Huit membres de l’OPEP+ se réunissent pour ajuster leurs quotas, alors que les prévisions annoncent un excédent mondial de 3 millions de barils par jour d’ici la fin de l’année.
Le gouvernement koweïtien a invité trois consortiums internationaux à soumettre leurs offres pour la première phase du projet Al Khairan, combinant production d’électricité et dessalement.
Korea Gas Corporation s’engage sur 3,3 mtpa de LNG américain dès 2028 pour dix ans, complétant ses nouveaux contrats afin de combler les volumes expirés et diversifier ses sources d’approvisionnement et d’indexation.
La suspension des 1 400 MW d’électricité fournis par l’Iran à l’Irak met sous pression le réseau irakien, tandis que Téhéran enregistre une demande record de 77 GW et doit arbitrer entre consommation interne et obligations régionales.
Les attaques jihadistes au Cabo Delgado ont déplacé 59 000 personnes en juillet, menaçant le redémarrage du projet gazier de 20 milliards de dollars prévu pour août 2025.
ConocoPhillips vise $5 bn de cessions d’actifs d’ici 2026 et annonce de nouveaux ajustements financiers alors que la production augmente mais que le bénéfice recule au deuxième trimestre 2025.
Les discussions entre Téhéran et Bagdad sur les volumes d'exportation et une dette de 11 milliards de dollars révèlent les complexités d'une dépendance énergétique sous sanctions américaines.
La Turquie a initié la fourniture de gaz naturel en provenance d’Azerbaïdjan à la Syrie, marquant une étape clé dans la remise en service de l’infrastructure énergétique syrienne, profondément affectée par des années de conflit.
Le Qatar rejette les obligations de transition climatique de l'UE et brandit la menace d'une réorientation de ses exportations de GNL vers l'Asie, créant un dilemme énergétique majeur.
L'accord UE-États-Unis pourrait créer une concentration énergétique supérieure à celle de la Russie avant 2022, menaçant la stratégie européenne de diversification.
Le Qatar a prévenu qu’il pourrait cesser ses livraisons de gaz naturel liquéfié à l’Union européenne en réaction à la nouvelle directive européenne sur la diligence raisonnable et la transition climatique.
Kuwait Petroleum Corporation (KPC) adapte sa stratégie en réduisant ses appels d'offres, tout en encourageant la participation du secteur privé pour atteindre ses objectifs à long terme d'ici 2040, notamment dans l'industrie pétrochimique.
Les échanges de gaz naturel liquéfié dans la région Asie-Pacifique ont atteint 1,24 million de tonnes, portés par la demande estivale et une hausse de la participation, malgré un repli mensuel de 21% lié à l'incertitude géopolitique.
Les principaux producteurs de pétrole accélèrent leur retour sur le marché, augmentant leurs quotas en août de façon plus marquée que prévu initialement, suscitant des interrogations sur les équilibres à venir.
Golden Pass LNG, codétenue par Exxon Mobil et QatarEnergy, a demandé aux autorités américaines l'autorisation de réexporter du gaz naturel liquéfié à compter du 1er octobre, anticipant ainsi le lancement imminent de ses opérations au Texas.
Le Fonds d’Abou Dhabi pour le Développement accorde un financement de 752mn AED ($205mn) à l'Autorité d’interconnexion du Golfe afin de relier les réseaux électriques des Émirats arabes unis et d’Arabie saoudite, renforçant l’échange énergétique régional.
La fermeture de la raffinerie de Grangemouth entraîne une accumulation record des stocks pétroliers au Royaume-Uni, révélant une dépendance accrue aux importations et un déficit grandissant en capacité de raffinage nationale.
La potentielle fermeture du détroit d’Ormuz met sous pression les producteurs du Golfe, révélant leurs limites diplomatiques et logistiques face à un blocage menaçant 20 millions de barils quotidiens d’hydrocarbures destinés aux marchés internationaux.
Keranic Industrial Gas scelle un accord d’exclusivité de soixante jours pour acquérir les actifs clés de Royal Helium, lever CAD9.5mn ($7.0mn) et remettre en service l’usine albertaine de Steveville dans un délai inférieur à quinze semaines.
La Corée du Sud renonce à baisser ses tarifs électriques cet été, redoutant une perturbation des approvisionnements en gaz naturel liquéfié suite aux tensions géopolitiques croissantes au Moyen-Orient, malgré la baisse récente des coûts d'importation des combustibles.
Le Pakistan cherche à diversifier ses modes de paiements pour son approvisionnement en GNL. Le pays subit des difficultés économiques et désire modifier certains contrats avec ses fournisseurs.
Alors que la crise énergétique se poursuit, Patrick Pouyanné estime que des projets d'envergure pourraient permettre la stabilité des prix du gaz en Europe.
La Corée du Sud s'affranchit progressivement du pétrole russe. Le pays profite des opportunités des offres américaines et de la région du Moyen-Orient pour diversifier ses approvisionnements.
L'innovation et les investissements dans la filière du bio gaz naturel liquéfié sont importants pour la sécurité du pays et sa lutte face au changement climatique. L'Australie souhaite décarboner son secteur gazier et notamment son GNL afin de réduire ses émissions carbones et d'assurer sa sécurité énergétique.
Le gouvernement turc se projette dans la réalisation d'un gazoduc avec Israël dans un contexte de tensions sur les approvisionnements énergétiques à la suite de la guerre en Ukraine.
Le Qatar annonce accroître ses investissements en Espagne de $5 milliards. Ils concernent de nombreux secteurs comme l'aviation civile, la construction ou encore l'énergie.
L'Arabie saoudite souhaite augemnter sa production de pétrole brut d'un million de barils par jour pour dépasser, d'ici fin 2026, les 13 millions de barils par jour.