Une nouvelle analyse estime que les champs pétroliers existants pourraient produire jusqu’à 1 000 milliards de barils supplémentaires sans découverte majeure, grâce à l’application de méthodes éprouvées appuyées par l’intelligence artificielle.
Le producteur russe Novatek a réacheminé une partie de sa production de condensat de gaz vers le port de Novorossiisk, après l’arrêt temporaire de son complexe d’Ust-Luga à la suite d’un incendie causé par une attaque de drone.
KazMunayGas a repris l’acheminement de pétrole vers la Turquie via l’oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan, après un arrêt lié à un problème de contamination résolu au terminal d’Aktau.
Les États-Unis financent une nouvelle ligne haute tension visant à intégrer durablement la Moldavie au marché électrique européen, après la rupture des livraisons issues de la région séparatiste de Transnistrie.
Le ministre polonais de l’Énergie appelle les États membres de l’Union européenne à s’engager collectivement à stopper les achats de pétrole russe sous deux ans, évoquant des risques géopolitiques croissants.
Malgré un stock de gaz supérieur à 80 % des besoins, Kyiv devra encore importer pour compenser les effets des frappes russes sur ses infrastructures énergétiques.
La Commission européenne et les États-Unis prévoient d’intensifier leurs mesures économiques contre la Russie, ciblant notamment le secteur énergétique et les cryptomonnaies dans un nouveau train de sanctions.
La Russie et l’Indonésie ont surpassé l’Australie comme principaux fournisseurs de charbon thermique à la Corée du Sud en août, portées par des prix inférieurs et une logistique plus fiable face aux retards australiens.
Un ressortissant ukrainien arrêté en Italie va être extradé vers l’Allemagne, où il est soupçonné d’avoir coordonné l’attaque contre les gazoducs Nord Stream 1 et 2 dans la mer Baltique en 2022.
Un démarrage du ban sur le gaz russe dès 2026 renchérirait les prix repères, avec un écart proche de 1 $/MMBTU en 2026-2027 et des pointes au-delà de 20 $/MMBTU en Autriche, Hongrie et Slovaquie, faute d’offre régionale et de GNL disponible.
Le méthanier Iris, issu du projet Arctic LNG 2, a accosté au terminal chinois de Beihai malgré les sanctions américaines et européennes, marquant une intensification des flux gaziers entre la Russie et la Chine.
Londres a élargi ses sanctions contre la Russie en inscrivant 70 nouveaux pétroliers sur sa liste noire, portant un coup aux exportations énergétiques russes au cœur de ses revenus budgétaires.
L’arrivée accélérée de cargaisons russes en Chine a fait baisser les prix du GNL spot en Asie, mais le trafic va ralentir avec la fermeture saisonnière de la Route maritime du Nord.
Des cargaisons de gaz naturel liquéfié et des hausses de débits par gazoduc renforcent l’optionnalité gazière de la Chine, tout en testant le régime de sanctions et en reconfigurant des arbitrages prix-volume pour la prochaine décennie.
Bruxelles confirme son objectif de cesser toutes les importations d’énergie russe d’ici 2028, malgré les pressions diplomatiques croissantes exercées par Washington dans le contexte du conflit en Ukraine.
Le Kazakhstan a signé un accord avec Nukem Technologies Engineering Services GmbH pour bénéficier d’une expertise allemande dans le démantèlement nucléaire et la gestion des déchets radioactifs.
La Cour de justice de l’Union européenne a annulé la décision de la Commission européenne autorisant l’aide d’État hongroise au projet nucléaire Paks II, remettant en question le respect des règles de passation de marchés publics.
Donald Trump menace d’intensifier les sanctions américaines contre la Russie, mais uniquement si les pays de l’Otan interrompent tous leurs achats de pétrole russe, encore actifs via certains oléoducs.
Une attaque de drone contre une installation pétrolière de Bachneft à Oufa a provoqué un incendie, sans faire de victimes, perturbant temporairement l’activité du complexe classé parmi les plus importants du pays.
