La Russie prévoit d'expédier 2,1 millions de barils par jour depuis ses ports occidentaux en septembre, révisant à la hausse ses exportations face à la baisse de la demande intérieure provoquée par les attaques de drones contre ses raffineries.
L’OPEP+ entame une nouvelle phase de relèvement progressif de sa production, amorçant le dégel de 1,65 million de barils/jour de coupes volontaires, après la fin anticipée d’un cycle de 2,2 millions de barils/jour.
Les navires Voskhod et Zarya, visés par des sanctions occidentales, ont quitté le terminal chinois de Beihai après avoir potentiellement livré du gaz naturel liquéfié provenant du projet Arctic LNG 2.
Huit membres de l’OPEP+ se réunissent pour ajuster leurs quotas, alors que les prévisions annoncent un excédent mondial de 3 millions de barils par jour d’ici la fin de l’année.
Les compagnies maritimes grecques se retirent progressivement du transport de brut russe alors que l’Union européenne resserre les conditions de conformité sur le plafonnement des prix.
Le président ukrainien a exigé l’arrêt des importations de brut russe par la Slovaquie, en proposant une alternative d’approvisionnement, dans un contexte marqué par la guerre et les tensions diplomatiques croissantes autour de l’oléoduc Droujba.
Une station du pipeline Stalnoy Kon, essentielle au transport de produits pétroliers entre la Biélorussie et la Russie, a été la cible d’une attaque de drones menée par les forces ukrainiennes dans l’oblast de Briansk.
Rosneft Germany annonce la reprise des livraisons de pétrole vers la raffinerie PCK, après la réparation de l’oléoduc Druzhba touché par une attaque de drone en Russie ayant perturbé l’approvisionnement kazakh.
ABO Energy maintient ses objectifs annuels malgré un recul du bénéfice semestriel, misant sur une stratégie d’allègement des coûts et de cession anticipée de projets pour sécuriser ses flux financiers.
La nouvelle ligne ferroviaire russe reliant la mine d’Elga au port de la mer d’Okhotsk atteindra sa pleine capacité en 2026, après une phase d’essai opérationnel prévue pour 2025.
L’Inde a accru ses achats de pétrole et de produits pétroliers russes de 15% sur six mois, malgré de nouvelles sanctions commerciales américaines visant ces transactions.
Gazprom et China National Petroleum Corporation ont signé un mémorandum contraignant pour construire le gazoduc Force de Sibérie 2, destiné à livrer 50 milliards de m³ de gaz russe par an vers la Chine via la Mongolie.
Le groupe russe T Plus prévoit de stabiliser sa production d’électricité à 57,6 TWh en 2025, malgré un recul observé au premier semestre, selon les déclarations de son directeur général Pavel Snikkars.
L’Indonésie finalisera un accord de libre-échange avec l’Union économique eurasiatique d’ici la fin de l’année, ouvrant la voie à une intensification des projets énergétiques avec la Russie, notamment dans le raffinage et le gaz naturel.
En déplacement à Pékin, Vladimir Poutine a appelé la Slovaquie à suspendre ses livraisons d’énergie à l’Ukraine, en réponse aux frappes ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques russes.
Vladimir Poutine et Robert Fico se sont rencontrés en Chine pour aborder la guerre en Ukraine, la sécurité régionale et les relations énergétiques entre la Russie et la Slovaquie.
Les exportateurs saoudien et irakien ont cessé d’approvisionner Nayara Energy, contraignant la raffinerie indienne contrôlée par Rosneft à dépendre exclusivement du brut russe en août.
Le groupe nucléaire russe Rosatom a confirmé des discussions avancées avec l’Inde et la Turquie pour le lancement de nouvelles centrales, incluant des technologies de réacteurs avancés et flottants.
Budapest prévoit d’achever en 2027 une nouvelle liaison pétrolière avec Belgrade, malgré les risques de dépendance aux flux russes dans un contexte marqué par les frappes sur les infrastructures.
La Hongrie a importé plus de 5 milliards de mètres cubes de gaz naturel russe depuis janvier via TurkStream, dans le cadre de ses accords à long terme avec Gazprom, soutenant ainsi ses infrastructures énergétiques nationales.
L’EPR de Flamanville symbolise les défis du nucléaire français : retards, surcoûts et perte de compétences. Alors que l’avenir se tourne vers les EPR2, la relance de cette filière stratégique reste semée d’incertitudes.
