Le groupe français Nexans engage la vente de sa filiale Autoelectric à l’indien Motherson pour €207mn ($227mn), concluant ainsi son retrait des activités hors électrification.
La Solar Energy Corporation of India a signé un accord stratégique avec Global Energy Alliance afin de renforcer la résilience du réseau et soutenir l’expansion des technologies de stockage et de gestion intelligente.
Le groupe indien AM Green a signé un protocole d'accord avec le conglomérat japonais Mitsui pour cofinancer une plateforme intégrée de production d’aluminium bas carbone d’un million de tonnes par an.
Alors que l'industrie photovoltaïque amorce une restructuration profonde, le duel entre les technologies TOPCon 4.0 et l'hétérojonction redéfinit les marges des fabricants. En 2026, la réduction des coûts de production devient le levier stratégique prioritaire des leaders mondiaux.
JA Solar et Trinasolar dominent le nouveau classement semestriel de Wood Mackenzie malgré une perte nette sectorielle de 2,2 milliards de dollars. Les leaders industriels renforcent leur emprise sur l'offre mondiale de modules photovoltaïques par une discipline financière rigoureuse.
Le complexe industriel ATUM Solar, implanté à Ain Sokhna, comprendra trois usines dont deux de 2 GW, mobilisant un investissement de $220mn porté par un consortium international.
La société pétrolière nationale d’Abou Dhabi a obtenu un financement structuré inédit pour accélérer le développement du projet gazier Hail et Ghasha, tout en conservant le contrôle stratégique de ses infrastructures.
Masdar démarre l’exploitation commerciale d’une unité de stockage à Stockport et annonce deux projets supplémentaires au Royaume-Uni, dans le cadre d’un plan d’investissement de £1 milliard ($1.25bn) dédié à 3GWh de capacités BESS.
Le fonds souverain omanais a engagé $1.2bn en 2025 dans 141 projets, attirant $2.1bn de capitaux privés et étrangers pour stimuler les secteurs industriels et énergétiques stratégiques du pays.
Masdar s’engage à développer un système de stockage de 300MW/600MWh en Ouzbékistan, marquant une étape clé dans la modernisation du réseau électrique national et la sécurisation des investissements dans les énergies renouvelables.
L’Inde renforce ses achats de brut angolais face aux pressions réglementaires sur les flux russes, misant sur une diversification à faible risque juridique dans un contexte de tensions croissantes sur l’origine des cargaisons.
Tata Power prépare une usine de 10 GW d’ingots et de wafers pour consolider sa chaîne solaire locale, sécuriser ses approvisionnements et capter les incitations PLI avant l’entrée en vigueur des mandats de contenu local en 2026.
Adani Group lance un projet de 1126 MW à Khavda, marquant sa première incursion dans le stockage énergétique, avec l’un des systèmes BESS les plus importants jamais construits sur un seul site.
Le Premier ministre indien Narendra Modi a inauguré au Bhoutan la centrale Punatsangchhu-II, consolidant la présence énergétique de l’Inde dans l’Himalaya et renforçant un partenariat stratégique centré sur l’exportation d’électricité.
Quino Energy sécurise un financement de $16mn pour développer la production mondiale de ses électrolytes organiques, avec l’appui stratégique de l’investisseur Atri Energy Transition.
La Russie et l’Inde préparent un accord élargi pour la construction de réacteurs VVER-1200 et de centrales nucléaires modulaires, tout en accélérant les travaux sur le site stratégique de Kudankulam.
Dix-neuf pays, menés par le Brésil, l’Italie, le Japon et l’Inde, s’allient pour quadrupler la production de carburants durables d’ici 2035, un pari industriel et réglementaire majeur pour les chaînes mondiales de l’énergie et du transport.
La COP30 débute à Belém dans un climat d’incertitude, les pays n’étant pas parvenus à s’entendre sur les sujets à inscrire à l’ordre du jour, signe de profondes divisions sur le financement climatique et la transition énergétique mondiale.
La progression de l’efficacité énergétique mondiale reste en deçà des engagements pris à Dubaï, freinée par la demande industrielle et des politiques publiques insuffisamment adaptées aux innovations technologiques.
La surproduction charbonnière en Indonésie a fait plonger les recettes publiques et les bénéfices des entreprises, tandis que les émissions de méthane issues des mines dépassent largement les chiffres officiels.