L’IRENA réunit 50 pays membres pour la 1ère réunion du « Cadre de collaboration pour des transitions énergétiques justes et inclusives ». L’agence souhaite ainsi faire valoir la prise en compte des facteurs socio-économiques pour permettre une transition juste.
L’IRENA fait valoir les facteurs socio-économiques pour une transition juste
L’agence internationale de l’énergie renouvelable (IRENA) souhaite accélérer la transition énergétique mondiale afin d’atteindre les objectifs de neutralité carbone des différents pays membres. Cependant, il est important de prendre en compte les facteurs sociologiques et économiques. Si une transition énergétique n’est pas bien organisée, elle peut avoir des effets néfastes sur l’économie, basée sur les énergies fossiles, et sur certains groupes sociaux résistants.
50 pays réunis
L’IRENA a ainsi réuni les représentants des 50 pays afin de rendre les différents objectifs plus justes et inclusifs. L’agence souhaite intensifier ses actions et atteindre les objectifs climatiques tout en prenant en compte les implications socio-économiques. Les différents pays prennent conscience de l’impact qu’une transition aussi importante peut avoir sur leur peuple. C’est pourquoi ceux-ci comptent aussi faire progresser leur programme de développement social et économique.
Développer de nouvelles visions
Afin d’assurer des transitions énergétiques justes pour tous, les pays ont prévu différentes actions. Ils comptent en effet changer leurs approches pour se concentrer sur les politiques holistiques et économiques. Une transition énergétique impose la construction de nouvelles structures, et donc la création de nouveaux emplois. Cela peut permettre de développer l’économie locale d’un pays tout en participant à sa transition verte.