L’Iran a conclu un nouvel accord avec l’Agence internationale de l’énergie atomique pour encadrer la reprise des inspections, après des mois de gel liés aux tensions militaires et aux critiques sur son programme nucléaire.
Amman confirme la disponibilité de son réseau pour alimenter la Syrie pendant ses heures creuses, sous réserve de l’achèvement des infrastructures côté syrien.
L’OPEP+ entame une nouvelle phase de relèvement progressif de sa production, amorçant le dégel de 1,65 million de barils/jour de coupes volontaires, après la fin anticipée d’un cycle de 2,2 millions de barils/jour.
L’ayatollah Ali Khamenei appelle à moderniser l’industrie pétrolière et à élargir les débouchés commerciaux alors que Téhéran est confronté à la réactivation possible des sanctions de l’accord nucléaire de 2015.
L’Agence internationale de l’énergie atomique alerte sur le peu de temps restant pour conclure un accord avec l’Iran sur la reprise complète des inspections, alors que les sanctions européennes pourraient être réactivées sous 30 jours.
Huit membres de l’OPEP+ se réunissent pour ajuster leurs quotas, alors que les prévisions annoncent un excédent mondial de 3 millions de barils par jour d’ici la fin de l’année.
SOMO discute avec ExxonMobil pour accéder à des capacités de stockage et de raffinage à Singapour, visant à renforcer la présence de l’Irak sur les marchés asiatiques en croissance.
Face aux délestages imposés par les autorités, les petites entreprises en Iran enregistrent des pertes croissantes, sur fond de sécheresse, de pénurie de carburant et de pression sur le réseau électrique national.
Un rapport de l’Agence internationale de l’énergie atomique chiffre à 440,9 kg l’uranium iranien enrichi à 60 % avant les frappes israéliennes et américaines, l’accès de l’agence aux sites d’enrichissement demeurant suspendu depuis les opérations.
Les exportateurs saoudien et irakien ont cessé d’approvisionner Nayara Energy, contraignant la raffinerie indienne contrôlée par Rosneft à dépendre exclusivement du brut russe en août.
Le gouvernement koweïtien a invité trois consortiums internationaux à soumettre leurs offres pour la première phase du projet Al Khairan, combinant production d’électricité et dessalement.
La Russie et l’Iran cherchent à resserrer leur coopération nucléaire alors que l’E3 active le mécanisme de sanctions contre Téhéran, ravivant les tensions sur le respect de l’accord de Vienne de 2015.
Les trois puissances européennes déclenchent le mécanisme de sanctions onusiennes contre l’Iran, mettant sous pression les exportations pétrolières du pays au moment où Téhéran maintient une production élevée malgré les mesures occidentales.
L’Iran autorise de nouveau l’Agence internationale de l’énergie atomique à inspecter ses sites nucléaires, après une suspension provoquée par un différend sur la responsabilité des frappes israéliennes.
Washington intensifie la pression sur le secteur pétrolier iranien en sanctionnant un armateur grec et ses filiales, accusés d’avoir facilité l’exportation de brut vers l’Asie malgré les embargos en vigueur.
La suspension des 1 400 MW d’électricité fournis par l’Iran à l’Irak met sous pression le réseau irakien, tandis que Téhéran enregistre une demande record de 77 GW et doit arbitrer entre consommation interne et obligations régionales.
Pékin s’oppose à l’éventuel retour des sanctions du trio européen contre l’Iran, alors que l’échéance de l’accord sur le nucléaire approche et que les tensions diplomatiques s’intensifient autour de Téhéran.
Le rapport d'août de l'OPEP dévoile une production russe supérieure aux quotas et une domination commerciale en Asie, tandis que le Kazakhstan dépasse massivement ses engagements de réduction.
Bagdad et Damas intensifient leurs discussions pour réactiver l'oléoduc de 850 km fermé depuis 2003, offrant une alternative méditerranéenne face aux tensions régionales et aux blocages d'exportation.
Le géant logistique émirati affiche une croissance de 40% de ses revenus malgré des taux de fret maritimes déprimés, portée par l'intégration de Navig8 et l'expansion stratégique de sa flotte.
Malgré les sanctions américaines, l'Iran se dit prêt à pomper plus de pétrole. Cette annonce intervient dans un contexte particulier, marqué par la crainte d'une pénurie et la recherche d'alternatives aux hydrocarbures russes.
Le Président français et le Premier ministre israélien sont prêts à travailler ensemble afin de contenir l'Iran. L'objectif est aussi de favoriser le dialogue entre le Liban et Israël au sujet des hydrocarbures.
L'alliance OPEP+ se réunit le 30 juin pour discuter de la tendance du marché du pétrole et de potentielles décisions sur la production de l'or noir. Cette réunion se déroule en amont du voyage de Joe Biden en Arabie Saoudite prévu à la mi-juillet où il demandera à l'alliance d'augmenter leur production. Malgré tout, l'environnement international complexe laisse de nombreux analystes perplexe quant à la suite du marché à long terme où des éléments politiques pourraient s'entremêler.
L'Irak prévoit d'augmenter ses exportations de pétrole vers Europe. D'autant plus que le pays fait face à la concurrence du pétrole russe en Europe. Ainsi, l'Irak cherche de nouveux partenaires.
Le Koweït prévoit de dissoudre son parlement afin d'organiser de nouvelles élections. Une situation qui complique d'avantage les plans du producteur de l’OPEP pour augmenter sa capacité de production.
Selon S&P Global Commodity Insights, le brut d'Irak voit arriver de nouveaux concurrents en Asie. Le brut en provenance de Russie et de l'Amérique du Nord attirent de plus en plus les acheteurs sensibles aux prix.
Le gouvernement est toujours en pourparlers avec le Kurdistan Regional Government (KRG) au sujet de ses velléités d'une indépendance totale de son secteur énergétique. Une récente décision judiciaire exhorte le KRG à remettre ses opérations liées aux hydrocarbures à l'Irak qui pourrait prendre des sanctions contre des acteurs du secteur dans la région.