Moscou intensifie ses projets industriels conjoints avec le Tadjikistan en misant sur l’hydroélectricité, les cultures agricoles et l’extraction minière dans une logique d’intérêt mutuel et de complémentarité économique.
JANAF s’intéresse à une prise de participation de 20 à 25 % dans NIS, alors que la part russe du capital est désormais soumise à des sanctions américaines.
La chute des importations chinoises et le recentrage régional de l’Asie font peser une pression accrue sur les exportateurs australiens de charbon thermique.
Le groupe norvégien Kyoto a inauguré un système de stockage thermique de 56 MWh chez KALL Ingredients en Hongrie, destiné à remplacer le gaz naturel par une chaleur industrielle issue d’énergies renouvelables.
La compagnie pétrolière serbe NIS, détenue en partie par Gazprom, fait face aux sanctions américaines entrées en vigueur après neuf mois de sursis, mettant à l’épreuve l’approvisionnement énergétique de la Serbie.
La production pétrolière russe s’est rapprochée de son plafond alloué par l’OPEP+ en septembre, avec une hausse progressive confirmée par le vice-Premier ministre Alexandre Novak.
Les ambassadeurs des pays membres de l’Union européenne ont validé l’envoi au Conseil des ministres d’un projet législatif visant à éliminer progressivement les importations d’énergie fossile russe d’ici janvier 2028.
La Douma a approuvé le retrait formel de la Russie d’un traité signé avec les États-Unis sur l’élimination du plutonium militaire, mettant fin à plus de deux décennies de coopération nucléaire stratégique.
Les cours du brut ont progressé après la décision de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et de ses alliés de n’augmenter leur production qu’à la marge en novembre, malgré des signes persistants de surabondance de l’offre.
Le groupe pétrolier hongrois MOL et l’opérateur croate JANAF négocient une prolongation de leur accord de transport de brut, alors que la région cherche à réduire sa dépendance au pétrole russe.
Le gouvernement ukrainien prépare une hausse de 30% des importations de gaz naturel afin de compenser les dégâts subis par ses infrastructures énergétiques et garantir la continuité de l’approvisionnement pendant la saison hivernale.
Les livraisons ferroviaires d’essence biélorusse à destination de la Russie ont bondi en septembre, alors que Moscou cherche à pallier la pénurie de carburant provoquée par les attaques ukrainiennes contre ses infrastructures énergétiques.
Les acheteurs chinois entament les négociations pour les livraisons de charbon thermique en 2026, préférant des contrats plus courts afin de préserver leur flexibilité dans un marché aux prix stables.
Une attaque nocturne sur le réseau électrique de Belgorod a coupé l’alimentation pour des milliers d’habitants, selon les autorités locales russes, malgré une reprise partielle des services dès le lendemain matin.
La justice polonaise doit statuer dans les 40 jours sur l’extradition vers l’Allemagne d’un Ukrainien accusé d’avoir participé au sabotage des gazoducs Nord Stream en mer Baltique en 2022.
L’Opep+ ajuste légèrement ses quotas pour novembre, poursuivant sa stratégie de reconquête de parts de marché malgré une demande mondiale stagnante et un marché sous pression.
Huit pays membres de l’OPEP+ s’apprêtent à relever leur production de pétrole dès novembre, tandis que l’Arabie saoudite et la Russie débattent de l’ampleur de cette augmentation dans un contexte de tensions sur les parts de marché.
La Hongrie a conclu un accord de dix ans avec Engie pour l'importation annuelle de 400 mn de m³ de gaz naturel liquéfié à partir de 2028, renforçant sa stratégie de diversification énergétique malgré sa dépendance persistante au gaz russe.
Recherché par l'Allemagne pour son rôle présumé dans le sabotage des gazoducs Nord Stream en 2022, un Ukrainien a été arrêté en Pologne, où il a été placé en détention provisoire dans l'attente d'une éventuelle extradition.
L’éventuelle suppression par Moscou des droits sur l’essence chinoise ravive les perspectives d’exportation et pourrait tendre l’approvisionnement régional, alors que Singapour et la Corée du Sud restent à l’écart.
