L’OPEP ajuste légèrement ses prévisions de production pour 2025-2026 tout en prévoyant une croissance stable de la demande mondiale, laissant à l’alliance OPEP+ des marges significatives pour augmenter son offre sans déséquilibrer les marchés pétroliers mondiaux.
Les discussions entre les États membres de l’Union européenne achoppent sur l’adoption du dix-huitième paquet de sanctions visant le pétrole russe, en raison de divergences persistantes sur le prix plafond proposé.
Belgrade poursuit des négociations complexes avec Washington afin d'obtenir un cinquième sursis aux sanctions contre la société pétrolière serbe NIS, détenue majoritairement par des groupes russes.
Les ambassadeurs de l’Union européenne sont proches d’un accord sur un nouveau paquet de sanctions visant à réduire le plafond du prix du pétrole russe, avec des mesures touchant plusieurs secteurs énergétiques et financiers.
Téhéran accepte d’ouvrir à nouveau ses installations nucléaires à l’AIEA, visant une reprise des négociations avec Washington, alors que Moscou pousse pour un accord « zero enrichment » sans s’impliquer dans la supervision.
Le gouvernement slovaque cherche à obtenir des garanties auprès de l’Union européenne afin de sécuriser ses approvisionnements alors que les discussions sur la fin du gaz russe et un nouveau train de sanctions se poursuivent.
Lancement d’une unité d’hydrocracking de 1,2 million de tonnes sur le site TANECO, confirmant la montée en puissance industrielle du complexe et sa capacité à diversifier sa production de carburants raffinés.
Les États membres de l'Union Européenne demandent à garder confidentielles leurs stratégies nationales de sortie du gaz russe d’ici 2027, selon un document révélé par Reuters, évoquant des préoccupations de sécurité et des risques de perturbations du marché.
Trois scientifiques de Chine, des États-Unis et de Russie sont lauréats du Global Energy Prize 2025, récompensés pour leurs travaux sur les lignes électriques haute tension, les catalyseurs destinés aux piles à combustible et les technologies énergétiques pulsées.
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sisi a supervisé la signature de nouveaux accords pour la construction de la centrale nucléaire d'El Dabaa, renforçant ainsi la coopération stratégique entre l'Égypte et la Russie.
Un réservoir vide a explosé dans une installation pétrolière de Lukoil-Perm en Russie, sans faire de victimes selon les premières évaluations qui pointent une réaction chimique avec l'oxygène comme origine de l'accident.
La Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement accorde 400 millions € à JSC Energocom, visant à diversifier les approvisionnements en gaz et électricité de la Moldavie, historiquement dépendante des importations russes transitant par l’Ukraine.
Sonatrach et ENI signent un accord de partage de production de 1,35 milliard USD, visant à extraire 415 millions de barils d’hydrocarbures dans le bassin algérien de Berkine, renforçant les échanges énergétiques entre Alger et Rome.
Les échanges commerciaux entre la Russie et l’Arabie saoudite ont augmenté de plus de 60 % en 2024 pour dépasser 3,8 milliards USD, selon le ministre russe de l'Industrie et du Commerce Anton Alikhanov, évoquant de nouvelles pistes de coopération industrielle.
Réunis à Rio, les pays BRICS appellent à garantir la stabilité énergétique mondiale, dénonçant ouvertement sanctions et mécanismes tarifaires occidentaux, dans un contexte économique et géopolitique tendu.
Les principaux producteurs de pétrole accélèrent leur retour sur le marché, augmentant leurs quotas en août de façon plus marquée que prévu initialement, suscitant des interrogations sur les équilibres à venir.
Le Caire renforce les travaux de connexion de la future centrale nucléaire d’El-Dabaa, projet de 4 800 MW mené avec Rosatom, afin d’injecter dès 2026 une production équivalente à environ sept % de l’électricité nationale.
Les économies émergentes du groupe BRICS représentent désormais plus de la moitié de la production mondiale d'électricité solaire en 2024, tirées principalement par la Chine, l'Inde et le Brésil, selon un nouveau rapport de l'organisation Ember.
Malgré des liens solides, la dépendance de l'Iran aux revenus pétroliers limite sa capacité à obtenir un soutien stratégique concret de la Russie et de la Chine face aux crises internationales et régionales actuelles, selon plusieurs experts.
