Le Brésil a relevé son objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre de 59 % à 67 % d'ici 2035, dans le cadre de son engagement envers l'Accord de Paris.
Le nouveau gazoduc Northern Natural relie les ressources en gaz de schiste de Neuquén aux régions nord de l’Argentine, visant à réduire les importations et à ouvrir des opportunités d’exportation.
À l'approche de la COP29 en Azerbaïdjan, les divergences autour de l'abandon des énergies fossiles révèlent des tensions entre ambitions climatiques et réalités économiques, tandis que des nations vulnérables expriment leur impatience.
Face aux défis climatiques pressants, le rapport Global Energy Scenarios 2024 souligne trois étapes cruciales pour atteindre la neutralité carbone : renforcer les énergies renouvelables, électrifier les secteurs industriels et traiter les émissions résiduelles.
Les dirigeants mondiaux se réuniront à Bakou pour la COP29, un sommet sur le climat qui pourrait être bouleversé par le résultat des élections américaines, avec des enjeux cruciaux autour du financement de la lutte contre le réchauffement climatique.
Schneider Electric a atteint un chiffre d'affaires de 9,3 milliards d'euros au troisième trimestre 2024, soit une hausse de 5,9 %, soutenue par les solutions de gestion de l'énergie et la numérisation.
Le fournisseur d’inverseurs photovoltaïques Sungrow a annoncé l’équipement d’une centrale solaire majeure au Brésil, avec une capacité de 902 MWp, visant à fournir une énergie propre à un million de foyers dès 2025.
Les Émirats arabes unis, l'Azerbaïdjan et le Brésil, pays hôtes des prochaines COP, projettent une hausse de 32 % de leur production fossile d'ici 2035, malgré leur engagement envers la limitation du réchauffement climatique à 1,5 degré.
Baker Hughes va fournir à Petrobras 77 km de conduites flexibles pour développer les réserves de pétrole et de gaz du bassin de Santos, une zone stratégique au large du Brésil. Ce partenariat renforce l’autonomie énergétique brésilienne.
À l’approche de la COP29, un rapport de l’ONU souligne que les engagements climatiques actuels ne suffiront pas à limiter le réchauffement mondial à 1,5°C, mettant en péril des économies et des vies humaines.