La Russie et l’Iran cherchent à resserrer leur coopération nucléaire alors que l’E3 active le mécanisme de sanctions contre Téhéran, ravivant les tensions sur le respect de l’accord de Vienne de 2015.
La Commission de réglementation nucléaire des États-Unis a accordé une extension de 40 ans pour la certification du réacteur AP1000, facilitant ainsi sa construction à long terme sur le territoire américain et son déploiement à l’international.
Les États-Unis prolongent de 30 jours le sursis accordé à NIS, contrôlée par Gazprom, alors que la Serbie cherche à maintenir sa sécurité énergétique malgré la pression sur le secteur russe.
Les États-Unis vont appliquer des droits de douane de 50% sur les exportations indiennes, en réponse aux achats de pétrole russe de New Delhi, accentuant les tensions commerciales entre les deux partenaires.
Le Département de l’Énergie américain met en place un consortium industriel afin d’accélérer la production nationale d’uranium enrichi et réduire la dépendance aux importations étrangères avant l’interdiction des flux russes en 2027.
Mondi SCP construira une nouvelle centrale biomasse à Ružomberok pour accroître son autonomie énergétique de 75% à 90% d’ici 2027, avec un investissement de €120mn ($129mn) soutenu par le Fonds de modernisation de l’Union européenne.
Le drone kamikaze a endommagé un transformateur auxiliaire de la centrale de Kursk, réduisant de moitié la production de son unique réacteur en service, selon Rosatom et l’Agence internationale de l’énergie atomique.
Entre la proposition russe de coopération et les exigences européennes en cybersécurité, le Maroc doit sécuriser ses infrastructures énergétiques tout en consolidant ses exportations d’électricité vers l’Espagne.
Les importations indiennes de charbon à coke progressent et se répartissent davantage entre les États-Unis et la Russie, tandis que des producteurs australiens redéploient des volumes vers la Chine; les résultats 2025 confirment un basculement des flux.
Face aux perturbations répétées sur l’oléoduc Droujba, attribuées à des frappes ukrainiennes, la Hongrie a demandé le soutien des États-Unis pour sécuriser son approvisionnement pétrolier.
Premier suspect lié aux explosions du gazoduc Nord Stream, un citoyen ukrainien contesté par Berlin s’oppose à son transfert judiciaire depuis l’Italie.
Des drones ukrainiens ont visé une centrale nucléaire et un terminal pétrolier russes, accentuant la pression sur les discussions diplomatiques, alors que Moscou et Kiev s’accusent mutuellement de bloquer toute perspective de négociation.
Un ressortissant ukrainien suspecté d’avoir coordonné le sabotage des gazoducs Nord Stream a été interpellé en Italie, relançant une affaire judiciaire aux fortes implications géopolitiques en Europe.
La Russie poursuit ses livraisons d’hydrocarbures vers l’Inde et explore de nouveaux débouchés pour son gaz naturel liquéfié, dans un contexte de tensions commerciales croissantes avec les États-Unis.
Les exportations de gaz russe par gazoduc vers la Chine ont progressé de 21,3 % sur sept mois, contrastant avec la baisse de 7,6 % des livraisons pétrolières sur la même période.
Le groupe Photon Energy enregistre une progression de son chiffre d’affaires trimestriel, portée par le négoce de technologies solaires, tandis que la rentabilité recule sous l’effet d’un marché de la capacité affaibli.
L’oléoduc Druzhba a repris ses flux vers la Hongrie, alors que des frappes récentes soulèvent des interrogations sur les intérêts énergétiques en jeu au sein de l’Union européenne.
Les importations indiennes de brut brésilien atteignent 72 000 barils par jour au premier semestre 2025, sous l’effet des sanctions américaines, et devraient croître avec de nouveaux contrats et projets amont entre Petrobras et les raffineurs indiens.
Des infrastructures énergétiques azerbaïdjanaises visées en Ukraine remettent en question la sécurité des flux gaziers entre Baku et Kyiv, alors qu’un nouvel accord de livraison vient à peine d’être signé.