la première fois depuis 2011, un échantillon de débris radioactifs a été extrait des réacteurs endommagés de la centrale de Fukushima. Cette avancée ouvre la voie à de nouvelles analyses essentielles pour le démantèlement.
Pour la première fois depuis 2011, un échantillon de débris radioactifs a été extrait des réacteurs endommagés de la centrale de Fukushima. Cette avancée ouvre la voie à de nouvelles analyses essentielles pour le démantèlement.