Les prix de l’énergie seront discutés en priorité, avant d’aborder les questions de climat et d’agenda politique.
Les prix de l’énergie aggravent l’inflation
Il y a quelques jours l’OPEP+ dont fait partie la Russie avait rejeté la demande du Président Biden d’augmenter la production de Brent de 400.000 barils par jour en décembre pour stabiliser les cours. Cette décision de l’Organisation avait attiré les foudres des banques centrales accusant l’organisation de pousser à l’inflation.
La réserve fédérale américaine affichait en ce sens dans ses derniers rapports une inflation à 5%. Bien au-delà de son seuil maximal toléré de 2%.
Discussions autour du climat
Mais les discussions ne se limiterons pas à la seule question de l’énergie. La question climatique figure également à l’agenda. D’autant que le président Russe Vladimir Poutine n’a pas fait le déplacement à Glasgow pour la COP26. La préparation de la prochaine rencontre entre les présidents américain et russe en 2022 sera aussi très certainement abordée.
Depuis janvier les tensions ont repris de plus belle entre les États-Unis et la Russie. La montée des hostilités en Ukraine, Biélorussie et en Syrie, sous fond d’enjeux autour de la dépendance Européenne au gaz russe, n’ont cessé de distendre les liens entre les deux puissances.