Amman confirme la disponibilité de son réseau pour alimenter la Syrie pendant ses heures creuses, sous réserve de l’achèvement des infrastructures côté syrien.
L’OPEP+ entame une nouvelle phase de relèvement progressif de sa production, amorçant le dégel de 1,65 million de barils/jour de coupes volontaires, après la fin anticipée d’un cycle de 2,2 millions de barils/jour.
Huit membres de l’OPEP+ se réunissent pour ajuster leurs quotas, alors que les prévisions annoncent un excédent mondial de 3 millions de barils par jour d’ici la fin de l’année.
SOMO discute avec ExxonMobil pour accéder à des capacités de stockage et de raffinage à Singapour, visant à renforcer la présence de l’Irak sur les marchés asiatiques en croissance.
Le fabricant chinois de turbines a signé un accord stratégique avec Mensis Enerji pour développer un portefeuille initial de 4,5 GW de projets éoliens en Turquie, consolidant sa présence dans un marché régional en forte croissance.
Envision Energy lance son premier projet en Turquie en partenariat avec Yildizlar Group, ajoutant 232 MW à la capacité éolienne nationale dans la province de Karaman.
Les exportateurs saoudien et irakien ont cessé d’approvisionner Nayara Energy, contraignant la raffinerie indienne contrôlée par Rosneft à dépendre exclusivement du brut russe en août.
Le groupe nucléaire russe Rosatom a confirmé des discussions avancées avec l’Inde et la Turquie pour le lancement de nouvelles centrales, incluant des technologies de réacteurs avancés et flottants.
La suspension des 1 400 MW d’électricité fournis par l’Iran à l’Irak met sous pression le réseau irakien, tandis que Téhéran enregistre une demande record de 77 GW et doit arbitrer entre consommation interne et obligations régionales.
Karpowership et Seatrium officialisent un partenariat stratégique pour convertir des unités LNG flottantes, renforçant leur offre conjointe sur les marchés émergents de l’électricité mobile.
Le rapport d'août de l'OPEP dévoile une production russe supérieure aux quotas et une domination commerciale en Asie, tandis que le Kazakhstan dépasse massivement ses engagements de réduction.
Bagdad et Damas intensifient leurs discussions pour réactiver l'oléoduc de 850 km fermé depuis 2003, offrant une alternative méditerranéenne face aux tensions régionales et aux blocages d'exportation.
Une panne généralisée a privé l’Irak d’électricité pendant plusieurs heures, affectant presque tout le pays en raison d’une consommation record liée à une vague de chaleur extrême.
La production pétrolière de l'OPEP+ a chuté à 41,65 millions de barils par jour en juillet 2025, révèle l'enquête Platts de S&P Global, alors que l'Arabie Saoudite normalise sa production après les tensions Iran-Israël de juin.
Les deux pays mettent fin à 37 ans de conflit avec un corridor de 43 kilomètres sous contrôle américain pour 99 ans. L'infrastructure acheminera 50 millions de tonnes de marchandises annuellement d'ici 2030.
Bagdad dément toute implication dans un système de contrebande sophistiqué mêlant pétrole iranien et irakien. Washington sanctionne des réseaux accusés de financer des organisations terroristes désignées.
Les découvertes géantes transforment la mer Noire en alternative au gaz russe, malgré des défis techniques colossaux liés à l'hydrogène sulfuré et aux tensions géopolitiques ukrainiennes.
Saudi Aramco et Sonatrach ont annoncé une baisse de leurs prix officiels de vente pour le gaz de pétrole liquéfié en août, reflétant l’évolution de l’offre mondiale et une demande plus faible sur les marchés internationaux.
Les compagnies pétrolières chinoises indépendantes intensifient leurs investissements en Irak, cherchant à doubler leur production à 500 000 barils par jour d’ici 2030 et à concurrencer les majors historiques du secteur.
Les discussions entre Téhéran et Bagdad sur les volumes d'exportation et une dette de 11 milliards de dollars révèlent les complexités d'une dépendance énergétique sous sanctions américaines.
En Irak, la production pétrolière stagne. Le pays doit faire face à des infrastructures vieillissantes, l'empêchant de remplir les quotas fixés par l'OPEP.
Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie, les sanctions à l'encontre des hydrocarbures russes se multiplient. Ainsi, l'Europe cherche à remplacer le gaz russe. Si de nombreuses pistes sont explorées, une question demeure: qui remplacera la Russie?
La phase principale de construction de la quatrième unité débute pour la centrale nucléaire d'Akkuyu, en Turquie. Malgré son appartenance à l'OTAN, la Turquie continue de collaborer avec des entreprises russes.
En Irak, le champ gazier de Khor Mor a, une fois encore, subit une attaque à la roquette. Celle-ci s'inscrit dans un contexte tendu entre Erbil et Bagdad, mais l'opérateur du champ gazier se veut rassurant. Selon lui, la production reste "normale".
L'Arabie saoudite entend accroître sa production d'énergie renouvelable en doublant la capacité des appels d'offres en 2022 et 2023. C'est alors l'occasion pour le pays de se positionner comme un acteur clé de la transition énergétique.
La Turquie annonce qu'elle relancera les explorations gazières en Méditerrannée à partir du 9 août, ravivant ainsi les tensions avec ses voisins. De fait, la Chypre, la Grèce et la Turquie se disputent les frontières maritimes.
Le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, débutera mardi sa première visite dans l’Union européenne depuis l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, se rendant en Grèce puis en France, selon l’agence officielle du royaume.
La Turquie a annoncé mercredi une nouvelle phase d’exploration gazière en août en Méditerranée orientale, qui risque de générer de nouvelles tensions avec la Grèce et Chypre.
L’Iran et la Russie deux pays sous le coup de sanctions occidentales se sont engagés à renforcer leur coopération notamment, dans le secteur du gaz et du pétrole