Moscou intensifie ses projets industriels conjoints avec le Tadjikistan en misant sur l’hydroélectricité, les cultures agricoles et l’extraction minière dans une logique d’intérêt mutuel et de complémentarité économique.
JANAF s’intéresse à une prise de participation de 20 à 25 % dans NIS, alors que la part russe du capital est désormais soumise à des sanctions américaines.
La chute des importations chinoises et le recentrage régional de l’Asie font peser une pression accrue sur les exportateurs australiens de charbon thermique.
La compagnie pétrolière serbe NIS, détenue en partie par Gazprom, fait face aux sanctions américaines entrées en vigueur après neuf mois de sursis, mettant à l’épreuve l’approvisionnement énergétique de la Serbie.
La production pétrolière russe s’est rapprochée de son plafond alloué par l’OPEP+ en septembre, avec une hausse progressive confirmée par le vice-Premier ministre Alexandre Novak.
La Douma a approuvé le retrait formel de la Russie d’un traité signé avec les États-Unis sur l’élimination du plutonium militaire, mettant fin à plus de deux décennies de coopération nucléaire stratégique.
Les cours du brut ont progressé après la décision de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et de ses alliés de n’augmenter leur production qu’à la marge en novembre, malgré des signes persistants de surabondance de l’offre.
Le gouvernement ukrainien prépare une hausse de 30% des importations de gaz naturel afin de compenser les dégâts subis par ses infrastructures énergétiques et garantir la continuité de l’approvisionnement pendant la saison hivernale.
Les livraisons ferroviaires d’essence biélorusse à destination de la Russie ont bondi en septembre, alors que Moscou cherche à pallier la pénurie de carburant provoquée par les attaques ukrainiennes contre ses infrastructures énergétiques.
Les acheteurs chinois entament les négociations pour les livraisons de charbon thermique en 2026, préférant des contrats plus courts afin de préserver leur flexibilité dans un marché aux prix stables.
Une attaque nocturne sur le réseau électrique de Belgorod a coupé l’alimentation pour des milliers d’habitants, selon les autorités locales russes, malgré une reprise partielle des services dès le lendemain matin.
La justice polonaise doit statuer dans les 40 jours sur l’extradition vers l’Allemagne d’un Ukrainien accusé d’avoir participé au sabotage des gazoducs Nord Stream en mer Baltique en 2022.
L’Opep+ ajuste légèrement ses quotas pour novembre, poursuivant sa stratégie de reconquête de parts de marché malgré une demande mondiale stagnante et un marché sous pression.
Huit pays membres de l’OPEP+ s’apprêtent à relever leur production de pétrole dès novembre, tandis que l’Arabie saoudite et la Russie débattent de l’ampleur de cette augmentation dans un contexte de tensions sur les parts de marché.
La Hongrie a conclu un accord de dix ans avec Engie pour l'importation annuelle de 400 mn de m³ de gaz naturel liquéfié à partir de 2028, renforçant sa stratégie de diversification énergétique malgré sa dépendance persistante au gaz russe.
Recherché par l'Allemagne pour son rôle présumé dans le sabotage des gazoducs Nord Stream en 2022, un Ukrainien a été arrêté en Pologne, où il a été placé en détention provisoire dans l'attente d'une éventuelle extradition.
L’éventuelle suppression par Moscou des droits sur l’essence chinoise ravive les perspectives d’exportation et pourrait tendre l’approvisionnement régional, alors que Singapour et la Corée du Sud restent à l’écart.
La structure de confinement du réacteur détruit de Tchernobyl a été privée d’alimentation électrique après une frappe russe, alors que Zaporijjia reste sans courant externe depuis plus d’une semaine.
Une offensive nocturne d'une intensité inédite a visé des infrastructures de gaz en Ukraine, endommageant plusieurs installations clés dans les régions de Kharkiv et Poltava, selon les autorités ukrainiennes.
Vladimir Poutine a réagi à l’interception d’un pétrolier suspecté d’appartenir à la flotte fantôme russe, qualifiant l’opération française de “piraterie” et niant toute implication directe de la Russie.
