TotalEnergies acquiert une participation de 25% dans le bloc 53 au large du Suriname, rejoignant APA et Petronas, après un accord avec Moeve, consolidant ainsi sa stratégie d’expansion dans la région.
Le ministre égyptien de l’Électricité engage de nouveaux échanges avec Envision Group, Windey, LONGi, China Energy, PowerChina et ToNGWEI pour stimuler l’industrie locale et attirer les investissements dans les énergies renouvelables.
La société britannique Prax Group a sollicité l'ouverture d'une procédure d'insolvabilité, mettant en péril des centaines d'emplois sur son site pétrolier de Lindsey, selon Sky News.
Orlen annonce l’arrêt définitif de ses achats de pétrole russe pour la République tchèque, marquant la fin des livraisons par Rosneft après l’expiration du contrat, sur fond d’évolution logistique et de diversification des approvisionnements régionaux.
Equinor et Shell lancent Adura, nouvelle coentreprise regroupant leurs principaux actifs offshore au Royaume-Uni, afin de garantir la sécurité d’approvisionnement énergétique avec une production attendue de plus de 140 000 barils équivalent pétrole par jour.
Equinor annonce une nouvelle découverte pétrolière estimée entre 9 et 15 mn de barils sur le champ Johan Castberg en mer de Barents, renforçant le potentiel de réserves dans la région nord de la Norvège.
Sierra Leone relance une ambitieuse campagne d'exploration offshore, utilisant une étude sismique 3D pour évaluer jusqu'à 60 blocs pétroliers potentiels avant d'ouvrir une nouvelle ronde de licences dès octobre prochain.
Confrontée à des pénuries récurrentes, la Zambie réorganise sa chaîne d'approvisionnement en carburant, attribuant notamment des licences pour l'exploitation de nouveaux camions-citernes et stations-service afin d'améliorer la sécurité énergétique nationale et réduire la dépendance extérieure.
La fermeture de la raffinerie de Grangemouth entraîne une accumulation record des stocks pétroliers au Royaume-Uni, révélant une dépendance accrue aux importations et un déficit grandissant en capacité de raffinage nationale.
Mexco Energy Corporation enregistre un bénéfice net annuel de $1,71mn, en hausse de 27 %, porté par une augmentation de la production d’hydrocarbures malgré la faiblesse persistante des prix du gaz naturel dans le bassin Permien.
S&P Global Ratings réduit la notation globale d'Ecopetrol à BB, suivant l'abaissement souverain colombien, tandis que Moody’s Investors Service confirme de son côté la note du groupe à Ba1, avec une perspective stable.
Le groupe Shell clarifie publiquement qu'il n'envisage ni discussions ni approche en vue d'une acquisition potentielle de son concurrent britannique BP, mettant ainsi fin aux récentes spéculations médiatiques sur un possible rapprochement entre les deux majors pétrolières.
La hausse du taux de déduction fiscale pourrait inciter les raffineries indépendantes de Shandong à relancer leurs importations de fioul, compensant ainsi la pénurie de quotas d’importation de pétrole brut.
Petro-Victory Energy Corp. démarre le forage du puits AND-5 dans le bassin de Potiguar, au Brésil, première phase d'une opération financée par son partenariat stratégique avec Azevedo & Travassos Energia.
La potentielle fermeture du détroit d’Ormuz met sous pression les producteurs du Golfe, révélant leurs limites diplomatiques et logistiques face à un blocage menaçant 20 millions de barils quotidiens d’hydrocarbures destinés aux marchés internationaux.
Le port texan de Corpus Christi achève des travaux d'élargissement et d'approfondissement majeurs destinés à accueillir davantage de superpétroliers, renforçant ainsi sa position stratégique sur le marché américain d’exportation de brut et de gaz naturel liquéfié.
BP Prudhoe Bay Royalty Trust propose sa participation dans Prudhoe Bay, principal champ pétrolier d'Amérique du Nord, dans le cadre de sa dissolution programmée, assisté par RedOaks Energy Advisors pour cette transaction d'actif stratégique.