Le président argentin Javier Milei a présenté un projet de construction d’un réacteur nucléaire modulaire pour faire face à une hausse de 9 % de la demande énergétique en 2024, en grande partie due à l’essor de l’intelligence artificielle.
Porté par des politiques publiques favorables et la demande énergétique croissante, le marché mondial de l’énergie nucléaire atteindra 44,71 milliards USD en 2029, avec une croissance annuelle de 2,9 %. Les grandes puissances intensifient leurs investissements dans le secteur.
L’EPR de Flamanville sera raccordé au réseau ce vendredi. Après deux décennies marquées par des retards et des surcoûts, ce réacteur de nouvelle génération marque une étape majeure pour le nucléaire français.
Les sanctions contre Gazprombank poussent la Turquie à renforcer ses importations de GNL. En décembre, le pays enregistre une hausse de 33 %, marquant une diversification stratégique pour garantir son approvisionnement énergétique.
Un projet à 700 millions d’euros vise à connecter deux parcs éoliens offshore au réseau électrique national, renforçant les infrastructures énergétiques stratégiques en France.
Face à l'incertitude sur les livraisons de gaz russe vers la Transnistrie, la Roumanie s'engage à garantir la sécurité énergétique de la Moldavie pour l'hiver, avec des mesures d'urgence pour l'électricité et le gaz.
L’Union européenne renforce ses sanctions contre la Russie en blacklistant des navires supplémentaires et des entités liées à Rosneft pour lutter contre l’évasion des plafonds de prix du G7 sur les exportations de pétrole russe.
Six gestionnaires de réseaux européens initient une phase d’études approfondies pour évaluer la faisabilité technique et économique d’un corridor dédié à l’hydrogène, reliant plusieurs marchés stratégiques.
Ukraine alerte sur 238 pétroliers opérant dans l’ombre pour transporter du pétrole sanctionné. Ces navires, essentiels aux économies russe et iranienne, posent de sérieux risques environnementaux et de sécurité maritime.
Face à la menace de coupure de gaz russe, la Moldavie instaure un état d’urgence de 60 jours pour protéger sa sécurité énergétique et éviter une crise humanitaire dans l’un des hivers les plus critiques pour son indépendance énergétique.
Sous la pression internationale, la Bosnie adopte une loi clé pour diversifier son approvisionnement en gaz naturel, réduisant sa dépendance totale au gaz russe grâce à un projet de connexion au terminal GNL de la Croatie.
Le président serbe Aleksandar Vucic alerte sur des sanctions américaines imminentes contre NIS, détenue majoritairement par Gazprom Neft et Gazprom. Une décision qui pourrait intensifier les tensions géopolitiques en Europe.
Le groupe autrichien OMV a rompu son contrat à long terme avec Gazprom, mettant un terme à près de six décennies de dépendance énergétique envers la Russie, après une série de violations contractuelles.
L’Union européenne renforce ses sanctions contre la Russie en ciblant de nouveaux pétroliers impliqués dans le transport de pétrole russe et élargit sa liste noire d’entités soutenant l’effort militaire de Moscou.
Les prix de l’électricité en Estonie ont baissé de 9,6 % en novembre, atteignant en moyenne 82,56 €/MWh, portés par une production accrue d’énergie éolienne et des températures supérieures à la normale.
Le Kazakhstan a annoncé la décontamination de plus de 360.000 m³ de déchets pétroliers hérités de l'époque soviétique, un effort majeur visant à réduire la pollution sur le littoral de la mer Caspienne, affectée par des décennies de dégradation environnementale.
L’effondrement du régime de Bachar al-Assad provoque des réactions sur les marchés pétroliers, avec une hausse modérée des cours. Les implications géopolitiques pour la région et leurs effets sur l’approvisionnement énergétique restent incertains.
Argus Media révolutionne le marché énergétique en lançant des indices de prix quotidiens pour le gaz naturel en Grèce, offrant une transparence inédite dans un contexte de volatilité croissante en Europe.
Face aux nouvelles sanctions américaines visant Gazprombank, Vladimir Poutine modifie les règles de paiement pour les acheteurs étrangers de gaz russe, autorisant l'utilisation d'autres banques non sanctionnées. Une décision qui reflète l’impact croissant des restrictions sur l’économie russe.