Emmanuel Macron se rend au Vietnam alors que le pays multiplie les partenariats nucléaires, signant aujourd’hui un accord avec l’américain Westinghouse après avoir déjà engagé une coopération avec la Russie, renforçant la concurrence sur ce marché stratégique.
Les BRICS dénoncent les sanctions économiques et les restrictions commerciales imposées par l’Occident, mettant en garde contre leurs conséquences sur les marchés énergétiques mondiaux, notamment en matière d'approvisionnement et de stabilité financière du secteur énergétique global.
La Commission européenne publie un bilan chiffré du plan REPowerEU, confirmant une baisse nette des achats d’énergies fossiles russes et annonçant de nouvelles mesures législatives d’ici juin.
L’Agence internationale de l’énergie prévoit une augmentation importante des stocks mondiaux de pétrole en raison du ralentissement de la demande dans les économies développées et de la hausse progressive de la production de l’OPEP+ dès 2025.
L’Union européenne a validé un nouveau train de sanctions visant 345 navires soupçonnés d’aider la Russie à contourner les restrictions sur ses exportations de pétrole brut et produits raffinés.
Dan Jørgensen, commissaire européen à l'Énergie, confirme que l'UE poursuivra l'interdiction des importations de gaz russe, indépendamment de l'issue des négociations de paix en Ukraine, avec des propositions législatives prévues pour juin.
La Russie et le Vietnam ont signé une feuille de route nucléaire visant à renforcer leur coopération technologique, incluant un projet de centrale nucléaire commerciale et un centre scientifique d'ici 2030.
Belgrade souhaite préserver des conditions tarifaires favorables pour ses importations de gaz russe, alors que le contrat actuel arrive à échéance le 31 mai.
Le vice-Premier ministre Alexandre Novak affirme que la production pétrolière russe pourrait retrouver un niveau durable de 10,8 millions de barils par jour, grâce à la demande mondiale croissante et à des ajustements fiscaux internes.
Les cours du pétrole ont grimpé vendredi, portés par la signature d’un accord commercial entre les États-Unis et le Royaume-Uni, ravivant les anticipations d’un apaisement dans les tensions mondiales.
Un accord sur l’exploitation de 57 types de ressources naturelles doit être ratifié par le Parlement ukrainien, prévoyant un fonds bilatéral avec Washington sans contrepartie militaire explicite.
En visite en France, le ministre saoudien de l’Industrie a présenté le titane et l’aluminium du royaume comme leviers pour conclure des accords avec les industriels français et soutenir la diversification industrielle du pays.
La hausse des tarifs douaniers entre les États-Unis et la Chine reconfigure radicalement les flux d'approvisionnement pétrochimiques chinois, menaçant d'augmenter les coûts et d'accentuer les difficultés d'approvisionnement dans un secteur stratégique déjà sous pression.
Les prix du Brent et du WTI ont fortement progressé après l’annonce d’un compromis commercial entre les États-Unis et le Royaume-Uni, ravivant les anticipations d’une reprise de la demande mondiale de brut.
Les cours du pétrole sont orientés à la baisse, sous la pression combinée d’une production accrue des membres de l’Opep+ et de la perspective d’un accord nucléaire entre l’Iran et les États-Unis.
Le méthane rejeté par les secteurs pétrolier, gazier et charbonnier est resté à un niveau quasi record selon l’Agence internationale de l’énergie, qui alerte sur l’ampleur des fuites massives observées.
La Russie se positionne en soutien actif des négociations nucléaires entre l’Iran et les États-Unis, plaidant pour un cadre juridique équilibré et conforme au droit international.
Bruxelles annonce une sortie totale du gaz russe d’ici fin 2027, malgré une dépendance résiduelle de 9% et un marché mondial du gaz naturel liquéfié sous pression.
Les prix du brut ont repris de la vigueur après une chute alimentée par l’Opep+, avec un soutien marqué de la demande d’essence aux États-Unis à l’approche de la saison estivale.
Le président français reçoit à Paris le dirigeant turkmène Gourbangouly Berdymoukhamedov pour officialiser des accords économiques, sur fond de rivalités géopolitiques autour des ressources gazières d’Asie centrale.