La filiale hongkongaise de CNOOC Limited et KazMunayGas ont conclu un contrat d’exploration et de production de neuf ans sur neuf cent cinquante-huit kilomètres carrés au Kazakhstan, partageant à parts égales les investissements et l’exploitation.
Donald Trump a annoncé que les États-Unis ne s’opposeront plus aux achats chinois de pétrole iranien, déclenchant immédiatement une chute des cours mondiaux du brut et modifiant profondément les partenariats commerciaux énergétiques internationaux.
Le cabinet S&P Global Commodity Insights relève pour la quatrième année ses prévisions, misant sur trois virgule cinq mn de barils par jour dès 2025 malgré un recul des cours.
la Russie augmente ses exportations de fioul et de VGO vers l’Asie. La Chine et l’Arabie Saoudite se distinguent comme les principaux importateurs, selon les données de LSEG.
Le gouverneur Newsom introduit une législation imposant des stocks minimaux de carburant en Californie pour prévenir les fluctuations des prix et renforcer la stabilité du marché.
L'Algérie a débuté un approvisionnement immédiat en fioul pour le Liban, évitant ainsi la paralysie totale des infrastructures stratégiques après l'épuisement des stocks de la centrale de Zahrani.
Le gouvernement polonais dément fermement les accusations de complicité dans le sabotage des gazoducs Nord Stream en 2022, affirmant qu'il s'agit d'une manœuvre de désinformation visant à diviser l'OTAN.
Les entreprises énergétiques américaines continuent de réduire leurs plateformes de forage, un indicateur d'une réorientation stratégique malgré la récente reprise des prix du pétrole.
Les réserves de brut aux États-Unis ont enregistré une hausse de 1,4 million de barils, contredisant les attentes des analystes, tandis que la demande en essence reste élevée avec une réduction notable des stocks.
En juillet 2024, les exportations maritimes russes de produits pétroliers vers l'Asie ont doublé pour atteindre 1,1 million de tonnes, avec un recours accru à la route via le Cap de Bonne-Espérance pour éviter le Canal de Suez.
Le gouvernement ukrainien rejette catégoriquement les accusations du Wall Street Journal concernant une éventuelle implication dans le sabotage des gazoducs Nord Stream en 2022, les qualifiant de "non-sens absolu".
L'Agence internationale de l'énergie (IEA) révise à la baisse ses prévisions pour la demande pétrolière mondiale en 2025, invoquant l'affaiblissement économique en Chine, principal frein à la croissance.
La raffinerie Dangote, malgré son potentiel, lutte pour sécuriser les volumes nécessaires de brut nigérian, révélant des failles dans les mécanismes de régulation et d'approvisionnement du pays.
L'OPEC (Organisation des pays exportateurs de pétrole) ajuste légèrement à la baisse ses prévisions de demande pétrolière mondiale pour 2024, en raison des incertitudes économiques en Chine, principal moteur de la consommation mondiale.
Les investisseurs institutionnels réduisent drastiquement leurs positions pétrolières, atteignant un niveau historiquement bas en réponse aux incertitudes économiques mondiales croissantes.
La surcapacité mondiale dans le secteur pétrochimique, exacerbée par l’expansion chinoise et les coûts énergétiques en Europe, contraint les entreprises à une restructuration drastique, incluant fermetures d'usines et consolidations stratégiques.
Des élus démocrates américains interpellent l'administration Biden pour suspendre les approbations de nouveaux terminaux pétroliers en eaux profondes, citant des préoccupations majeures liées au climat et à la santé publique.
En juillet, l'OPEC+ produit 437 000 barils par jour au-dessus des quotas fixés, mettant en péril les plans de réduction et exacerbant les défis sur un marché pétrolier déjà sous pression.
Reliance Industries conclut un accord stratégique avec PDVSA pour échanger du naphta contre du pétrole brut, optimisant leurs opérations malgré les sanctions américaines.
Goldman Sachs estime que le prochain président des États-Unis disposera de moyens limités pour accroître significativement l'offre de pétrole en 2025, en raison de la faiblesse des réserves stratégiques et des obstacles réglementaires.
Un rapport de Wood Mackenzie révèle que remplacer les hydrocarbures norvégiens par des importations augmenterait les émissions de 230 millions de tonnes de CO2 de 2024 à 2040.