L’OPEP+ à la traine sur ses Objectifs de Production

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Selon l’Agence internationale de l’Énergie (IEA), l’OPEP+ a manqué ses objectifs de 650.000 et 730.000 barils par jour (bpj) en octobre et novembre 2021.

L’OPEP+ ne répond pas à ses quotas

Selon plusieurs sources au sein de l’Organisation, celle-ci peine en raison de faiblesse structurelles, principalement en Afrique de l’Ouest.

Le Nigeria et l’Angola tout particulièrement rencontrent des difficultés pour répondre aux attentes en raison de problèmes de maintenance liés aux manques d’investissements. Une situation qui dure depuis plusieurs années, mais qui pèse d’autant plus à un moment où les cours connaissent une hausse significative des prix.

Cette situation fait ainsi écho à la récente déclaration du secrétaire général de l’OPEP qui alertait sur la baisse des investissements dans le secteur pétrolier. Ce qui, selon lui, menacerait la stabilité économique mondiale, la disponibilité des matières énergétiques, et même, la transition énergétique.

La Commission européenne a organisé un dialogue de haut niveau pour identifier les freins à l’octroi de permis, freinant l’avancement des projets d’énergie renouvelable et d’infrastructure énergétique dans l’Union européenne.
Le financement adossé à des livraisons de brut est fragilisé par la baisse des cours du pétrole et les contraintes de production persistantes dans le pays.
Malgré une hausse des capacités de production et une baisse des tarifs, le Liberia dépend toujours d’importations d’électricité pour faire face à la demande croissante, en particulier durant la saison sèche.
Italiana Petroli, en négociation avec trois acheteurs potentiels, devrait finaliser d’ici fin juin la vente totale du groupe pour environ 3 milliards d’euros, selon plusieurs sources proches du dossier interrogées par Reuters ce jeudi.
ExxonMobil a été désignée entreprise la plus admirée dans l’exploration amont par le dernier sondage annuel de Wood Mackenzie, saluée pour ses performances en Guyana et sa capacité à ouvrir de nouveaux gisements.
La réduction d’effectifs décidée par Petronas relance les interrogations sur ses arbitrages internes, alors que le groupe maintient ses engagements en Asie tout en laissant planer l’incertitude sur ses opérations en Afrique.
Le Kremlin dénonce la proposition européenne d’abaisser le plafond sur le pétrole russe à 45 dollars par baril, affirmant que cette mesure pourrait perturber les marchés énergétiques mondiaux, tandis que le G7 prépare des discussions décisives à ce sujet.
La Libye enregistre une production pétrolière record en douze ans, atteignant 1,23 million de barils par jour, alors même que des tensions politiques persistantes et des affrontements violents agitent Tripoli, soulevant des interrogations sur la stabilité future du secteur.
D'après une étude publiée par The Oxford Institute for Energy Studies, deux algorithmes financiers concurrents, Risk-Parity et Crisis Alpha, influencent significativement les marchés pétroliers en affaiblissant la corrélation traditionnelle avec les fondamentaux physiques du secteur.
Le nouveau président sud-coréen Lee Jae-myung revoit la politique énergétique nationale, visant un rééquilibrage de la réglementation nucléaire sans fermer immédiatement les réacteurs actuellement en activité.
La Commission de régulation de l’énergie a présenté son rapport annuel 2024, marqué par une activité soutenue sur les réseaux, les prix, et l’évolution du cadre réglementaire européen.
Les États-Unis assouplissent les pénalités envisagées pour les méthaniers étrangers et les transporteurs automobiles, diminuant fortement les coûts initiaux pour les opérateurs internationaux tout en conservant les objectifs stratégiques de soutien à la marine marchande américaine.
Le producteur norvégien DNO ASA a conclu un placement privé sursouscrit de $400mn en obligations hybrides pour soutenir l’intégration de Sval Energi Group AS.
Alors que les capitaux affluent vers les technologies propres à l’échelle mondiale, l’Afrique reste marginalisée, ne recevant qu’une fraction des flux prévus selon l’Agence internationale de l’énergie.
Le groupe pétrolier brésilien a obtenu l’accord d’Abidjan pour engager des pourparlers visant l’exploration de neuf blocs en eaux profondes dans le cadre de sa stratégie de partenariats en Afrique.
Le gouvernement mexicain espère mobiliser jusqu’à $9bn d’investissements privés d’ici 2030, mais l’absence de cadre commercial clair suscite des doutes dans le secteur.
Shell suspend une unité du complexe pétrochimique de Pennsylvanie suite à un incendie survenu le 4 juin, avec des vérifications environnementales en cours et une enquête interne pour déterminer la reprise de l’activité du site industriel.
Les réserves commerciales de brut aux États-Unis ont connu une baisse plus marquée que prévu, conséquence d’une intensification de l’activité dans les raffineries selon les données de l’EIA publiées le 4 juin.
TotalEnergies a signé un accord avec Shell pour augmenter sa participation dans le champ offshore de Lapa au Brésil à 48 %, tout en cédant sa part dans Gato do Mato.
En 2024, les énergies renouvelables ont couvert 33,9 % de la consommation d’électricité de la France métropolitaine, une progression portée par la hausse de la production d’hydroélectricité et l’expansion du solaire.