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Bagdad a signé un accord stratégique avec GE Vernova pour la construction de centrales à gaz naturel totalisant 24.000 MW, alors que le pays cherche à réduire sa dépendance énergétique vis-à-vis de l’Iran.
Bagdad a signé un accord stratégique avec GE Vernova pour la construction de centrales à gaz naturel totalisant 24.000 MW, alors que le pays cherche à réduire sa dépendance énergétique vis-à-vis de l’Iran.
Les États-Unis ont sanctionné une raffinerie chinoise traitant du brut iranien, renforçant la pression sur Téhéran et suscitant des inquiétudes sur la stabilité des marchés pétroliers mondiaux.
Les États-Unis ont sanctionné une raffinerie chinoise traitant du brut iranien, renforçant la pression sur Téhéran et suscitant des inquiétudes sur la stabilité des marchés pétroliers mondiaux.
Privé des importations énergétiques iraniennes par Washington, l’Irak accélère ses efforts commerciaux en Afrique, tout en relançant les exportations pétrolières via la Turquie, afin de sécuriser rapidement de nouveaux débouchés économiques et énergétiques.
Privé des importations énergétiques iraniennes par Washington, l’Irak accélère ses efforts commerciaux en Afrique, tout en relançant les exportations pétrolières via la Turquie, afin de sécuriser rapidement de nouveaux débouchés économiques et énergétiques.
L’Irak a lancé son premier projet de valorisation énergétique des déchets à Bagdad, un chantier estimé à 500 mn $, soutenu par la société chinoise SUS ENVIRONMENT et piloté par les autorités irakiennes.
L’Irak a lancé son premier projet de valorisation énergétique des déchets à Bagdad, un chantier estimé à 500 mn $, soutenu par la société chinoise SUS ENVIRONMENT et piloté par les autorités irakiennes.
Le Conseil des ministres irakien a validé un contrat avec BP pour le développement des champs pétrolifères de Kirkouk et l'expansion du terminal offshore de Faw, selon une déclaration du bureau du Premier ministre.
Le Conseil des ministres irakien a validé un contrat avec BP pour le développement des champs pétrolifères de Kirkouk et l'expansion du terminal offshore de Faw, selon une déclaration du bureau du Premier ministre.
L'Irak et les Émirats arabes unis ont soumis des plans à l’OPEP+ pour compenser leur excédent de production en février, dans un contexte de baisse des prix du brut et de réduction progressive des coupes prévues pour avril.
L'Irak et les Émirats arabes unis ont soumis des plans à l’OPEP+ pour compenser leur excédent de production en février, dans un contexte de baisse des prix du brut et de réduction progressive des coupes prévues pour avril.
Sous la pression des sanctions américaines, l'Irak explore des alternatives au gaz iranien pour assurer son approvisionnement en électricité, notamment en se tournant vers le Qatar et Oman, et en envisageant l'installation de terminaux méthaniers flottants.
Sous la pression des sanctions américaines, l'Irak explore des alternatives au gaz iranien pour assurer son approvisionnement en électricité, notamment en se tournant vers le Qatar et Oman, et en envisageant l'installation de terminaux méthaniers flottants.
L'Iran investit 17 milliards de dollars pour contrer la baisse naturelle de pression dans le champ gazier South Pars, partagé avec le Qatar, en sécurisant ses réserves estimées à 363 milliards de barils équivalent pétrole.
L'Iran investit 17 milliards de dollars pour contrer la baisse naturelle de pression dans le champ gazier South Pars, partagé avec le Qatar, en sécurisant ses réserves estimées à 363 milliards de barils équivalent pétrole.
L’OPEP+ autorise une hausse graduelle du quota pétrolier irakien à compter d’avril 2025, permettant à l’Irak d’atteindre 4,11 millions de barils par jour en janvier 2026, dans un contexte stratégique marqué par la réouverture imminente du pipeline Irak-Turquie.
L’OPEP+ autorise une hausse graduelle du quota pétrolier irakien à compter d’avril 2025, permettant à l’Irak d’atteindre 4,11 millions de barils par jour en janvier 2026, dans un contexte stratégique marqué par la réouverture imminente du pipeline Irak-Turquie.
Les États-Unis ont décidé de ne pas renouveler l'exemption accordée à l'Irak depuis 2018, permettant à Bagdad d'importer de l'électricité d'Iran malgré les sanctions américaines. Cette mesure accentue la pression sur l’Irak, dont l’approvisionnement énergétique dépend largement de son voisin.
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