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Nucléaire: Un pivot pour la réduction des émissions à la COP29

À l'approche de la COP29, l'Azerbaïdjan prend une position proactive en promouvant l'énergie nucléaire comme solution viable pour réduire les émissions mondiales. L'initiative, soutenue par l'AIEA lors d'un sommet récent à Bruxelles, vise à intégrer le nucléaire dans les stratégies climatiques globales.
Nucléaire COP29

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Lors du Sommet sur l’Énergie Nucléaire à Bruxelles, l’accent a été mis sur le rôle crucial du nucléaire dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Les discussions préparent le terrain pour la COP29, soulignant la sécurité et l’accessibilité des technologies nucléaires.

Développement du rôle du nucléaire à la COP28

L’adoption du nucléaire comme solution pour la réduction des émissions à la COP28 marque un tournant historique. Cela reflète les efforts continus pour garantir la sûreté de l’énergie nucléaire et souligne le rôle essentiel de l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique (AIEA). Cette reconnaissance ouvre la voie à une utilisation accrue de l’énergie nucléaire, avec un accent mis sur la sécurité renforcée et l’accès abordable aux technologies nucléaires pour des usages pacifiques.

Engagement de l’Azerbaïdjan en tant qu’hôte de la COP29

L’Azerbaïdjan, hôte controversé de la COP29, s’engage à diriger les efforts pour obtenir des résultats concrets lors de l’événement à Bakou. L’objectif est d’assurer l’inclusion de l’énergie nucléaire dans les discussions sur les ressources de la COP, en mettant l’accent sur une expansion sûre, sécurisée, équitable et abordable, tout en garantissant la durabilité environnementale.

Innovations et sécurité

Le pays explore également avec l’AIEA l’utilisation de technologies nucléaires pour détecter les mines terrestres, un défi majeur pour l’Azerbaïdjan. Cet effort souligne l’importance de la technologie nucléaire non seulement pour la production d’énergie mais aussi pour des applications environnementales et de sécurité.

Le texte de l’accord global de la COP28 reconnaît la nécessité de réductions profondes, rapides et soutenues des émissions de gaz à effet de serre, visant une réduction de 43 % d’ici 2030 et de 60 % d’ici 2035 par rapport aux niveaux de 2019. L’accord encourage une transition des combustibles fossiles vers des systèmes énergétiques sans émissions, incluant le nucléaire et d’autres technologies comme le captage et stockage du carbone, dans un effort mondial pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.

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