Slovenské elektrárne a signé un accord avec Urenco pour l’achat d’uranium enrichi destiné aux centrales nucléaires de Bohunice et Mochovce, renforçant la diversification de ses sources d’approvisionnement jusqu’au milieu des années 2030.
La Serbie a obtenu un nouveau délai de 30 jours concernant l’application de sanctions américaines contre NIS, l’exploitant de la seule raffinerie du pays, détenu majoritairement par Gazprom.
L'accord UE-États-Unis pourrait créer une concentration énergétique supérieure à celle de la Russie avant 2022, menaçant la stratégie européenne de diversification.
L'engagement européen d'acheter 250 milliards de dollars d'énergie américaine par an soulève des questions sur sa faisabilité technique et économique face aux capacités d'export limitées.
Naftogaz et la Société d’État du pétrole de la République d’Azerbaïdjan (SOCAR) viennent d’officialiser un premier contrat de livraison de gaz naturel via le corridor Transbalkan, ouvrant de nouvelles perspectives logistiques pour l’approvisionnement énergétique ukrainien.
Donald Trump a évoqué des sanctions tarifaires contre les pays achetant du brut russe, mais selon Reuters, leur mise en œuvre reste improbable en raison des risques économiques et des précédents non appliqués.
Le Mozambique souhaite renforcer la présence de sociétés russes dans l’exploration et la production de gaz naturel, alors que le pays ambitionne de diversifier ses partenariats dans le secteur des ressources naturelles.
Le ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce, Peter Szijjarto, déclare que Budapest empêchera toute interdiction européenne sur les importations d’hydrocarbures russes, soulignant l’enjeu du coût énergétique pour les ménages.
La Hongrie réaffirme sa volonté de doubler la capacité de sa centrale nucléaire de Paks, en partenariat avec Rosatom, avec un démarrage des travaux concrets attendu à l’automne.
Le tribunal de La Haye a autorisé la libération des parts de Gazprom dans Wintershall Noordzee, suite à une décision judiciaire survenue après plusieurs mois de contentieux impliquant des sociétés ukrainiennes.
Londres élargit son dispositif de sanctions à 135 navires et deux sociétés associés à la flotte fantôme russe, renforçant la riposte internationale contre les exportations pétrolières de Moscou.
Suite à l'instauration de sanctions par l'Union Européenne, Nayara Energy a ajusté ses conditions de paiement pour un appel d'offres de naphta, exigeant désormais un paiement anticipé ou une lettre de crédit de la part des acheteurs potentiels.
Depuis début avril, l'Europe a importé près de 45 milliards de mètres cubes (bcm) de gaz naturel liquéfié (GNL), avec des perspectives de stockage pour l'hiver qui pèsent sur les prix du gaz.
Le sénateur américain Lindsey Graham a annoncé que le président Donald Trump envisage d'imposer des tarifs de 100 % sur les pays achetant du pétrole russe, dont la Chine, l'Inde et le Brésil.
Le groupe pétrolier russe Rosneft rejette les sanctions européennes visant Nayara Energy, détenue à 49,13%, évoquant une atteinte au droit international et un risque pour la sécurité énergétique de l’Inde.
L’Union européenne abaisse le plafond du prix du pétrole brut russe et étend ses sanctions aux navires et entités impliqués dans le contournement, alors que la coordination avec les États-Unis reste attendue.
Le navire Voskhod, soumis à des sanctions américaines, a accosté à l’usine Arctic LNG 2 en Russie, marquant la deuxième escale d’un navire sanctionné sur le site depuis le début de l’année, selon des données de suivi maritime.
L’OPEP ajuste légèrement ses prévisions de production pour 2025-2026 tout en prévoyant une croissance stable de la demande mondiale, laissant à l’alliance OPEP+ des marges significatives pour augmenter son offre sans déséquilibrer les marchés pétroliers mondiaux.
Les discussions entre les États membres de l’Union européenne achoppent sur l’adoption du dix-huitième paquet de sanctions visant le pétrole russe, en raison de divergences persistantes sur le prix plafond proposé.
Le Global Energy Policies Hub montre que les réserves stratégiques, les obligations gazières, la cybersécurité et les politiques sur les minerais critiques s’étendent rapidement, faisant grimper la couverture pétrolière à 98 % des importations mondiales.
Le président indonésien Prabowo Subianto rencontrera Vladimir Poutine à Saint-Pétersbourg cette semaine pour discuter coopération nucléaire civile, défense et sécurité, marquant une étape majeure dans leurs relations économiques et stratégiques bilatérales.