La divergence entre les États-Unis et l’Union européenne sur les règles encadrant les exportations de pétrole russe vers l’Inde entraîne une baisse des livraisons prévues, alors que les marges de négociation se resserrent entre acheteurs et vendeurs.
Les États-Unis imposent des sanctions supplémentaires contre les transporteurs de GNL russes, accentuant les difficultés pour la Russie sur les marchés internationaux.
Le Brésil, à travers l'Indústrias Nucleares do Brasil (INB), réactive l'exploration d'uranium après 40 ans, motivé par les perspectives lucratives du marché mondial du nucléaire.
Les positions longues des hedge funds continuent d'influer fortement sur la volatilité du marché européen du gaz naturel et du GNL, en réponse aux risques géopolitiques et aux variations d'offre globales.
La Chine surpasse la France en matière de coûts de construction nucléaire grâce à une production en série optimisée et un financement étatique robuste, réduisant ainsi les dépenses de manière significative.
Le Brésil, à travers l'Indústrias Nucleares do Brasil (INB), réactive l'exploration d'uranium après 40 ans, motivé par les perspectives lucratives du marché mondial du nucléaire.
Les positions longues des hedge funds sur le marché du gaz en Europe atteignent des niveaux records, exacerbant les incertitudes tarifaires pour l'année 2025.
Les récentes frappes ukrainiennes sur le port de Kavkaz, un site clé pour l'exportation de produits pétroliers russes, perturbent gravement la logistique énergétique et accentuent les risques pour les acteurs du secteur.
Vladimir Poutine affirme que l'Ukraine a tenté de frapper la centrale nucléaire de Koursk, intensifiant les risques nucléaires dans cette région stratégique. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) envoie des experts pour évaluer la situation.
En juillet, l'Inde est devenue le principal acheteur de pétrole russe, surpassant la Chine, dans un contexte de sanctions occidentales contre Moscou et de changements dans les flux commerciaux mondiaux.
Le Kazakhstan, premier producteur mondial d'uranium, accélère sa transition vers l'énergie nucléaire. Des consultations publiques ont eu lieu avant le référendum qui déterminera l’avenir de la première centrale nucléaire du pays.
La Géorgie entame la construction de sa première raffinerie de pétrole à Kulevi, visant à réduire sa dépendance aux importations russes et à renforcer son autonomie énergétique.
L'Europe atteint 90 % de ses capacités de stockage de gaz, se préparant à un hiver sous tension énergétique, alors que l'incertitude persiste quant aux approvisionnements russes via l'Ukraine.
Pékin renforce sa capacité nucléaire avec l'approbation de 11 réacteurs, répartis sur cinq sites stratégiques, pour un investissement de 31 milliards de dollars.
Les raffineries russes intensifient leur production en août, anticipant les arrêts de maintenance de septembre, optimisant ainsi leur débit grâce à une amélioration des conditions logistiques.
La Russie exprime son mécontentement envers l'Allemagne concernant l'enquête sur les explosions de Nord Stream, invoquant un manque de coopération internationale.
L'Ukraine intensifie ses efforts pour protéger ses infrastructures énergétiques et atteindre un stock de 13,2 milliards de mètres cubes de gaz avant l’hiver 2024/25, malgré les menaces persistantes.
L'Afrique du Sud reporte l'appel d'offres pour une nouvelle centrale nucléaire de 2 500 MW, répondant ainsi aux exigences de transparence et aux défis juridiques émanant de la société civile et de la nouvelle coalition gouvernementale.
Bulgargaz entame des pourparlers avec Botas pour réviser leur accord gazier, essentiel à la diversification énergétique de la Bulgarie, en réponse aux critiques sur son efficacité.
Face à la demande croissante en Méditerranée orientale, la Croatie s'impose comme un hub incontournable pour le gaz naturel liquéfié (GNL) en Europe, surpassant les capacités de l'Europe du Nord-Ouest.
La Moldavie lance un appel d'offres pour des installations éoliennes et solaires, visant à renforcer son indépendance énergétique face à la Russie tout en augmentant la part des énergies renouvelables dans son mix énergétique.