L’Ouganda mise sur le pétrole et le gaz
L’Ouganda planifie de tirer parti de ses ressources en pétrole et gaz pour stimuler la croissance économique à long terme, s’inspirant des modèles de la Norvège et des Émirats Arabes Unis.
L’Ouganda planifie de tirer parti de ses ressources en pétrole et gaz pour stimuler la croissance économique à long terme, s’inspirant des modèles de la Norvège et des Émirats Arabes Unis.
L’Ouganda, qui cherche à répondre à sa demande croissante d’électricité et à assurer sa sécurité énergétique, envisage d’ajouter de l’énergie nucléaire à son bouquet énergétique.
La Banque Africaine de Développement (BAD) et l’Agence Française de Développement (AFD) ont annoncé la signature d’un accord de financement de 38,2 millions de dollars afin de soutenir la construction de la centrale hydroélectrique Kakono en Tanzanie.
Le sous-traitant italien Saipem, chargé du développement du projet gazier dans le nord du Mozambique pour le compte de TotalEnergies, prévoit une possible reprise des opérations dès juillet malgré les violences jihadistes qui ont frappé la région.
Le Kenya construit 136 mini-réseaux solaires pour apporter de l’électricité dans des zones éloignées mal desservies par le réseau électrique national. Avec plus de 3 000 mini-réseaux solaires installés en Afrique subsaharienne, l’énergie solaire hors réseau est en train de révolutionner l’accès à l’électricité pour les populations rurales.
Les ONG demandent des comptes à TotalEnergies pour leur mégaprojet controversé d’oléoduc et de forages, reprochant à l’entreprise de mépriser les droits fondamentaux et la protection de l’environnement. Malgré un rejet du tribunal, la possibilité pour les associations en cause de faire appel constitue un signal fort.
Le projet pétrolier de TotalEnergies et CNOOC dans la région pauvre de l’est de l’Ouganda suscite un débat sur son impact environnemental et social, alors que certains habitants ont bénéficié de la vente de leurs terres tandis que d’autres ont été traduits en justice pour s’être opposés au projet.
Le projet de pipeline est maintenant officiellement sous le contrôle de la société française TotalEnergies, et les militants et groupes d’ONG font face aux considérables critiques environnementales et humaines.
Des militants de Stop Total ont manifesté devant les bureaux de la banque japonaise SMBC et de la banque britannique Standard Chartered à Paris pour faire pression sur les banques impliquées dans le financement du projet controversé d’exploitation pétrolière EACOP. Les activistes appellent les banques à se retirer de ce projet.
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