L'opérateur national ukrainien Ukrhydroenergo annonce un plan ambitieux de reconstruction en deux phases pour restaurer rapidement le barrage hydroélectrique de Kakhovka, détruit pendant le conflit, avec un coût estimé jusqu’à un milliard de dollars.
La route maritime du Nord séduit les entreprises pour sa rapidité logistique, mais pose des défis technologiques majeurs pour l'industrie navale, notamment dans la conception des navires adaptés aux conditions extrêmes de l'Arctique.
L'OPEP confirme ses estimations de demande mondiale pour 2025-2026 malgré une offre légèrement ajustée, tandis que plusieurs membres, dont la Russie, peinent à atteindre leurs objectifs de production selon les quotas fixés par l'accord OPEP+.
La Hongrie, appuyée par la Slovaquie, exprime une opposition marquée au projet de la Commission européenne visant à éliminer les importations de ressources énergétiques russes, évoquant des impacts économiques et énergétiques majeurs pour l'Europe centrale.
Face au refus anticipé des pays du G7 d'abaisser le plafond du pétrole russe à 45 dollars, l'Union Européenne évalue ses options, laissant les marchés pétroliers mondiaux en attente des prochaines sanctions européennes.
La centrale nucléaire de Zaporizhzhya en Ukraine reste paralysée par le conflit armé, dépendant d'une seule ligne électrique fragile et de puits souterrains pour refroidir ses réacteurs, selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
Le Kazakhstan retient Rosatom et China National Nuclear Corporation pour construire deux centrales nucléaires totalisant 2,4 GW, décision prise après un référendum favorable, dans un contexte géopolitique sensible marqué par la visite prochaine de Xi Jinping.
Face au dépassement alarmant des seuils d’enrichissement d’uranium par l’Iran et aux menaces explicites pesant sur sa sécurité, Israël lance une opération militaire ciblée contre les infrastructures nucléaires iraniennes, entraînant des perturbations majeures dans la région.
La Russie se déclare prête à récupérer et transformer l’excès de matières nucléaires iraniennes en combustible, une proposition visant à faciliter les négociations nucléaires tendues entre l'Iran et les États-Unis.
Le tribunal arbitral de Moscou reporte de neuf mois le procès engagé par Rosatom contre Fortum et Outokumpu, réclamant près de trois milliards de dollars suite à l’annulation controversée d'un projet nucléaire en Finlande.
Le Kremlin dénonce la proposition européenne d’abaisser le plafond sur le pétrole russe à 45 dollars par baril, affirmant que cette mesure pourrait perturber les marchés énergétiques mondiaux, tandis que le G7 prépare des discussions décisives à ce sujet.
La Commission européenne veut empêcher tout retour du gaz russe via Nord Stream et Nord Stream 2 avec une interdiction totale des transactions, dans le cadre de son 18e paquet de sanctions contre Moscou.
La Russie demande l'intervention de l'AIEA afin de résoudre le blocage lié au combustible américain à la centrale nucléaire de Zaporijia, enjeu crucial pour un éventuel redémarrage du site, actuellement sous contrôle russe.
Bakou signe plusieurs accords avec des majors du secteur pour intensifier la recherche de nouveaux gisements, alors que les réserves de pétrole s’amenuisent et que la production de l’ACG ralentit.
La Slovaquie demande à la Commission européenne de réguler les tarifs de transit du gaz, alors que l’UE avance vers une interdiction des importations russes d’ici 2027.
Les stocks souterrains européens atteignent seulement la moitié de leur capacité, creusant l’écart avec les objectifs hivernaux fixés par l’Union européenne, dans un contexte de concurrence internationale accrue pour les approvisionnements en gaz naturel liquéfié (GNL).
Le Kremlin a confirmé que Vladimir Poutine souhaite s’impliquer dans le règlement du conflit nucléaire entre les États-Unis et l’Iran, en s’appuyant sur ses liens stratégiques renforcés avec Téhéran.
Le président Lee Jae-myung adopte une diplomatie énergétique fondée sur l'intérêt national, confrontée à un contexte délicat de rivalités internationales qui pourraient créer des situations complexes pour le pays et ses entreprises énergétiques.
Donald Trump rejette fermement tout enrichissement d'uranium par l'Iran, tandis que la Russie affirme le droit de Téhéran au nucléaire civil, intensifiant les tensions dans les négociations autour du programme nucléaire iranien.