Westinghouse Electric Company signe un contrat à $180mn avec ITER Organization pour réaliser l’assemblage final de la chambre à vide du réacteur expérimental de fusion nucléaire ITER, en construction à Cadarache, dans le sud de la France.
Le vice-Premier ministre Alexandre Novak affirme que la production pétrolière russe pourrait retrouver un niveau durable de 10,8 millions de barils par jour, grâce à la demande mondiale croissante et à des ajustements fiscaux internes.
Les cours du pétrole ont grimpé vendredi, portés par la signature d’un accord commercial entre les États-Unis et le Royaume-Uni, ravivant les anticipations d’un apaisement dans les tensions mondiales.
En visite en France, le ministre saoudien de l’Industrie a présenté le titane et l’aluminium du royaume comme leviers pour conclure des accords avec les industriels français et soutenir la diversification industrielle du pays.
La hausse des tarifs douaniers entre les États-Unis et la Chine reconfigure radicalement les flux d'approvisionnement pétrochimiques chinois, menaçant d'augmenter les coûts et d'accentuer les difficultés d'approvisionnement dans un secteur stratégique déjà sous pression.
Les prix du Brent et du WTI ont fortement progressé après l’annonce d’un compromis commercial entre les États-Unis et le Royaume-Uni, ravivant les anticipations d’une reprise de la demande mondiale de brut.
Les cours du pétrole sont orientés à la baisse, sous la pression combinée d’une production accrue des membres de l’Opep+ et de la perspective d’un accord nucléaire entre l’Iran et les États-Unis.
Le méthane rejeté par les secteurs pétrolier, gazier et charbonnier est resté à un niveau quasi record selon l’Agence internationale de l’énergie, qui alerte sur l’ampleur des fuites massives observées.
La Russie se positionne en soutien actif des négociations nucléaires entre l’Iran et les États-Unis, plaidant pour un cadre juridique équilibré et conforme au droit international.
Bruxelles annonce une sortie totale du gaz russe d’ici fin 2027, malgré une dépendance résiduelle de 9% et un marché mondial du gaz naturel liquéfié sous pression.
Les prix du brut ont repris de la vigueur après une chute alimentée par l’Opep+, avec un soutien marqué de la demande d’essence aux États-Unis à l’approche de la saison estivale.
Le président français reçoit à Paris le dirigeant turkmène Gourbangouly Berdymoukhamedov pour officialiser des accords économiques, sur fond de rivalités géopolitiques autour des ressources gazières d’Asie centrale.
Huit membres de l’Opep+ porteront leur production à 411 000 barils par jour en juin, intensifiant l’offre mondiale malgré une baisse marquée des prix et des tensions commerciales persistantes.
Les attaques russes contre les infrastructures gazières ukrainiennes ont réduit la production nationale de moitié, poussant Kiev à chercher des sources d'importation alternatives pour sécuriser l'approvisionnement hivernal.
Les États-Unis prolongent jusqu'au 27 juin la suspension des sanctions visant NIS, énergéticien serbe contrôlé par Gazprom, offrant un répit stratégique à la Serbie dépendante de son approvisionnement gazier.
La Russie et l’Iran prévoient une forte accélération de leurs échanges commerciaux dès l'entrée en vigueur de leur accord de libre-échange en mai, couvrant notamment le pétrole, le gaz et le nucléaire civil.
L'industrie pétrolière mondiale anticipe une baisse significative des investissements en exploration-production dès 2025, sur fond d'offre excédentaire persistante, aggravée par les hausses tarifaires américaines et les récentes décisions de l'OPEP+.
Les États-Unis ont vivement critiqué les politiques hostiles aux énergies fossiles au sommet de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), soulignant leurs dangers pour la sécurité énergétique mondiale.
À Londres, les responsables mondiaux se réunissent pour discuter de la sécurité énergétique dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes. Les divergences persistent sur la place des énergies renouvelables face à la demande mondiale.
La République tchèque a mis fin à sa dépendance au pétrole russe après plus de six décennies, un changement majeur décidé en réponse à l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, Rafael Grossi, a souligné l'urgence d'un accord sur le nucléaire iranien avant des négociations cruciales prévues ce week-end à Rome.